chapitre 18 : accident

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Une semaine avait passée à Gotham City et tout le cirque Haly était en deuil de cette jeune femme merveilleuse qu'était Louise. Aujourd'hui avait lieu l'enterrement de Louise et on pouvait voir des larmes couler des joues de tout le monde mais Jerome était le plus devasté d'entre tous , des cernes violettes sous ses yeux , son teint maladive montrait que le jeune avait souffert de cette perte plus que n'importe qui d'autre. Jérôme avait revêtit un costume noir pour l'occasion. il pleurait et tremblait mais voulait se montrer fort et ne pas se laisser abattre par ce tragique événement. la cérémonie ce fit silencieusement avant que tout le monde se mette a parler chacun leur tour des souvenirs qu'ils ont eu avec Louise , la famille avait une petite bougie dans la main et tout le monde était vêtu de noir. ce fut au tour de Jerome de parler , il s'avança tremblant vers le cerceuil et commença à parler d'une voix étranglée par les sanglots

- Louise , Lou. tu étais la fille la plus merveilleuse que j'ai jamais connu , je t'aimais , je t'aime et je t'aimerais pour toujours. je ne t'oublierai jamais. tu étais mon rayon de soleil, tu illuminais ma vie quand tout autour de moi était gris , tu étais mon soleil, ma lune, ma moitié , mon tout. tu étais tout pour moi. je me souviens de tous les moments qu'on a passé ensemble. comme tu étais belle , gentille et intelligente, tu étais parfaite. tu avais cette bonté d'esprit incroyable et cette maturité impressionnante. Tu es mon petite ange et j'espère te revoir au paradis.

alors Jerome recula des quelques pas , retenant les larmes de couler une nouvelle fois , puis laissa les autres parler à leur tour , puis ce fut le moment de la mise en terre. Jérôme ne voulait pas voir ce moment , c'était trop douloureux pour lui. le père de Louise remarqua l'état de Jérôme et tapa doucement sur son l'épaule en signe de compassion , lui aussi ayant beaucoup souffert de la mort de sa fille. Elle qui était si mignonne et adorable , intelligente.

- ne pleure pas Jerome

- et comment ? elle est partie , pour toujours. je ne la reverrai plus jamais de ma vie et vous voulez que je souris

- elle n'aurais pas voulu que tu pleures

- je...je l'aimais votre fille , plus que tout au monde. elle était mon monde

L'homme tapa gentiment  sur l'épaule de Jérôme et s'en alla , tête baissée. La cérémonie était terminée et Jérôme rentra chez lui. Il se déshabilla et plongea dans son lit pour dormir. Cela faisait bien une semaine qu'il n'avait pas dormit mais le crime qu'il a commis et la mort de sa Louise l'avait boulversé.

Une année avait passé à Gotham et le cirque c'était difficilement remit de la mort de cette jeune artiste. Une nouvelle artiste avait été engagée. celle-ci était brune et avait de magnifiques yeux verts. Elle s'appelait Marion. La ville de Gotham n'avait pas changé si ce n'est que Oswald Cobblepot était soupçonné de vol et d'un crime et il faisait parti d'une mafia avec Fish Money. Jérôme n'a jamais été démasqué pour son crime , dieu merci. D'ailleurs la santé mentale et physique de Jérôme se dégradait fur et a mesure Que les jours passaient mais il essayait de se contrôler. Jérôme avait envie de tuer tous les gens qu'il croisait et en voulait au monde entier. Il avait perdu 10 kilos au moins et ne dormait pratiquement plus et la journée il restait sur son lit à fumer et prendre des anti-dépresseurs. Jerome allait également mettre tous les jours les fleurs les plus belles qu'il pouvait trouver sur la tombe de Louise

Aujourd'hui était un jour comme les autres ou Jérôme était dépressif et au fil du temps il avait chopé un tic ou quand il était stressé ou énervé sa jambe tremblait de manière incontrôlable. Il se leva de son lit et alla se débarbouiller la figure quand soudain il vit Louise dans la glace de la salle de bain

- bonjour Jérôme

- AAhH ! sursauta Jérôme

Alors il regarda dans la salle de bain mais il n'y avait personne, sa jambe recommença à trembler et son souffle devenait de plus en plus irrégulier et Jérôme ressentait à la fois de la peur mais aussi de l'appréhension. Les larmes commencèrent à monter. Comme ce visage doux lui manquait.

jerome valeska : laugh in pain Où les histoires vivent. Découvrez maintenant