La decision

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Je retourner quand même chez moi quand les rendez vous était pas proche n'essayer quand même d'avoir une vue normal pour kenzo car il avais besoin de sa maman et de son papa au près de lui, nous avions instauré quelque habitude comme nous dormions dans la même pièces ils endorment devant une saison aux zoo dans notre lit, j'avais besoin de le sentir au près de moi aussi car le soir était le moment où je m'autorisai à craquer je manger une petite soupe dans ma cuisine puis je repasser maigres que je devais me reposer. Tout l'es samedi nous mangions chez mes parents. Est on arrive début novembre et je revois mon médecin on refait une échographie et l'état de ma fille n'a pas changer elle grandit bien mais on doit s'avoir d'où sa vient alors on fait plusieur prise de sang son papa et moi, tous négatifs donc c'est ni chromosome ni génétique. Ma gynécologue me dit que c'est la faute a pas de chance, LÀ FAUTE À PAS DE CHANCE et que si je décide d'avorter se sont bien c'est mots qu'elle m'a dit, que personne me jugerais qu'il me comprendrais , comment on peu dire sa ? A dés parents qui attendent cette enfant, qui aime déjà cette enfant, et là plus part des rendez vous je l'es ai vécu seul alors à chaque fois je m'effondrer seul. J'avais l'impression de ne pas être comprise. Alors ma gynécologue me propose de voir une neuro-pédiatre, j'ai évidemment accepté je voulais s'avoir la gravité de l'a malformation de mon bébé. Même si au fond je sentais que c'était très grave. En faite jusqu'à cette grossesse je ne croyais pas du tout en l'instinct maternelle, mais maintenant j'y croie, nous avons un lien particulier avec notre bébé car nous on le sens de l'intérieur, on le sen grandir bouger, vivre, aimer, et le bébé lui il ressent toute nos émotions, tout notre amour , et il entend notre cœur battre, se lien et tellement unique et beau.

Nous somme arriver au rendez vous du neuro-pédiatre à colombe, nous arriver stressé et nous essayons de rester positif même si c'était très dure nous arrive devant l'ascenseur nous allons a l'accueil du servie ce pour leur dire que nous somme la, on nous dit de patienter dans la salle d'attente, nous tournons en rond le temps me parais une éternité, je me pose mille question mais je me dit surtout faite qu'elle aille bien.

Enfin on vient nous chercher on rentre dans un bureau un peu sombre, avec le recule je me demande si c'est la pièce qui était sombre ou mon cœur ? On commence à parler avec la dame et là elle nous dit que vue les échographies le stade de la malformation et trop grave pour notre bébé, elle ferai crise d'épilepsie sur crise d'épilepsie, qu'elle aura un énorme retard mentale, qu'elle ne se nourrirais pas toute seul, elle serais peut être jamais sorti de l'hôpital, et elle souffre déjà dans mon ventre elle fait déjà ses crise dans mon ventre, si vie était incertaine elle aurais pue mourir dans mon ventre à l'accouchement ou 1 semaine, 6mois ,1ans après. Mais le pire c'est qu'elle aurais souffert toute sa vie, SOUFFERT TOUTE SA VIE, c'est mots résonne en moi depuis bientôt 4 ans. Arriver devant l'ascenseur je fond en larme dans les bras de mon copain, et là notre décision et prise là pires décision de toute notre vie, mais c'était pour notre fille que l'on ferai sa. Nous étions anéantis on ne voulais pas une fin comme sa pour notre petite lola mais elle souffrais et on ne voulais pas qu'elle souffre. Une fois à l'arrêt de bus devant l'hôpital j'appel ma mère mais impossible de parlé je pleur trop pour qu'elle comprenne alors mon copain prend le téléphone mais au moment de raccrocher il fon en larme aussi, et c'est peut être bizarre mais mes larme on cesser de couler comme si je me devais d'être forte pour lui. Le week-end qui à suivit nous l'avons passer chez mon frère et ma belle sœur qui était le parrain et la marraine de lola mais je n'arrivais pas à me changer les idées c'était tellement dure de me dire que je voulais arrêter le cœur de ma fille.

Une vie sans toiOù les histoires vivent. Découvrez maintenant