Attack On Titan - De La Haine A L'Amour, Il N'y A Qu'un Pas

Chapitre 27

Il alla voir les amis d'Eren.

— Oh bonjour Caporal-Chef !

— Bonjour à tous, savez-vous où est Eren ou vous l'auriez vue ?

— Il n'est pas chez vous ? S'étonna Jean.

— Eren prend de la distance depuis hier soir entre lui et moi. Je doute beaucoup de chose mais je m'en inquiète pour lui. Quelque chose le rend triste et il ne veut rien me dire.

— Bizarre, Eren est fou amoureux de vous. Je ne comprends pas déclara Mikasa.

— Hier soir, il avait l'air morose et écarté de ma fête d'anniversaire. Il est rentré sans rien me dire. Il s'est couché mais on s'est parlé entre les deux et il m'a dit que je n'avais rien avoir avec sa tristesse. Que je n'étais pas fautif.

— Bizarre Eren ne réagirait pas comme ça avec vous s'exclama Sasha.

— Si vous le voyez, dites-lui qu'il vienne immédiatement dans mon bureau.

— On lui dira !

Livaï alla dans son bureau, il regarda par la fenêtre l'extérieur et s'inquiéta pour son futur époux. Durant toute la journée, Eren n'est pas venu, Livaï n'avait plus la tête à travailler. Quelqu'un toqua qu'il l'autorisa à entrer. La personne entra qu'il remarque Livaï pas très bien.

— Un problème Livaï !

— Fiche le camp de mon bureau si c'est pour parler Erwin. Je n'ai pas la tête à ça.

— Vous vous êtes engueulé entre Eren et toi.

Livaï se redressa qu'il vit un dossier entre les bras d'Erwin. Il soupira qu'il s'affala dans son fauteuil.

— Non, hier soir Eren semblait morose, triste, écarté de la fête. Je suis allé le voir mais il semblait ne pas vouloir venir. Il est rentré sans que je sois au courant. Je suis rentré quelque minutes pour voir si Eren était bien là. Il sortait à peine de douche que je m'inquiétais. Il n'était pas dans son état normal. Il me disait qu'il se posait des questions triste et que cela le blesser. Il repensait à son passé et depuis hier soir. Eren commence à prendre de la distance. Il m'a surtout dit que j'en étais pas la cause de sa tristesse, de son mal-être. Ce matin, je me réveille seul et mon petit déjeuné préparée d'avance mais aucune présence d'Eren. Il n'est jamais venue au QG. Je commence de plus en plus à m'inquiéter à son sujet. Sieg me demande de le surveiller d'ici les prochains jours. Si Eren est distant, que je le prévienne car Eren aura forcément cette envie de dévoiler son sac plus facilement que moi son futur époux.

— Cela m'étonne de lui parce qu'il est venu tôt ce matin, il m'a demandé s'il y avait une mission à faire qu'il souhaiterait la faire seul. J'étais étonné. Il m'a dit qu'il voulait évacuer son trop plein de colère, de tristesse par les coups. Je voulais l'envoyer au camp d'entraînement des jeunes apprenti. Mais avant je voulais ton ressenti. Il est partit sans un mot, ni me dire où il allait ? J'ai appelé au camp d'entraînement. Eren n'y est pas.

— Je m'inquiète de plus en plus. Je n'ai pas la tête à travailler Erwin.

— Tu veux prendre un congé Livaï, que tu puisses au moins te reposer.

— Pour y faire quoi, je n'ai plus rien à faire. La maison est nettoyé de fond en comble comme toujours.

— Prend un congé Livaï, tu vas finir par être à bout. Tu as déjà travaillé dure avant noël. Je m'occuperais des papiers.

— Non c'est bon, je vais m'en occuper.

— Sûre de toi Livaï.

— Oui, donne les dossiers.

Erwin hésitait mais les donna à Livaï qui s'y met tout de suite. Il le laissa travailler. Le soir, Livaï entra tard comme à son habitude. Il vit une boîte sur la table avec un mot et regarda. « Boîte repas pour Livaï, bonne appétit Lili ». Il soupirait, il avait quand même de l'estime pour Eren. Il la mangea après l'avoir fait chauffer. Il alla se doucher qu'il vient dans la chambre avec Eren déjà coucher. Il se coucha qu'il le regarda avec un regard triste et inquiet. Il s'endormit difficilement.