Wakatoshi Ushijima se tenait bien droit assis sur le banc ou son fidèle acolyte Tendou Satori l'avez invité pour converser. Bien qu'il le sentait tendu le champion décida de ne rien dire et laissa son ami faire la conversation en émettant de temps à autre de petites onomatopées pour lui signifier qu'il le suivait toujours.
Soudain dans un élan de courage Satori Posa sa main sur celle de son interlocuteur tout en continuant la discussion qu'il avait entamé. Cependant ce geste n'échappa pas
à Ushijima qui piqua un fard.Le Guess Monster amuser par le brusque changement de couleur de son vis-à-vis se mit à lui caresser la main avec délectation toute trace de timidité envoler. Durant toute sa petite taquinerie il ne s'arrêta pas de parler préférant amplement observer les réactions du Champion pendant qu'il le pensait trop occupé à faire la conversation pour l'observer.
Ushiwaka le visage bien que toujours très rouge resta malgré tout fort fière est-ce contenta de faire comme si de rien été bien que sa main n'est jamais été aussi rigide.
Tendou fut tenté de lui dire directement ce qu'il avait à lui dire cependant il préféré continuer à s'amuser un peu, il se rapprocha du champion de façon à ce que leurs genoux et leurs épaules se touche et il se mit à murmurer de façon à ce que sa proie soit obligé de se rapprocher de lui pour l'entendre et quand le moment fut venu d'annoncer ce qu'il avait sur le cœur les mots sur bloqué dans sa gorge une bien triste réalité le frappa
Le champion risquer de le détester et de ne plus désirer sa présence voir même de le fuir c'est qui lui serait absolument insupportable. Lui qui avait déjà été t'en brisé ne souhaitez pas l'être de nouveau d'autant plus que cette fois il n'était pas dit que son cœur y survive et que deviendrait-il sans cœur ? deviendrait-il le monstre que les autres ont toujours voulu qu'il soit ? le monstre qu'ils ont toujours vu en lui mais qui n'a jamais été présent ?
Le Guess Monster paniqua. Trop aveuglé par ses sentiments il n'avait nullement envisagé cette sombre possibilité. Et au moment où il se dit que le silence valait mieux que d'être détruit à nouveau son interlocuteur racler la gorge pour lui dire d'une façon bien franche qui lui ressemblait tellement « Moi aussi je t'aime Satori »
