Un ange tombé du ciel || Rusame Fanfiction

Fin || Chapitre 25

(Je sais que j'avais dit pas de fin triste mais bon x) et ceci est mon dessin ! Bon, il est moche... mais tant pis !)

Point de vu Quéral

Je ferma lentement mes yeux, laissant mes larmes couler.
Je me sentais faible,
Je me sentais impuissant,
Je me sentais inutile.

Et c'est là qu'un petit toc toc résonna. Je ne pût m'empêcher de sourire.

« Police ! Ouvrez la porte !»

J'étais submergé par la joie, je ne savais pas vraiment quoi dire donc je regarda la porte, mes larmes de tristesse s'étant transformées en larmes de joies.

« On défonce la porte au bout de trois !... Un !... Deux !... Trois ! »

Je recula juste à temps et observa avec espoir les policiers se tenant devant moi. Et derrière eux il y avait... Russie ?

Je voulais parler mais l'émotion m'en empêchait. Je sauta au coup de Russie.

« Où est-elle ? » demanda-t'il.

Mes yeux s'écarquillèrent dans la peur. Incapable de prononcer une phrase, je laissa juste échapper :

« K-Kiwi ! Cave...Bagarre ! »

Je pointa de ma main tremblante la porte qui menait au sous-sol. Les policiers partirent dans cette direction, leurs doigts positionnés sur la gâchette de leur pistolet, je les suivît, tout en restant derrière eux, effrayé de l'état dans lequel pouvait être Kiwi.

Les escaliers faisaient un bruit abominable sous le poids de tous ces hommes. Mes pieds se posaient faiblement sur les marches, à chaque fois laissant échapper un grincement. Je tremblait comme une feuille.

Ma peur ne fît que s'agrandir quand je vît Kiwi, assis par terre, du sang coulant de son front, de nombreuses blessures présentes sur son corps et une coupure était apparu sur son œil droit. Japon se tenait devant lui, elle brandissait un couteau à la lame aiguisée, pouvant le tuer quand elle le voulait. Les policiers brandirent leur pistolet.

« Police ! Les mains en l'air, posez votre arme ! »

Japon se tourna vers les policiers puis saisît rapidement Kiwi par le col, ce dernier essaya de se débattre mais c'était peine perdu.

« Que personne ne bouge ou je le tue ! » cria-t'elle en brandissant son arme sous le cou de mon frère.

Les larmes coulaient sur mes joues, mes yeux restaient grands ouverts. J'avais peur. Très peur. Les policiers baissèrent peu à peu leur arme et Japon baissait peu à peu l'ardeur avec laquelle elle tenait le couteau. Kiwi fît alors un c'est qui étonna tout le monde : il mordît le plus fort qu'il pouvait le poignet de sa kidnappeuse.

Dans un cri de douleur, elle lâcha son arme et Kiwi dans la même occasion. Je courût rejoindre mon frère et le serra dans mes bras, laissant mes larmes couler. Il se mît à tousser violemment et de plus en plus régulièrement. Un peu alarmé de ce qu'il se passait, je m'écarta doucement de Kiwi. Il souriait et pleurait en même temps, du sang était éjecté de sa bouche. Je paniqua un peu :

« Kiwi ? Kiwi ! »

Ses paupières se faisaient lourdes et se fermèrent lentement. Était-il...? Il s'effondra dans mes bras.