Comme promis, voici la partie suivante de ce qui à la base était censé être un OS ~ Cette fois-ci je vous donne une date précise, la suite sortira dimanche prochain, c'est à dire le 29, et sauf empêchement je publierai un chapitre tous les dimanches^^
De plus je me suis rendue compte (à ma plus grande honte) que je n'avais pas encore placé de petite pub ici ~ N'hésitez donc pas à venir nous voir sur le compte de la FluffSoukokuAgency , où nous publierons bientôt notre premier projet commun, à savoir un OS school life sur le Soukoku ~ (vous pouvez allez voir les détails directement dessus, c'est gratuit et en plus on vous offre des cookies Rashômon obèse :'))
Bref. Merci de tous vos votes et ajouts. Merci également pour les commentaires, ça me fait vraiment plaisir même si je me sens noyée :') donc n'hésitez pas à me donner votre avis, j'aime toujours bien l'avoir ~ (et faites le avant l'arrivée des spammeuses sinon ça risque de se perdre :'))
Sur ce, bonne lecture !~:~:~
Chuuya était assis sur le rebord de la fenêtre de sa chambre à observer l'extérieur d'un œil morose et dépité. A peine cinq minutes plus tôt, le soleil brillait encore d'un éclat splendide et rayonnant habituel pour un mois d'août. Sauf qu'il s'était subitement mis à grêler, le soleil d'un seul coup remplacé par d'énormes nuages semblant déverser leur haine sur les hommes plus bas, tandis que lui et le suicidaire continuaient leur entraînement.
Et pas des petits grêlons, évidemment. Cela pouvait même aller jusqu'à des blocs de glace presque aussi gros qu'une tête, capables de vous assommer si vous ne faisiez pas attention. Les plus petits étaient presque plus gros que le poing.
Le rouquin n'avait jamais ce genre de météo par chez lui. Il faisait toujours un soleil éclatant, même s'il avait entendu dire qu'une fois le même phénomène était arrivé, mais justement, cent ans plus tôt, durant la catastrophe qui avait englouti l'ancien village.
C'était relativement inquiétant, car ce climat totalement déréglé signifiait que le peuple du dessous s'agitait fortement. Cela n'annonçait rien de bon quand à ce qu'il s'y passait, et ne faisait que rendre l'impression d'attente du manipulateur d'eau encore plus grande.
Surtout que c'était aujourd'hui qu'ils devaient retourner en ville chercher les plantes de la pharmacienne. Ce qui actuellement semblait compromis. D'autant que celui qui devait -malheureusement- l'accompagner était actuellement inconscient dans sa chambre, ayant malencontreusement reçu un morceau de glace un peu trop gros sur la tête avant de pouvoir s'abriter.
Donc finalement cette météo foireuse n'avait pas que des mauvais côtés, au moins il n'avait plus à l'entendre se plaindre de sa présence, le harceler de questions, le tout en le rabaissant en permanence.
Un autre point à noter, c'est que Chuuya arrivait un peu mieux à le supporter depuis quelques jours. Cela était probablement dû au fait qu'il avait retrouvé un sommeil à peu près correct, même s'il n'en connaissait pas la raison. Il se sentait moins fatigué, et pourtant toujours plus mal à l'aise ici.
Il savait qu'il était déjà plus proche que de raison de ses deux colocataires, et cela l'agaçait sans qu'il parvienne à y remédier. Les deux étaient plutôt collants, même si c'était chacun à sa manière.
Il soupira, avant de redescendre de sa fenêtre et de la fermer. Le froid risquait de commencer à s'insinuer sinon, et il n'avait pas franchement l'envie d'être malade ici.
Ils ne partirent finalement que deux jours plus tard, bien certains que le temps avait arrêté de se dérégler toutes les trente secondes. Enfin, ils auraient préféré attendre encore un peu, mais Oda les avait fichu à la porte. Littéralement. En effet, Dazai s'étant réveillé le lendemain de sa perte de conscience, et n'ayant pas vraiment de défouloir au-dehors, la maisonnette avait été plutôt... Chamboulée, pour le plus grand malheur du propriétaire, de ses oreilles et de ses heures de sommeil.
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Le monde sous la mer - Soukoku
Fanfiction"Tout vient de la mer et tout y retourne" Chuuya, un jeune habitant du monde sous-marin, se rend dans le monde du dessus, comme il est de tradition lorsque l'on atteint ses 16 ans. "Il ne faut pas s'approcher des Hommes" C'est le seul impératif qu'i...