[ Gregory Alan Isakov
- If I go, I'm Going]
Une foule d'affects se manifeste lorsque quelqu'un me parle du lycée. La muscu que j'ai déjà évoquée, mais également Leclerc et Noz qui se trouve à proximité de mon lycée, on y allait souvent. La malbouffe faisait partie du rituel que mes amies et moi avions lorsqu'on fumait. La spécialité de Jaya était le miel et le pain du self qu'elle prenait dans son sac pour manger plus tard. Quant à Nina et moi, nous avons manger et bu je ne sais combien de paquets de chips et de sodas. Dans le parc qui se trouve en face du lycée, on pouvait jadis trouver une balançoire, qui à été retiré après que je sois partie du lycée. C'était un endroit que Victoire, Nina et moi fréquentions énormément en Seconde. Qui n'apprécie pas les balançoires ? Dans ce même parc se trouve un parcours de cordes et de planches en pente, des collines en haut desquelles ont s'installait en écoutant de la musique. Un autre parc à marqué cette ligne de temps, celui du village dans lequel vivait Nina. A chaque fois que je prenais mon scooter pour la rejoindre, sauf en cas de travail commun pour le lycée, je savais que ce parc serait là pour nous faire passer une bonne après-midi. Ce petit bout de verdure boisé a abrité la dernière après-midi que Nina et moi avons passer ensemble. Rassurez-vous, ce n'était qu'un déménagement. J'avais suffisamment été impacté par les déménagements, trop pour que je laisse ça se reproduire, alors Nina et moi on se voyait certes beaucoup moins, mais ça n'a rien changé à notre connexion. Cette situation semblable à celle que j'ai expérimentée avec Charlie ne s'est pas terminé en perte de vue, non seulement parce que je ne l'ai pas laissé faire, mais aussi parce que l'affinité, contrairement à la situation, était dissemblable.
Deux voyage ont été organisé par le lycée : un en Espagne, l'autre au festival de Laval. J'en garde de magnifique souvenirs. L'un nous a permis de vivre parmi une culture différente, parler une autre langue, visiter une autre pays ; l'autre nous a permis de s'enrichir en art avec le théâtre, la musique, les spectacles, les représentations humoristique... En Espagne nous dormions chez des familles espagnoles. Nina et moi vivions pendant une semaine chez Pepa. C'était une dame très gentille et amicale, on lui a fait découvrir des musiques française, elle nous à renvoyer l'appareil. A Laval nous avons dormis dans un hôtel, au frais du lycée, avec notre troupe de théâtre. C'était une aventure humaine qui nous a tous rapprochés. Petite parenthèse, au collège un voyage en Auvergne avait été planifié. Je devais y aller avec Charlie et Jaya mais Charlie n'a pas pu venir du à des entorses à la jambes, causé par la patinoire quelques semaines avant le départ. Ce fut une expédition renforçant le lien entre Jaya et moi. On dormait dans grand manoir, lui-même situé dans le cratère d'un volcan inactif. C'était un lieu magnifique mais je n'ai pas su profiter entièrement de ça en ce temps. Tir à l'arc, randonné, via ferrata, escalade, course d'orientation, descente en rappel d'un pont, pic nic, et ce dont je me souviens le mieux : le saut d'un pont en baudrier. Toutes ces activités était extraordinaires et révélatrice. J'ai découvert que j'aimais beaucoup les sensations fortes lors de cette excursion. J'ai du sauter dans le vide pour finir en balançoire géante suspendu à un pont très haut, tout comme Jaya. On a du toute les deux descendre en rappel en dépendant l'une de l'autre pour progresser correctement en direction du sol. C'est encore aujourd'hui quelque chose qui ne peut pas se réduire à des mots. On se doit de l'expérimenter pour savoir ce que l'on ressent face à ça. Il s'agit donc d'une expérience indéfinissable.
Je l'est déjà expliciter auparavant mais le théâtre est quelque chose qui m'a grandement impacté. Et bien ce n'est pas la seule matière. La philosophie est une matière qui a grandement changé ma façon de penser. Mme Kylet est une professeur incroyable, elle abordait n'importe quelle sujet de manière remarquable, elle captait notre attention et utilisait des exemple qui pouvait nous faire comprendre plus facilement son raisonnement. Ce cours m'a passionné, malgré mon 10/20 au bac. Je pensais tellement avoir réussis cette épreuve mais lorsque j'ai découvert la note, j'ai été déçu. Avec le recul je me dis ce système de note n'est pas vraiment l'idéal. De mon point de vue, il empêche les étudiants de se concentrer entièrement sur l'apport culturel des cours. J'appréciais discuter, débattre avec Nina de nos cours de philosophie. On étudiait les différents philosophes et leurs opinion sur la nature humaine, la beauté, la nature, l'amour, la culture, le moral, le réel, le sujet, la politique... C'était très intéressant, amusant et en plus de ça ludique. Merci également à vous Mme Kylet de m'avoir ouvert à tant de raisonnement différents, d'avoir étendu mon champs de vision, ma manière de réfléchir.
Je vais maintenant vous parlez des mes deux derniers évènements lycéens. En premier lieu il y a eu le bal de fin d'année auquel Nina et moi avons participé en Seconde. Le lycée louait la salle au dessus du cinéma de la ville. Nous passions notre temps dehors, sous le kiosk, à fumer de la weed et à parler de tout et de rien. Ce genre de soirée sont magique. On délirait, on débâtait, on chantait, on marchait dans la ville sous un ciel sombre et étoilé, sous des lampadaires, sous des fenêtres qui abritait toutes sortes de personnalités. Une autre soirée de ce genre : la soirée de fin de lycée des Terminal L 2017. Cette fête prenait place dans un maison témoin au milieu des champs. La plupart des membres de notre troupe de théâtre s'y trouvait : Nina, Julien, Pete, Paulie, Kacy et moi-même. On buvait, on fumait, on s'amusait, je crois que vous avez compris. Nina et moi avions emmener nos tente respectives. On a dormi dehors, avec les bruits de la nature pour nous bercer. Je travaillait le lendemain à 9h et je n'avait dormi que 2h. Je ne suis pas arrivé en retard ce matin-là, mais lors de ma pause déjeuner je faisait une sieste réparatrice, qui fut brisée par la directrice de l'entreprise dans laquelle je travaillait. La majorité des personnes présentes avait apporté un tas de papiers représentant ces trois dernières années. On avait commencé un feu dans le jardin, encore une fois sous un ciel étoilé et une lune resplendissante, où on brulait ces papiers en musique, semblable à des funérailles, à un deuil. Je n'avais pas emmener mes cours car je ne voulais tout simplement pas les brûler, mais ce fut un moment fortement symbolique et emblématique de notre fin de vie lycéenne.
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- Coucou ! J'espère sur ça vous plaît, encore une fois n'hésitez pas à donner votre avis chers lecteurs
- Quelques rajout on été fait dans le chapitre 4 et 5, pour mieux les trouver, ces passages sont en gras.
- Finalement je ne pense pas que les prénoms vont changer mais rien est encore sûr
- Voilà Voilà !
