" Une Aïsha et Une Oumou "

Chapitre 16

Quelques mois plu tard

- Non non, arrêté s'il-vous-plaît, je ne l'ai pas tué, non je suis innocente, laisser moi partir, c'était un accident pourquoi aurai-je tuer mon mari, croyez moi s'il-vous-plaît, Maman aide moi s'il te plaît.( Elle pleure en sanglots)

- On connais les femmes de ton genre, vous tuez vos époux pour ensuite s'emparer de sa fortune, tu vas passé le reste année de ta vie au cachot. HAHAHAHAHAHAHA

Youssouf Fofana

Deux mois se sont écroulés, pas mal de chose se sont passées. Mon frère avait voyager et Oumou m'obligeait à organiser un petit week-end en tête à tête et jamais je n'allais accepter, j'ai dû jouer à son jeu. Aïcha avait une formation à suivre donc j'ai attendu qu'elle sorte pour ensuite appelé Oumou avec une voix de malade, un mourant presque , elle a vite accouru à mon chevet . Une fois arrivée elle avait super peur pour moi, elle était toute paniqué

- Bae dis moi depuis quand es tu malade, même hier on se parlait au téléphone et tout semblait être normal en ce moment.

- Je ne suis qu'un homme Oumou, je ne peux ni contrôler la venue d'une maladie, ni ma mort. Je dis ça en toussant trop fort, j'ai mis une mouchoir sur ma bouche qui était déjà taché de faux sang, la faisant croire que j'ai vomi du sang. En voyant ça, elle a cru à ma maladie, elle voulait même m'amener à l'hôpital

- Youssouf wallah si tu meurt je me tue aussi, lève toi pour qu'on parte à l'hôpital. Des larmes coulent de ses yeux

- Je... Kokokk(tousse ) je ne veux pas trop te déranger

- Qui t'as dis que tu me dérange, c'est en ce moment on connaît la valeur d'une femme, elle est où ma soeur anh, elle ne te mérite pas, celle qui te mérite est là en ce moment pour t'aider, divorce la au plus vite, elle t'a abandonné sachant que tu es malade

- Oumou je souffre la stp. En essayant de me relever . Va à la pharmacie et achète moi des médicaments contre la toux s'il te plaît ,aide moi Oumou

- Ok, ok reste tranquille je reviens tout de suite, surtout ne bouge pas OK je t'aime.

- Moi aussi

Après cette fausse maladie, je pouvais un peu respiré et aussi j'ai échappé à son sois disant week-end en tête à tête entre amoureux.
Ce soir j'amène Aïcha dîner dans un restaurant très sympa, j'espère qu'elle va beaucoup aimé, j'ai des problèmes avec ma bagnole mais celle de mon frère fera l'affaire même si je n'aime pas trop sa caisse, à défaut de sa mère ont se contente de sa grand-mère. Je craque pour cette fille, je suis fou d'elle, je ne me vois plus sans elle. Sa fait 30 minute que je l'attend, elle se prépare dans la chambre, les femmes et leurs habitudes elles prennent toujours trop de temps pour se préparer mais je m'en fou, j'attendrai des éternités s'il le faut pour voir cette nour de ma vie. J'arrive plus à trouver de position, j'ai déjà fais des pas dans toute la maison, comme je suis pressé de la voir ma femme. J'ai appris une chose avec le temps, la femme qui fait le bonheur de l'homme est celle qui lui donne toujours le sourire ,il suffit de lui parlé pour être aux anges.
Es-ce que je ne vais pas monter aller la chercher, tchiii non Youssouf reste tranquille elle va descendre, patience, patience. J'ai monté les escaliers à trois reprises, oh my God qu'es ce qui m'arrive, ce n'est pas la première fois que je tombe amoureux mais pourquoi j'agis si différemment, ma tête me joue des tours. Et là mashallah ma prunelle emprunte les escaliers, mon coeur bat à la chamade , je voudrais bien crier au monde entier que je l'aime cette fille. Je ne sais pas quand ni comment je suis tombé éperdument amoureux d'elle mais ce que je sais c'est que je l'aime.
Aïcha n'est pas le genre de fille à se maquiller, mais ce soir elle a un peu oser, un maquillage si léger mais qui la rendait encore plus belle, ses lèvres bien tracés, ne me demandé pas depuis quand je suis esthéticien. Mon regard était posé que sur elle et mes pensées aussi jusqu'au moment où je la sens qui me prend par la main, et là je sors de mes pensées