01643 - 𝘀𝗼𝘂𝗸𝗼𝗸𝘂, 𝘀𝗵𝗶𝗻 𝘀𝗼𝘂𝗸𝗼𝗸𝘂

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Non, il n'y a pas de problème avec ce chapitre, le titre est volontairement inexistant parce qu'il spoile ceux qui n'en sont pas encore à là 👀

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Coucou :)
s'il y a une mouche qui tourne autour de vous, assurez-vous de la faire sortir avant de lire ce chapitre ou je ne garantis pas votre sécurité-
bref, voilà les explications que vous attendiez, je vous informe que personne n'a tout trouvé... non, je suis de mauvaise foi, UNE personne a quasiment tout deviné mis à part une petite info de rien du tout 👀 bref elle se reconnaîtra au fur et à mesure de la lecture ~
le titre du chapitre est probablement un des trucs dont je suis le plus fière voilà, si vous ne voyez pas pourquoi relisez tous les titres-
sinon j'espère que vous allez bien et que vous ne croulez pas sous le travail ou les examens :)

le prochain chapitre sortira le 10 octobre et ce sera le dernier chapitre entier, après il ne restera que l'épilogue ! :'( bonne lecture !

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Chapitre Vingt-et-un – Le préfet est l'assassin

Ryunosuke soupire, et pousse la porte de la salle de classe la plus proche. Il aime sa petite sœur, mais l'entendre lui reprocher son manque d'intérêt pour les autres élèves le fatigue, et il préfère encore être seul. Alors qu'il pénètre dans la salle plongée dans l'obscurité, il repère une silhouette appuyée contre la fenêtre, qui se découpe dans le clair de lune.

Sa visibilité n'est pas excellente, mais il lui semble reconnaître la silhouette d'un Poufsouffle de la même année que Gin. En revanche, il ne se souvient absolument pas de son nom. Peu importe cependant, il ne va pas le déranger. Alors qu'il s'apprête à quitter la pièce silencieusement, une voix le stoppe.

Une voix féminine et adulte, qui résonne dans le silence.

« Impero. »

Un bref éclair apparaît, et touche le jeune Poufsouffle, sous le regard surpris de Ryunosuke. Il se retient de faire le moindre mouvement, à part pour attraper sa baguette, prêt à se défendre en cas de besoin. Il cherche en même temps où se situe la femme, qu'il n'a pas repéré la première fois, sans succès. Un sort de dissimulation ?

« Écoute-moi bien, Atsushi, continue la voix, mielleuse, tu vas faire exactement ce que je vais te dire. Je t'ai amené un balai. Tu vas monter dessus, et voler jusqu'à Londres, où le premier ministre moldu est en conférence publique. Ensuite, tu jetteras le sortilège Voloculis Subdecor et tu le tueras d'accord ? Une fois que ce sera fait, tu reviendras ici. »

Effaré par une telle machination, le Serpentard ne peut qu'observer en silence son camarade qui acquiesce, vidé de toute volonté. Il le voit attraper le balai qui est apparu contre un mur, et monter dessus avant de s'envoler depuis la fenêtre. Ryunosuke hésite sur la marche à suivre, quand la voix le devance :

« Pas très poli d'écouter les conversations des autres. » Alors qu'il se fige, elle continue. « Surtout ce genre de conversation. Qu'est-ce que je vais bien pouvoir faire alors ? Te tuer serait trop suspect...Il vaut mieux ne pas attirer l'attention sur Poudlard pour le moment. » Elle se tait, visiblement en plein réflexion. « Ton nom ? »

Ryunosuke hésite, peu désireux de lui révéler son nom et d'ainsi mettre en danger toute sa famille, mais la femme continue :

« Je parie que tu es un Akutagawa. » Il tressaille, et elle semble prendre ça pour une approbation. « Le fils de Niihara hein. » L'utilisation du nom de jeune fille de sa mère le prend de court. Cette femme a connu sa mère ? « Ça me donne encore moins envie de te tuer. Mais je ne peux pas non plus te laisser partir sans rien faire. Tu as une petite sœur non ? »