Attack On Titan - De La Haine A L'Amour, Il N'y A Qu'un Pas

Chapitre 19

Tard dans la nuit, Livaï alla se coucher, sentant la fatigue monter. Il ouvrit son appartement qu'il ferma à clef et alla dans sa chambre. Eren ne dormant pas, avait très bien entendu la porte d'entrer s'ouvrir, il vit la porte de la chambre s'ouvrir qu'il vit Livaï fatiguer.

— Livaï !

— Tu ne dors pas ?!

— Je n'y arrivais pas, j'étais inquiet si tu allais bien ou pas. Travailler de nuit, tu ne devrais pas Livaï.

Livaï posa sa lampe sur le bureau qu'Eren se leva et l'aida à enlever son gilet du bataillon d'exploration.

— Va te doucher Livaï, j'apporte tes vêtements. Plus vite cela sera fait, plus vite tu iras dormir.

— Merci Eren !

— Je ne t'aurais laissé t'effondrer de fatigue comme tu es.

Livaï alla se doucher qu'Eren prit un vêtement à Livaï, entra sans frapper qu'il posa sur le meuble. Il sortit une serviette et la posa doucement sur le meuble qu'il regarda Livaï laisser sa tête sous l'eau de la pomme de douche.

— Livaï ?!

Ce dernier le regarda d'un œil.

— Dépêche-toi mon amour à te laver s'il te plaît.

Il ferma les yeux qu'il se lava qu'Eren sortie. Une fois fait, il sortit qu'il se sécha et mit son short. Il rejoint Eren qui était couché.

— Allez viens dormir. Tu es fatigué !

— Qu'est ce que je ferais sans toi ? Hein, Eren !

— Rien, tu serais sur ce lit à mourir.

— Ne déserte pas le bataillon s'il te plaît. Je ne survivrais pas à cette séparation.

— Jamais je ne l'aurais fait. Me laisser à Shiganshina en croyant que j'ai déserté. Non, je n'ai pas déserté, tu t'es fait de fausses idées stupides Livaï. A ce moment-là je voulais te dire mes sentiments mais je n'y ai pas réussi. On me reproche d'être trop franc. J'étais franche avec toi après le conseil avec le juge et je t'ai dit mes sentiments parce que je n'en pouvais plus d'être loin de ma « famille », le bataillon d'exploration est ma famille Livaï. Je n'ai pas dormit de la nuit. J'ai pleuré durant plus de la moitié de la nuit.

— Eren !

— C'est ce qui m'a fait rendu compte à quelle point je t'aimais Livaï. Mais jamais je partirais du bataillon sans toi.

Livaï sourit qu'Eren le prit près de lui, ce qui surprit le caporal mais ils s'endormirent l'un dans les bras de l'autre. Le lendemain, tard dans la matinée, Livaï se réveilla mais se retrouva seul, il remarque Eren parti. Il regarda l'heure et remarque neuf heure trente. Il se leva qu'il alla voir partout et remarque Eren nettoyer la cuisine de fond en comble.

— Eren !

— Oh bonjour mon amour, bien dormi ?

— Bonjour, oui et toi ?

— Oui, je nettoie comme tu vois.

— Tu n'étais pas obligé.

— Tu n'aimes pas la poussière, la saleté. Je te connais Livaï, va te préparer, je te prépare ton petit-déjeuner.

— Tu es adorable quand tu t'y mets.

Eren sourit qu'il sortit une tasse, mit du café dedans, il la posa sur la table. Il mit un croissant, de la confiture, du beurre et un verre de jus d'orange avec un couteau. Livaï revient habiller qu'il vit son petit déjeuner.