tic tac.

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PDV Ariana :

Ses lèvres effleura les miennes, et une douce sensation enflamma mon bas ventre. Mon regard ne cessa de divaguer sur ses lèvres, puis aller terminé son chemin dans ses yeux enivrant. Je crû qu'il allait m'embrasser, et cette idée me plû énormément. Seulement, quand la porte d'entré claqua, il s'écarta soudainement. Je cligna plusieurs fois des yeux et me tourna vers ma mère qui elle, nous regarder, les sourcils froncés.

Elle parut réfléchir et un sourire idiot étira son visage, elle nous regard, chaqu'un notre tour et s'approcha de nous. Je crû devenir rouge, je sentis mes joues se réchauffer et je n'osa pas regarder le jeune dans les yeux.

Sweetpea : Bon euh....On se revoit plus tard....En revoir Madame Clifford.

Moi: ouais salut...

Maman : Au revoir jeune homme.

Il nous adressa un timide signe de la main et s'éloigna rapidement. Je prit une bouffé d'air froide et regarda la direction dans laquelle il était parti. Et je m'étonna a espérer qu'il reviennent en courant, et qu'il m'embrasserait langoureusement.... Mais ce ne fut pas le cas.

Je soupire et secoue la tête, j'alla mettre mes sacs dans le coffre et monta côté passager. Ma mère monta elle aussi et démarra, je posa ma tête contre la vitre froide et regarda mon chez moi. Je n'étais pas réellement triste de partir pour quelques jours, ou Quelques semaines. Car je sais que cela mettrait ma mère en sécurité, loin de moi. C'était la meilleure chose a faire, et pourtant je n'avais pas envie d'être loin d'elle.
J'esquissa un sourire quand ma mère commença a rouler et qu'elle me mit un leger coup de coude dans les côtes.

Maman: Alors ?

Moi: Alors quoi ?

Maman: Avec ce jeune homme ? Il c'est passé quoi, raconte !

Moi: absolument rien....Tu es arrivé au moment où on aller s'embrassait.

Maman: Oh....je suis désolé chérie.

Moi: Ce n'est rien, ce n'était peu être tout simplement pas le bon moment.

Elle me sourit tendrement et conduit jusqu'à la maison des Cooper. Elle se gara et éteignit le moteur, je sortis de la voiture et alla prendre mes affaires. Ma mère descendit et me prit rapidement dans ses bras, je la regarda et elle caressa délicatement mes joues.

Maman: Prends soin de toi d'accord ?

Moi: Compte sur moi.

Elle sourit et embrasse mon front, ce geste me donna des frissons. Elle ne l'avait plus fait depuis.....depuis que j'avais 9 ans, et que mon père était toujours vivant. Elle parût vouloir s'en aller mais son corps ne l'écouta pas et resta sur place. Je ricane et la pressa de partir.

Moi: Si tu n'y va pas maintenant tu risque de ne plus vouloir que je quitte la maison....

Maman: oui tu a raison....aller bisou Aria, appelle moi demain après les cours.

J'hocha la tête et elle rentra dans son véhicule, elle me fit un signe de la main avant de s'en aller. Je la regarda s'éloigner et alla toquer a la porte des Cooper, ce fut Betty qui m'ouvrit. Elle m'invita a entrer, toute excité de devoir m'héberger, enfin je suppose.
J'alla salué ses parents et les remerciés d'avoir accepter, je fut légèrement troublé quand son père, me fixa et ne répondit pas a mes remerciements comme le faisait sa femme.
Betty me prit par le bras et m'attira dans sa chambre, elle s'assit sur son lit et j'en fit de même, posant mes affaires a l'entrée de la pièce.

Betty: Je suis désolé pour ce qu'il c'est passé....

Moi: Ne t'en fais pas, ça aurait pu arriver a n'importe qui.

Betty: Mais c'est tomber sur toi...

Moi: Parfois il faut....Subir a la place des autres.... Et leurs éviter de vivre un enfer.

Betty: Ici je l'espère, tu seras en sécurité.

Moi: Je l'espère également....

Après avoir discuté pendant des heures et des heures, nous passons a table et durant tout le repas je resta muette. Ne répondant seulement quand il en était nécessaire, je ressentais toujours cette gêne, et je ne pouvais expliquer pourquoi. Quand nous avons terminé de manger, J'alla me changer et je m'endormis aux côtés de mon amie.

*********

Je marcha dans les couloirs remplis d'élèves et une porte grinçante me fit tourner la tête. Une grande masse me regarder, a l'entré de la classe,  ne me lâchant pas du regard. Je fronça les sourcils et hésita a le suivire quand il s'enfonça dans la salle. Je m'avança lentement jusqu'à la porte et me retourna subitement quand les lumières s'éteignirent.

Rien.....
Plus un bruit, juste le son de ma respiration devenant saccadé. Seule la faible lumière indiquant la sortie de secours éclaira le long couloir. Je voulu m'y diriger mais un bras s'enroula autour de ma gorge, m'entraînant dans la pièce avec lui. Soudain, les lumières se rallumes et la personne me plaqua au sol, se mettant au dessus de moi, m'empêchant de bouger.  je vit le noir, des yeux vert qui reflété le néant. J'esseya de me débattre, de me dégager de sa prise, mais ce fut en vain.

Comme ci j'avais perdu tout mes réflexes, j'étais inoffensif....Et je détesta cette sensation de faiblesse, d'impuissance. Je sentis ses mains sur mon cou, et il n'hésita pas a le serrer. Je commença a suffoqué et j'envoya des coups dans le vide, en espérant le toucher. La présence de ses mains s'efface, mais je n'y était pour rien, il en avait décidé.

Je le regarda, et sentis des larmes couler sur mes joues. J'hurla mais personnes ne vient....Car personnes n'était présent. Je me releva en furie et chancela légèrement avant de m'appuyer sur une table, reprenant mon souffle. J'observa l'inconnu se rapprocher et j'effectuais un pas en arrière a chaque fois qu'il en faisait un en avant. Je me mit dos a lui et courut jusqu'à la porte, mais je ne rencontra qu'un bout de bois impossible a ouvrir.
Je tourna rageusement la poignée, essayant de créé un moindre mouvement, mais elle resta close et il m'était impossible de sortir.

Je me tourna vers l'homme et le vit a quelques centimètres de moi. Je retiens mon souffle, apeuré et regarda ses moindres fait et gestes. Il me regarda dans les yeux et leva la main, j'eu un sursaut, craignant qu'il ne cherche a me toucher, mais il ne le fit pas. Il dirigea sa main vers son visage et souleva lentement le bord de sa cagoule. Il la retira et je pû apercevoir ses traits, sa peau.

Mes jambes cédèrent sous mon poids et je m'ecroula au sol, mes joues inondés de larmes salés. L'homme se pencha a ma hauteur et prit mon visage entre ses mains, il embrassa mon front et sortie une arme. Il la braqua sur ma tempe et enleva la sécurité, je ferma les yeux. Ne désirant pas le voir, alors que c'était la seule chose dont j'avais rêver ces derniers mois.

Je ne shouaitais pas  revoir l'homme qui m'a mise au monde.
Qui m'a élèvé et fait de moi celle que je suis désormais.

Ma Nouvelle Vie À Riverdale { S.P } Où les histoires vivent. Découvrez maintenant