L' Utopie Animaliste

Chapitre 16

La route pour revenir était plutôt longue. Heureusement mon sommeil m'avait épargné du voyage. Je ne fut pas réveillé par les nombreuses plaintes de Jeanne, c'est Camille qui m'avait raconté cela. J'ai été réveillé par le cri de tout les autres passagers.

Pour bien comprendre il faut savoir que nous sommes d'abord aller ramener Tom et Jeanne.

Une nouvelle nuée de policiers était présent. Cette fois-ci il semblait y avoir le double de ce qu'il y avait la dernière fois. Cela était très compliqué de se garer. Nous nous sommes donc réorganisé à la dernière minute. Pendant que Camille allait raccompagner Jeanne  chez sa mère, Tom et moi allions enquêter sur cette vilaine affaire.

Tout ne se passa pas comme prévu. Tandis que Jeanne était bien rentré, Tom n'arrivait pas à rejoindre sa propre maison. On a dut attendre un policier qui avait l'air plus important que les autres policiers.

"Vous êtes bien Tom Rox ?

- Oui.

- Veuillez me suivre s'il vous plaît monsieur."

C'est ainsi que cette homme a volé Tom. Malgré le fait que la situation avait changé, aucun policier n'avait bougé à part le policier qui avait volé Tom, il l'avait kidnappé dans sa voiture de fonction.

Je suis donc retourné chez Laetitia. Là il y avait Camille, Jeanne et Bérénice et bien entendu Laetitia. Encore une fois on devait attendre.

C'est le lendemain, dans le journal, qu'on a apprit ce qu'il c'était passé.

Un groupe de personne avait vandalisé la maison de Tom. On pouvait voir sur des images amateurs, parce qu'on avait pas le droit de rentrer, des tags sur chaque murs. Nombreux étaient les meubles mâchouillés. Sur le sol étaient parsemés de grosses crottes et des flaques de pisse. L'odeur nauséabonde était extrêmement bien décris. On apprenait aussi que Tom était en garde à vue car les policiers auraient trouvé du cannabis dans son jardin. Étrangement ils passaient cette information tout le temps.

C'est tard dans la nuit que l'on a vue Tom revenir. Il avait l'air très fatigué. Il ne pouvait pas encore rentrer chez lui car il y avait encore des policiers.

Tom disait qu'ils avaient abusé de leur autorité. La garde à vue avait dépassé les vingt-quatre heures. Pendant ce temps il l'avait harcelé de nombreuses questions. Il voulait être sûr que Tom ne soit pas à la tête d'un trafic de stupéfiants. Il l'avait laissé partir car il avait trouvé les coupables qui étaient en fait de jeunes chiots dealeurs.

Par raison de sécurité la police avait dit qu'elle surveillerai le domicile de Tom. Tom me dit alors  qu'il allait sans doute changer de domicile. Après toute cette histoire le travail reprit.