De quoi as tu peur ?

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PDV Ariana :

Nous étions tous réunis chez Archie, les serpents d'un côté, les bulldogs de l'autre. Les deux clans ne d'apprécier pas, et ce fut le plus dommage. Cependant je passa outre et leurs expliqua a tous ce que j'avais en tête depuis ce matin, tous les regards était a présent porter sur moi et je chercha mes mots avant de parler.

Moi: bien... Déjà merci a tous d'avoir accepté de venir et de m'écouter.

La réponse a mes remerciements fut seulement des hochement de têtes et des sourires pour certains. Je m'attarda sur le grand jeune homme au cheveux noir qui était au fond de la pièce, cacher derrière ses amis. Cela faisait longtemps que je l'avais pas vu, et le revoir dans des circonstances pareils me gèna. Je détourna alors le regard, voyant qu'il ne me porter pas réellement d'attention, trop occupée a examiné le plancher. Je repris alors ou je m'étais arrêté.

Moi: si je vous ai demandé de venir c'est parce que ma mère a disparue....elle c'est faite enlèver plutôt. Et malgré le fait que vos deux clans ne s'entendent pas, je sais que vous avez le même ennemi. Personne ne veut de la cagoule noire ici, a Riverdale.

Je pris mon sac de cours que j'avais finalement remplie de cagoule que j'avais pu trouver dans les magasins par-ci par-là. Cela m'avait coûté assez cher, étant donné le nombres de personnes que nous étions, j'attrapa une cagoule noire et la mit en évidence devant tout le monde. Je pu voir leurs regard interrogateurs et pu entendre les murmures s'élèvés.
Jughead se leva et se plaça a mes côtés, il fit signe aux bavards de se taire et posa une main sur mon épaule.

Jughead: Je sais que certains d'entre vous n'avez pas vraiment envie de venir, et si son plan ne vous plaît pas, rien ne vous retient, mais écoutez jusqu'à la fin.

Je lui lança un faible sourire et leurs montra l'intérieur de mon sac remplie a craqué, je pris quelques minutes avant de reprendre la parole. Laissant les plus impatients s'impatienter.

Moi: La cagoule noire inspire la terreur...

?: Donc tu veux qu'on deviennent comme lui ?!

Moi: non, je ne vous demande pas de devenir comme lui, mais de ne plus avoir peur de lui. Il veut voir la frayeur dans nos yeux, et on lui donne ce qu'il veut. Mais si ont cesse de lui donner ce qu'il attend de nous, il ne sera plus quoi faire, il sera vulnérabld. Et ce sera notre seul chance de pouvoir l'attaquer.

Véronica qui était assise sur le canapé se leva et me rejoint, moi et Jughead au milieu de la piece.

Véronica : Il faut être plus malin que lui, et agir le plus rapidement possible avant qu'il ne trouve une autre solution. Une solution pour continuer ses actes affreux.

Moi: Je ne veux pas vous mettre en danger, c'est pourquoi vous aurez ces cagoules, pendant que moi, je ferais l'appât. J'attirerai l'attention sur moi, pour que vous puissiez faire ce que vous avez a faire sans interruption.

Toni: Et qu'est-ce qu'on doit faire au juste ?

Moi: Vous vous devrez essayé d'avoir des informations sur lui, via les gangs qui vous entourent, vos contacts. Même si ces informations sont inutiles, ils me les faut, mis bout a bout ces informations révélera son identité. Tandis que vous les bulldogs, j'aimerais que vous continuez ce vous avez commencé. Les crimes étaient moins fréquents quand vous traîniez dans les rues.

Je vida le contenu de mon sac sur la place libre du canapé et fit quelques pas en arrière.

Moi: Si vous voulez vous joindre à nous, prenez une cagoule.

Une forte tension régna dans l'habitacle, les groupes d'amis se concertent, se demandant si oui ou non ils devaient accepter. Puis, peu a peu ils se mirent en file indienne et je vit la pile de cagoule s'affaisser. Je fit un signe de tête au personnes qui s'en allèrent, ne voulant pas faire partit de cette manigance, je soupira quand plus les gens partirent et que les cagoules restèrent toutes aussi nombreuses.

Puis, après plusieurs minutes, une, deux, trois puis 26 disparurent. Allégeant mes épaules d'un poids Infernal a supporter, je remercie ceux qui me salua, déterminé a ce que ce monstre dégage de notre ville. Des serpents, des bulldogs, ils firent parties des deux camps a s'allier a moi.  Bientôt, seuls mes amis étaient encore présent.

Betty me pris dans ses bras, un sourire jusqu'aux oreilles, je sourit et la serra contre moi. Heureuse que cela est marcher, je craignais de me retrouver seule alors que la cagoule noire est une menace pour tout le monde. Je sais que ce que nous faisons était inconscient. Que nous devrions laisser les grands faire tout le boulot, et continuer de vivre normalement mais, j'en avais assez, assez qu'ils nous prennent pour des gamins.

On peu etre tout aussi efficace qu'eux, mais ça ils n'en avaient rien faire, on devait suivre les règles et se taire, autrement vous devenez rapidement le petit bizarre de la ville.
Mais je m'en contre fiche, j'ai des informations qu'ils n'ont pas, des souvenirs qu'ils n'ont pas. Et c'est exactement ce qui nous différencie, j'agis car je sais que j'ai une chance. Que je gagnerais. Et même si ce n'est pas le cas, alors j'assumerai les conséquences, et ça ne me fait pas peur.

******
Cela faisait maintenant deux jours que notre petite manigance avait prit vie, et jusque là rien de bien intéressant avait fait surface. Mais je ne cesse d'encourager les personnes nous aillant rejoins, leurs disant qu'ils font du beau boulot, et j'étais sincère. J'étais reconnaissante envers eux de ne pas m'avoir laisser me démerdé dans mon coin.

J'étais actuellement au lycée, les cours prenaient fin et j'en fut très heureuse. Depuis ces deux derniers jours, j'étais très pressé a l'idée de sortit du bahut et continuer mes recherches. Je savais qu'on pourrait trouver quelque chose de bien particulier, même si cela doit prendre plusieurs semaines, on y arrivera.

Je sorti de l'établissement, mon sac a l'épaule, je rentra seule aujourd'hui, Betty et les autres avaient des choses de prévus, alors je me dirigea vers ma moto. Je m'apprêta a mettre mon casque mais une voix grave m'interpella. Je me retourna alors et vit le jeune homme qui m'avait comme évité ces derniers jours.

Je posa mon casque sur le scelle de ma moto et le regarda, attendant qu'il me dise la raison de venue si soudaine. Mon regard devait probablement être pesant puisqu'il se gratta la nuque avant d'essuyer ses mains moites sur son jean.

Sp : Euh....Je voulais m'excuser....

Moi: A quel propos ?

Sp : De....De ne pas vraiment t'avoir calculer. J'etais stresser de devoir te reparler.

Moi : pourquoi ? Il ne sait rien passé, et de mon point de vue, ça ne sert a rien qu'il y est ce malaise entre nous.

Sp: Bah justement....On a quand même faillit s'embrasser. Et le fait que ce ne se soit pas passer ma vraiment troublé. Je ne cesse de me demandé si tu m'aurais repoussé ou si tu m'aurais embrasser en retour....peu être que tu t'es réjoui quand ta mère est arrivé et qu'elle a mit fin a ce moment.

Je pouffa légèrement de rire et je vit son regard me détaillé, c'était la première fois que je le voyais aussi gêné. Il joua nerveusement avec ses doigts, me regardant fixement, attendant une réponse.

Moi: Et bien, essaie a nouveau et tu verras.

Je me rapprocha lentement de lui, glissant mes mains derrière sa nuque. Il me regarda, légèrement surpris, un sourire prit forme aux coins de ses lèvres et il posa ses mains sur ma taille. Me serrant délicatement contre son corps chaud, je me mordi la lèvre, mon coeur battant la chamade. J'observais son visage si doux, si délicat et beau.

Inconsciemment, j'approchais mon visage du sien, je savais ce dont j'avais envie la tout de suite. Je voulais sentir ses lèvres sur les miennes. Nous étions tellement proches que je pouvais sentir son souffle, je le regarda une dernière fois dans les yeux avant de me mettre sur la pointe des pieds.

Ce fut lui qui brisa les quelques centimètres nous séparant, des milliers des papillons volèrent dans mon bas ventre et mon cœur fit une overdose de bien être. Je le sentit sourire contre mes lèvres quand je répondit tendrement a son baiser. Il demanda l'accès a ma langue et je lui donna volontiers, nos langues dansèrent une danse endiablé. Laissant le baiser devenir plus passionné et langoureux.

Ma Nouvelle Vie À Riverdale { S.P } Où les histoires vivent. Découvrez maintenant