DESTINÉE

Partie 52: BRISÉ

Hey Hey guys🙋🏽‍♀️ alors prêts pour des suites palpitantes ?

Bonne lecture😘😘

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AKF

Que dire si ce n'est que ma vie est totalement détruite maintenant..!

En fait je n'ai jamais eu de vie je pense, car tout n'a été que mensonge.

Je ne m'appelle pas Abdel Kassir et je n'ai pas de famille, donc pas de nom de famille.

Ma personne est inconnue de tous, et elle me l'est aussi.

Je regardais ces hommes passés les menottes aux deux femmes que je croyais être des membres de ma famille et je ne disais rien étant impuissant.

Mes yeux croisèrent ceux de la femme qui, jusqu'à ce matin, j'ai considéré comme celle qui m'a mis au monde, et là j'eus un pincement au cœur.

En effet elle a pris la place de ma mère pendant toutes ces années et m'a fait croire à des bobards depuis que je suis tout petit.

Elle: Mon fils s'il te plaît ne les laisse pas m'emmener, ne crois pas en ce qu'ils ont pu te raconter, ils mentent.

Disait-elle en larme et je la regardais sans savoir quoi lui dire.

Elle dit qu'on m'a raconté des mensonges, mais je me demande comment une telle masse de personnes de tout âge peut me mentir de la sorte?

Ça se voit qu'elle se fout royalement de mon intelligence.

Elle: Kassir mon fils,... écoute moi s'il te plaît.

Je mourrai d'envie de lui poser les questions qui me taraudaient l'esprit.

Lui dire de ne plus m'appeler Kassir, ni mon fils, mais je ne pouvais pas le faire.

Car rien que le fait de lui parler me dégoûtait au plus profond de mon âme.

La femme qui avait tout orchestré ce soir, venait d'entrer de nouveau dans la salle et une fois de plus elle attira l'attention de tous ceux qui étaient là.

Je ne sais pas ce que je ressens pour elle.

Mes sentiments sont tellement confus!

Je ne sais pas si je dois être reconnaissant envers elle pour m'avoir tout dit ou être heureux de savoir qu'elle est ma sœur ou même si je dois la détester pour avoir chamboulé le restant de mon existence.

Je ne sais vraiment pas quoi penser d'elle.

Elle nous regardait tous à tour de rôle et puis sa voix ce fit entendre.

Elle (aux hommes qui sont restés dans la salle): Mais qu'est-ce-que vous attendez encore? Amenez-moi ces folles là où elles méritent d'être.

Les hommes exécutèrent et les deux femmes se mirent à hurler "NON ATTENDEZ, VOUS FAITES ERREUR" "NON".

On les fit sortir de la pièce de force.

Léna : Kassir!

Elle était entrain de venir à moi mais son père la retint.

Lui (colérique): Ne t'avise surtout pas de t'approcher de lui.

Lui disait-il furax

Rakhim lui, n'osait même pas me regarder dans les yeux et c'etait tant mieux.

Il m'a déçu et trahi des pires manières qui soit.

J'ai tellement envi de sortir d'ici, de ne plus avoir à revoir tous ces visages qui me rappelleront cette soirée à jamais, j'aimerais tellement mais tellement disparaître.