Bah c'est une histoire inspirée de Raiponce refaite à ma sauce en crush x reader 😅.
À part ça, si je poste cette histoire c'est avec beaucoup d'appréhension car c'est ma première fic et parce que j'ai une fâcheuse tendance à être ce que j'appelle u...
Un noir infini et une chaleur agréable m'accueillent alors que je sort petit à petit de mes songes. Mes paupières sont lourdes et mon esprit embrumé...
Je me sens bien ici.
Soudain, je sens une soudaine pression accompagnée d'une autre chaleur au niveau de ma tête. Ce qui semble être une petite main pousse mes cheveux qui recouvrent mon visage. Le décor autour de moi passe petit à petit de noir à un espèce d'orange. Comme lorsque l'on a les yeux fermés mais que le soleil reste tout de même assez lumineux pour éclairer les yeux...
J'entends ce qui semble être les brides d'une conversation. Mes pensées deviennent de moins en moins troubles et je distingue petit à petit les différents timbres de voix. Deux me semblent familières tandis que l'une m'est inconnue.
Tout à coup, une immense douleur vient me tomber sur le crâne comme une énorme massue. Je grogne légèrement et serre contre moi la source de chaleur qui recouvre mon corps et remarque qu'il s'agit d'un genre de tissu rembourré.
J'ouvre légèrement les yeux et les refermes à plusieurs reprises au contact de la lumière du jour qui m'aveugle. J'entends les voix s'agiter mais la sonorité ressemble à celle que l'on a lorsque l'on est sous l'eau. Lorsque j'arrive enfin à complètement soulever mes paupières, je suis accueillie par une forme verte floue 'p...?' Est tout ce que j'arrive à comprendre alors que l'image face à moi s'ajuste pour former la petite bouille de Nd.
"Comment tu te sens ?" me demande-t-elle avec ses petits yeux adorables. Je souris et lui caresse doucement la tête.
"Pas très réveillée mais ça va." mon mal-être de la veille me revient soudainement en flèche et je ne peux m'empêcher de grimacer.
"Ça n'en a pas vraiment l'air." remarque l'inconnu qui se penche à mes côtés. Mon regard se perd sur les traits de son visage alors qu'il passe sa main sur mon front. Un pansement se trouve sur le côté droit de sa joue et ses cheveux couleur corbeau sont en bataille. "Ta fièvre ne descend pas." remarque-t-il alors que je sens la chaleur de sa main enveloppée d'un bandage me chatouiller le frond. Ses yeux gris se plissent sous son air concentré tout en perçant mon âme. Je rougis de gêne sous toute cette attention qu'il me donne. Il remarque ma gêne et un sourire narquois se dessine sur ses lèvres. Je le fusille du regard suite à sa réaction et préfère l'ignorer.
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Je laisse mon esprit s'égarer et repense au rêve que je venais de faire. Contrairement à d'habitude, je ne me trouvais pas dans un lieu mystérieux et abandonné mais dans ce que j'assume être une ville. Les gens souriaient, festoyaient, s'amusaient, marchandaient, etc... Cela semblait être le bonheur sur Terre. Pourtant, d'un instant à l'autre, cette bonne humeur céda à une panique générale. Les gens couraient dans tous les sens, se bousculant les uns les autres. Des enfants se retrouvaient abonnés seuls et pleuraient leurs parents. Des ombres se déplaçaient rapidement, ce qui m'empêchait de les identifier. Ce qui est sûr, c'est qu'elle tuaient de nombreuses personnes sur la place en question.
