The arrival of the mentally deficient [Danganronpa fanfic]

Chapitre 2

« Pourquoi tu fais cette tronche ?

-J'aime pas le sport.

-Le cliché de la fille qui n'aime pas le sport. Fit remarquer Korekiyo.

-TOI LE STALKER J'T'AI PAS CAUSE. Criais-je. »

Et je partis vers le gymnase en moonwalk, regardant Korekiyo avec un regard noir. Du moins jusqu'à ce que je me prenne un arbre. Attendez, que fout un putain d'arbre de ses morts en plein milieu du putain de chemin de ses morts ? Je me retourne et, miracle ! Mireille Mathieu ! Ah non, c'est Kokichi, mdr.

« Kokichi ! Mon amour !

-Oula, tu as consommé quoi avant de venir ? Me demanda Kokichi.

-Rien, laisse-moi être gentille pour une fois !

-Tu dis ça mais tu ferais pas de mal à une mouche. S'incrusta Ludonounet.

-Si, les mouches, j'les fume !

-Oh. Pu. Tain. Commenta Kaito qui s'était aussi incrusté.

-Wallah vous cassez les couilles je passais un moment en amoureux avec Kokichi, wesh.

-Keske...répliqua Korekiyo qui s'incruste aussi, tant qu'à faire.

-Je précise que je ne suis pas consentant. Fit remarquer Kokichi.

-Alors on peut dire que je t'ai violé ! lâchais-je avec un sourire de gogole.

-Mon dieu, mais piquez-la ! S'exclama Miu, toujours Kiibo contre sa poitrine.

-Pourquoi vous vous incrustez tous ? Laissez-moi violer Kokichi !

-Eh les jeunes ! Vous foutez quoi ? Allez vous changer ! S'exclama un nounours rouge trop choupinou.

-Bah on essaye de comprendre pourquoi Marion et Kokichi passent un moment en amoureux. Lâcha Shuichi.

-J'ai déjà dit que j'étais pas consentant !

-Et moi j'ai dit que c'était un viol, pas un moment en amoureux. Roh, vous suivez rien.

-Et dire qu'à la base ça partait d'un délire qu'elle s'est fait toute seule...soupira Kaede. »

Au final on est tous allés se changer puis on est revenus, les filles en t-shirt blanc simple et en short noir, et les mecs en t-shirt blanc et en bermuda noir. En passant j'ai fait un câlin au prof et je suis retournée sagement à côté des autres.

« Je rêve pas, tu viens vraiment de prendre notre prof dans tes bras de moustique ? Me dit Ryôma, choqué.

-Eh oh, ils sont très bien mes bras de moustique. Et puis d'abord c'est un nounours donc ça compte pas, nah !

-J'crois que tu l'as choqué, surtout. Lâcha Maki.

-Ca veut dire qu'on va pas faire sport ? Demandais-je, des étoiles dans les yeux.

-Tu rêves, je veux vous voir secouer vos petits derrières les filles. Allez hop, plus vite que ça ! Répondit Monsieur Monotaro.

-Génial, un pervers...soupira Ludo.

-Ah non, juste j'aime bien voir des trucs qui rebondissent ! C'est pas ce que tu crois ! Essaya de se rattraper le prof.

-Mais vous ne nous avez même pas dit ce qu'on devait faire comme sport...dis-je.