Chapitre 2.

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PDV Mina.

– "Je suis désolé..."

Ces mots qu'avait prononcé Kirishima me laisse dans l'incompréhension totale. Je me tourne alors vers les autres qui eux, n'avait pas bouger. Seul Bakugo avait ouvert la bouche, disant qu'il ne voulait pas assister au gros malaise qui allait suivre et quitta la cuisine. Je ne comprend pas. Qu'est-ce qu'ils ont tous? Pourquoi Ei s'excuse-t'il?

C'est de la faute de ma mère j'en suis sur. Je lui attrape le bras et la tire. Mon père ne dit rien et nous suit, il a compris le message que je voulais faire passer. Après avoir traîner ma mère en dehors de la cuisine je passe ma tête à travers la porte et sourit à Eijiro en disant:

– "Je ne sais pas ce qu'elle a pu vous dire, mais je suis sûr à 100 % que c'était une bêtise."

Je lève la main pour saluer tout le monde et leur dit à ce soir. Je sens que je vais passer une super journée.

PDV Kirishima.

Cela fait déjà cinq bonnes minutes que Mina et ses parents sont partis, et aussi cinq bonnes minutes que personne n'a osé dire un mot sur ce qui c'était passer. C'est alors que Bakugo entra de nouveau dans la pièce. Tout le monde le fixe et tout ces regards l'énerve au plus au point.

– "Jpeux savoir ce que vous regardez comme ça? Arrêtez de me fixer ou jvous défonce tous!!" Avait-il criais avant avant de s'adresser à moi calmement en disant, "C'est bon? Tu l'as recalée ? Elle a pas trop chialer?"

– "J'ai recalé personne... ou du moins c'est ce que j'ai faillit faire..."

Effectivement encore un peu j'aurais fait une bêtise. Mina est mon amie, sa mère tout comme elle n'a pas l'habitude de mentir. Elles sont d'ailleurs du genre à dire tout la vérité en face, sans avoir de mauvaises intentions cela dit. Toute les filles se lèvent de leur place et viennent se mettre en rond autour de moi. Vu leur regards, j'imagine très bien l'interrogatoire qui va suivre. Et en effet j'ai droit à des tonnes de questions qui me mettent vraiment mal à l'aise.

– "Dis moi", commença Kyoka. " Qu'avais tu l'intention de dire à ce moment exactement?"

– "Je ne sais pas moi même pour tout te dire."

– "C'est vrai? Vous étiez vraiment dans le même collège tout les deux?" Continua Hakagure qui avait l'air de vouloir tout les détails.

– "Oui c'est vrai... cependant on ne s'est connu qu'en troisième année. D'ailleurs elle était très populaire vous savez."

– "Wouaah ça ne m'étonne pas d'elle, elle est tellement adorable." Avait avouer Uraraka et Hakagure à l'unisson. "Mais toi aussi tu devais être très populaire alors?"

Ces mots avaient fait en moi l'effet d'un coup de poignard... pire c'était presque comme si on m'avait retiré le cœur pour ensuite le broyer. Je mis un long temps de réaction avant de leur répondre que elle et moi ne jouons pas dans la même cours. En effet je ne lui arrive pas a la cheville et c'est bien ce qui me dérange. Mina est mon amie, elle m'a toujours encouragé et lancer des fleurs à chacun de mes exploits. Mais je ne suis pas aussi formidable qu'elle. Et cette pensée m'attriste, je n'arrive plus à penser à autre chose.

– "Elle a dit que Ashido était folle de toi." Déclara une voix qui me fit sortir de mes pensées. " Qu'est-ce que tu pense de ça?"

La personne ayant posée cette question était Kaminari. Qu'attend-t'il comme réponse exactement?

– " Pourquoi est-ce que tu pose cette question? Elle ne lui parle presque jamais et se comporte aussi naturellement avec lui qu'avec les autres sa mère à sûrement voulu faire une blague, c'est tout!"

On s'est tous retournés pour regarder la personne qui avait dis ça. Mineta. En fait, il disait cela surtout dans son intérêt. On ne prêta donc pas plus d'attention que ça à ses propos.

La journée passa très vite. Après avoir dîné, tout le monde s'occupa du mieux qu'ils pouvaient. Mina quant à elle, n'était pas encore rentrée. Cela m'arrangeais pour tout dire. Pour la première fois de ma vie, j'ai perdu mes moyens face à quelqu'un. Et pas n'importe qui... c'était la personne que je m'étais promis de surpasser et qui était aussi comme ma meilleure amie, depuis que ceux que j'avais au collège m'ont lâchés.

J'étais installé dans mon lit pendant maintenant près d'une heure, mais une pensée me traverse sans arrêt l'esprit. Cette même pensée que javais réussi à faire disparaître lors de mon entrée dans le lycée de mes rêves. Il fallait bien que je me fasse une raison.

Rien n'a changer.

Rien n'a changé Où les histoires vivent. Découvrez maintenant