Félopendra [ Tome 1 ]

Chapitre 38

Désolé pour le retard :)

21_roses_blanches

----------------------------------------

A l'origine du monde, il y avait un seul continent. Tamista était une seule et même terre. Les premiers être à y vivre était tous réunit. Quand un jour, le continent de divisa en deux.

Les Félopendra qui assurai la paix disparurent pour leur amour qu'ils voulaient vivre ensemble. Puis ils réapparurent sur le même continent en abandonnant l'autre.

Tamista leurs avait donner au chacun un continent à protéger. Pour les punirent de leurs désobéissances, elle le condamna à vivre à jamais séparé l'un de l'autre.

Mais le mal était déjà fait et les futures Félopendra se retrouvèrent sur Galita, laissant Glenda livrer à elle-même.

Jamais les responsabilités des deux continents ne disparurent et souvent, les Félopendra de Bala moururent d'épuisement, entrainant les Félopendra de Doulos avec elles.

- Alors on va en mourir. (Zéphyr)

- Pas forcément, ça fait longtemps que ce n'est pas arriver.

- Mouais. (Zéphyr)

Je m'apprêtai à me lever pour quitter la tente.

- Qu'es qu'on fait ? (Zéphyr)

- A propos de quoi ?

- De cette histoire et des autres. (Zéphyr)

- Non, ça ne les concerne pas.

- Mmh (Zéphyr)

Je sors de la tente et rejoins le camp d'entraînement. J'ai besoins de me vider la tête, de penser à autre chose.

- Ah, Séléné, vous avez fini. Tu viens t'entrainer ? (Tim)

- Ouais, j'arrive.

- Ça ne va pas ? (Tim)

- Si. C'est juste que là j'ai besoins d'oublier un peu les problèmes.

- Dont tu ne peux pas nous parler je suppose. (Tim)

- T'as tout compris.

- Ok. Alors viens avec moi. On va faire une couse. (Tim)

- Vous avez installé un parcoure ?

- Ouai ce matin même. (Tim)

Mes yeux doivent pétiller parce que Tim pouffe.

- Tu n'es vraiment pas une fille normale. (Tim)

- C'est sûr qu'être entourer de cinq garçons, ça allait m'aider à aimer faire les magazines et tout le bordel.

L'ironie de la chose nous fait rire et nous atteignons le parcoure aérien qui a été installer au centre de notre camp d'entrainement. Je le regarde émerveiller.

- Tu aimes ? (Tim)

- J'adore.

- Dommage que tu perdes. (Tim)

- C'est ça oui. Tu vas finir perdant c'est tout ce qui va se passer.

- Bien sûre oui. Je vais laisser me battre par ma cousine qui a quoi ? Onze ans de moins que moi. (Tim)

- Fait ton malin. Ça ne va pas durer.

Nous nous avançons vers la ligne de départ du parcoure.

- Vous faite la course ? (Thomas)

- Ouai. (Tim)

- Tu veux bien donner le top départ.