Finn Awakens

Chapitre 12: Coalition

Voilà, je l'avais promis, le voici, la suite de cette fanfiction.
J'ai encore trois chapitre après celui-ci de terminé, mais aucun (y compris celui-ci) n'est passé par  Bêta-lecture ou Bêta-correction. N'hésitez donc pas à me donner votre avis ou des signalements quant à des fautes présentes dans ces derniers.

Pour ceux qui trainaillent sur mon fanfiction . net, vous devez être au courant d'une chose:
j'ai pour projet de ré-écrire Finn Awakens (et de changer ce titre qui me parait un peu... facile, genre, je suis pas allée chercher loin le jeu de mots XD)
Mais comme je suis pas complètement dingue, je vais quand même essayer de finir cette version avant de me lancer dans La Grande Ré-Écriture (qui me fera m'arracher les cheveux à n'en pas douter lol)
Je serais cependant lente. Mais alors vraiment, très lente je pense. Désolé.
Je suis maintenant une adulte et malheureusement, ça veut dire que je travaille, alors finit les dodo à 00h00 et les après-midi à glandouiller. Et bien entendu bonjour les réveils à 5h30 du matin et les soirée manger douche dodo. Le rêve haha

Bon, je ne vous fait pas plus attendre (vous allez déjà devoir le faire pour la suite).

Sur ce, je vous souhaite une bonne lecture et je vous remercie de votre patience, en espérant que ça vous plaira.

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-J'ai peur de ne pas comprendre la raison de votre hilarité, messieurs dames.

-C'est rien C3PO, je t'expliquerai plus tard, répondit Leïa avec un sourire indulgent.

-Vous là-bas ! Faites moins de bruit ! Nous sommes dans une Med-bay ici ! Pas un salon de thé ! Allez rire ailleurs voir si j'y suis.

Le médecin ayant parlé avait agité son scalpel tout en parlant, ils eurent un instant peur que ce dernier se retrouve planté dans le mur derrière eux comme encouragement pour leur départ.

Poe était lui encore secoué d'un rire qu'il avait fait silencieux parce qu'il ne voulait vraiment pas sortir de la pièce et se retrouver à le quitter des yeux.

-Dameron, décolle donc ton beau postérieur de ce mur et viens avec moi, lui lança Jessica.

-Non merci, je préfère-, voulut-il protester.

-Pas de ça avec moi, mon vieux, tu ressemble à un chiot qu'on aurait battu, roulé dans la boue et dont les poils sont tout sauf dans un seul sens. Si ton dulciné se réveille et te vois dans cet état, il est bon pour une crise cardiaque tellement tu es à faire peur.

-C'est vrai que tu as l'air en vrac, Poe, rajouta, pour la bonne cause, Rey qui savait la disparition temporaire du pilote au teint un peu cireux et à l'allure négligé nécessaire.

De gré ou de force, elle devinait que sa collègue le traînerai vers les quartiers du personnel, alors elle préférait l'aider. Poe avait besoin de prendre un peu soin de lui avant qu'il ne finisse par sentir autre chose que l'antiseptique.

-Allez, bouge tes fesses, va dormir, manger, boire, prendre un bain ou une douche, je n'en ai que faire. Tu va te ramollir à force de rester cloitrer ici. Et ton X-wing mérite un peu d'attention, il prend la poussière dehors.

La générale décida de rajouter son grain de sel.

-Je suis certaine qu'une petite séance de vol te redonnera des couleurs, suis donc ton amie.

Le brun regarda légèrement estomaqué, les trois femmes autours de lui, qui le scrutaient de leur yeux de perçants, comme un cheveu dans la soupe. Il murmura, désabusé.

-C'est un véritable complot, elles se sont toutes liguées contre moi ma parole ! Si vous vouliez que je déguerpisse, fallait le dire clairement.

Et il pu apercevoir devant lui le sourire satisfait du docteur qui agita de nouveau son scalpel, mais en direction de la sortie cette fois-ci.

Soupirant comme un forcené et grommelant, le bouclé se mit en marche en marmonnant des "traîtresses !" dans sa barbe - qui était actuellement au goût du jour - en direction des deux jeunes femmes qui le regardait avec des sourires vainqueurs. Il évita cependant de regarder le toubib et sa supérieur.

Il se stoppa à la porte, hésitant, jetant un long coup d'oeil vers Finn.

-Poe... la voix menaçante de Jessica le fit se retourner, la voyant porter la main jusqu'à sa chaussure, dans un mouvement qui montrait clairement qu'elle allait lui balancer dessus.

Il fila sans demander son reste.