Au revoir chère comparse

Le theatre macabe

Je couru dans les couloirs alors que le majordome marcher vite derrière moi l'air agacé. Les quelques personne que je croisé s'écartés ,ils semblaient avoir peur mais pas de moi de se qui pouvait se trouver dans mon dos

J'entendis un deuxième son moins fort mais tous aussi terrifiant , comme si toutes les bêtes de l'enfer gueuler en même temps. Le majordome me devança et partis droit devant lui et je décida de le suivre , il marcher encore plus vite qu'avant et je devais réellement courir pour pouvoir le suivre. Il passa devant l'escalier en Y et pris un couloir plus étroit que je n'avait encore jamais emprunté, je ne pouvais presque plus le suivre et je ne connaissais rien de ce manoir. Il pris un autre couloir et je le perdu de vu. J'entendis juste un porte claquer. Enfin se couloir était pourtant vide ou aurait t'il pu aller

Je me retrouvais seul dans ce petit couloir que je ne connaissais absolument pas. J'essayais de retrouver mon chemin en passant dans tous les couloirs espérant trouver quelqu'un qui pourrais me dire ou était Edward ou le comte , quand au bout d'un couloir je vit Maria , je ne voulais crié pour ne pas attiré l'intension alors je le suivi jusqu'à le rattrapé se que je vit enfin. Il me regarda avec un petit sourire amical je lui dis que je m'était perdu et que je chercher Edward par chance il venait de lui apporter une chemise , je le suivi il fit deux pas et m'amena a la porte d'accoté , je n'était pas si perdu il faut croire, il me dis de l'attendre sur un siège et me dis qu'il resterait avec moi de peur que je prenne la mauvaise porte. On resta un moment mais j'avais l'impression qu'il n'osais pas trop me parler mais quand je voulu lui demander autre chose Edward sortis

Il avait refait toute ça tenue, ses cheveux brun était attachés en queue de cheval et je remarquai quelles que traces qui laisser comprendre qu'il se maquiller , au fond oui pourquoi pas ?Il me fit un large sourire et me proposa de sortir dehors. Maria passa devant, je décida de ne pas suivre tous le monde bien gentiment et je passa devant , nous arrivions devant le lac ou Edward dit au majordome de s'arrêtez d'un ton si condescendant. Nous marchions a travers autour du lac pondant un moment, il parlait beaucoup de lui mais avait un certain humour. Je crois que nous parlions 1 heure ou 2 jusqu'au soir , je ne m'étais pas vraiment amusée malgré que l'homme n'était désagréable. Charle nous rejoins et nous demanda de rejoindre le salon pour diner. M'arriva en tête tous de suite le visage de la mère qui me terrifié

Je simulât un terrible mal au ventre pour éviter de me retrouver en face d'elle, par chance c'est Maria qui m'accompagna. Nous marchions dans les couloirs devenus sombre éclairait par la seul leurre des bougies , je décida enfin de dire au majordome:

"Ou est Elizabeth, pourquoi je ne la vois plus depuis cette après midi et dis moi toi aussi tu a étendus ces cries naisse pas"

Il paraissait si gène ,et aussi... avait peur, mais il devait me dire se qui se passait et je lui vit bien comprendre , il arriva enfin a me dire

"Je sais que,. . . vous devez partir !!" maintenant il crié" Je dois pas vous amenais la bas , restez tranquille et faites se que vous devez faire normalement ,taisez vous !"

Je ne pensais pas qu'il aurait pu me parler comme ça .Je décida de partir seule dans les couloirs pour enfin trouver se qui me dérangé ici , il était derrière moi inquiet, je passais d'un tous les couloirs quand je trouva la porte du salon ou j'avais vu entrer pour le dernière fois Elizabeth.

Je regarda le visage de Maria il avait l'air dépité se qui m'indiqua que j'était au bonne endroit. J'ouvris la porte on je remarquer que certain meuble avait légèrement bougés , j'essayais de tous bouger tous touché pour trouver quelle chose , j'ouvrais tous les livres le moindre papier pouvais être un indice. Au détoure de livres je tombé sur une lampe a huile que je voulu bouger pour regardais derrière, il y eu un brut et trois gros livres tombairent par terre. J'alla tous de suite vers l'endroit ou les livres étaient tombaient et je voyer un sorte de pièce extrêmement sombre derrière le bibliothéque pour voir j'essaya de bouger le bibliothèque qui était bizarrement légère, j'arriva a la décalais et a passais derrière mais avant de m'engouffrais dans cette horrible en droit je pris un sabre qui était exposé dans le salon

Je passa dans la pièce, Maria hésita a me suivre mais le fit tous de même .J'avais le sabre a la ceinture , je posais la main dessus car j'avais assez peur de se que je pouvais trouver ici. J'avancer doucement jusqu'à trouver un escalier que semblait descendre dans les profondeur de la terre, il y n'avait que quelques bougies que n'éclairaient presque pas mais on pouvait quand même distingué des traces de griffe sur le murs

je descendit étant sur que je trouverais des réponses dans ce sous sol , Maria voulais clairement m'arrêtait alors il me couru après pour descendre. Nous descendions longtemps jusqu'à arrivé dans une immense pièce circulaire , comme un théâtre antique ,au milieu du cercle il y avait un scène avec un rideau noir qui caché le fond de la scène , les sièges étaient en pierre blanche

J'était en train de regardé cette salle sordide quand j'entendis du bruit dans l'escalier, Maria paru paniqué et me pris par la main pour aller nous cacher derrière les sièges. Les bruits de pas se multiplier, ils y avaient clairement plusieurs personnes. On entendait assez bien se qu'ils disaient mais je ne comprenais pas. Maria avais changé de visage il était sérieux et concentré, il réfléchissait à comment sortir d'ici discrètement.

Soudain des personnes rentrent dans la salle, j'espère que personne ne nous remarque, ils s'assirent et le rideau se ferma. Maria paru inquiet il avait clairement peur , le rideau se réouvrir et on découvrit l'homme qui était avec Madame Cominhive qui se tenait devant une sorte d'hôtel. Il était habillé de manière très sombre, comme tous les gens présents ici ,et avait un grand sourire

Il commença à parlé, je ne distinguais que quelques mots mais ces mots suffisaient à me donner la chair de poule, ils me coupais le souffle, me glacé le sang. J' étais pétrifié mais je restais encore un peu optimiste sur se qui était arrivé à Elizabeth jusqu'à se de j'attende

« La comtesse a rappelé qui vous savait , je ne crois pas que sa se soit bien passé »

Il y eu des rires, et certains personne se chuchotaient des choses à l'oreille . Je ne voyais ni la fille ni la mère d'en la foule, je ne pouvais pas savoir si les personnes qui m'entouré parlaient d'elles. Mais je savais que cela n'annonçait rien de bon . Le visage de Maria était livide, ils avait conscience que quel que chose de grave s'était passé

Touts d'un coup il y eu un brut sourd et l'homme sortis de scène inquiétait 

Suite en cours d'écriture