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Texte: La rose de ma vie

« La rose de ma vie. »

Tu es comme une rose. Tu es si attirante de l’extérieur et si belle de l’intérieur. Tu es si attractive fermée et si jolie ouverte.

Il faut prendre le temps de te connaître. Tu sais même si les autres ne veulent pas te connaître, ils ratent beaucoup.

Il faut de la patiente, de l’ouverture, de l’amour à offrir, de la compassion, de la joie, de la pétulance. Tu l’as donne comme ça. Tu es si belle, ton sourire si magnifique.

Tu es peut-être renfermée mais dans le fond combien de secrets caches-tu ? Peut-être des milliers, même des millions qui valent la peine d’être appris.

Une rose qui s’efface, se fane, voilà ce que tu deviens, de la poussière, des cendres. C’est triste moi qui t’aime tant. Une main qui te presse, te compresse, te détruit, te réduit voilà ce qu’est le monde à tes yeux.

Petite, je te voyais comme un ange, un papillon sans ailes. Je ne me suis pas trompée tu es juste devenue une fleur, une rose. Petite rose s’ouvrant à la saison, tu t’ouvres à qui le voudra. Tu offres ton cœur à ceux en qui tu as confiance.

Je n’aurais jamais pensée que tu pourrais être détruite, toi qui est si forte, qui aide les autres même si tu sais qu’ils ne seront jamais-là pour toi, qui donne sans compter, qui se fout de tout, qui est si attirante, si précieuse, comme un diamant.

Tu es mon ange, ma fleur. Reste au lieu de te détérioré. Tu ne connais pas la gloire, mais elle n’apporte que malheur. Tu ne connais plus le bonheur mais il ne pleut jamais indéfiniment, le soleil est rare dans la vie, il est précieux autant que toi à mes yeux.

« Charmante utopie, te détruisant de mille feux, je ne cherches plus qu’à te retenir. Petite fleur pleine d’épine, perdant ces pétales, qui ne connaîtra pas la saison suivante, trop mourante que pour résister à la tentation. »