chapitre 19 : madness

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- ce n'était qu'un accident ! je te jure maman que  ce n'est qu'un accident ! j'étais en colère et je l'ai prit par le cou et.... et elle a manqué d'air.... et je n'ai réalisé ça que trop tard

Lila était plantée là , dans la chambre de son fils , avec un cadavre sur le lit de Jerome , elle n'en croyait pas ses yeux. Elle savait que Jerome était un peu violent mais elle ne l'aurait cru capable de tuer quelqu'un de sang froid. Plus les minutes passaient et plus Jerome avait peur de se recevoir un coup de poing monumentale de sa mère pour son énorme bêtise irréparable , mais il avait aussi et surtout peur qu'elle appelle la police et qu'il aille en prison.

- maman , n'appelle pas la police je t'en supplie , ce n'est qu'un accident , je ne voulais rien de tout ça , je ne voulais pas la tuer ! je voulais pas ! je t'en supplie il faut me croire !

Jérôme pleura de plus belle et attrapa les bras de sa mère en plongeant son regard rempli de larmes dans le sien , comme si il la suppliait du regard. Lila soupira

- écoute Jerome ce que tu as fait est impardonnable, et puis si je ne le fais pas quelqu'un va s'apercevoir qu'elle n'est plus là

- non maman , n'appelle pas la police

- il faut que tu ailles te dénoncer

Jerome paniqua dans sa tête et se voyait déjà avec les menottes mais il ne pouvait pas être mit en prison , ce n'était qu'un accident. ce n'était qu'un accident ! Il ne pouvait pas finir derrière les barreaux pour le reste de ses jours.

Les heures passaient et Jérôme tournait en rond dans sa chambre , essayant de trouver une solution pour s'en sortir. Le corps sans vie de Marion était toujours là. Jérôme avait fermé ses yeux une dernière fois tout en murmurant des excuses. il venait de tuer deux personnes. Il n'avait jamais voulu tuer cette femme, juste lui donner une leçon de vie. Il savait à quel point la mort d'un proche pouvait être douloureuse et son âme était toujours tourmentée par la mort de Louise. Le soir dans son lit il écoutait en pleurant les messages vocaux que Louise lui avait laissé , juste pour entendre sa voix. Il savait à quel point cela pour détruire une personne et il venait de briser la famille de cette jeune femme. Alors que Jérôme marchait toujours dans sa chambre on sonna à la porte. Des centaines de scénarios de jouaient dans sa tête et eu peur qu'on vienne l'arrêter mais il prit son courage à deux mains et alla quand même ouvrir , il s'agissait bel et bien de la police. Jérôme paniqua mais il n'en montra rien au policier devant sa porte

- bonjour Jerome , je suis Harvey Bullock et j'ai quelques questions au sujets de Marion

Jerome eu le cœur qui battit plus vite et de manière incontrôlable

- oui monsieur

- l'aurai-tu vu ?

- non pas du tout menti Jerome

- d'accord , elle a disparu et ses parents s'inquiètent. Elle était  sensée être rentrée il ya cinq heures déjà

- oh mince , écoutez si j'ai la moindre information je vous appelle , en tous cas je crois qu'elle est parti du cirque la dernière fois que je l'ai vu

- bien. Merci pour l'information , au revoir gamin

-   Au revoir monsieur

Alors Jérôme ferma la porte en Tremblant avant de rigoler sans même pouvoir se contrôler

-hahahahahahahahahahahahahahahahahahahhahahaaaaahhahaha

Alors il attendit la nuit avant d'enterrer Marion dans une forêt éloignée et inconnue de Gotham , la où personne ne pourra jamais trouver Marion. Il rentra alors chez lui pour se reposer mais ne trouva pas le sommeil et fit un cocktail dangereux d'antidépresseurs et de somnifères qui l'endormirent en un rien de temps. mais ces jeux la étaient dangereux et Jérôme en connaissait le prix à la moindre erreur

jerome valeska : laugh in pain Où les histoires vivent. Découvrez maintenant