CHAPITRE III : ENFER ET DAMNATION !

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- « Spe, je Je suis vraiment. Vraiment désolé pour tes parents, mais » Je l'interromps : « Non ! Tu n'en as rien à foutre de mes parents ! Avoue ! Tous ce qui t'intéresse c'est ton putain d'héritage de merde ! Avec ta dague de mes couilles ! Je n'en ai rien à foutre que tu sois désolé ou non, ça m'est égale ! Ils sont morts, par ma faute ! Cette dague est une putain, de malédiction ! J'arrête, casse toi, dégage de ma vie ! Je te rend la dague, et tu vas la donner à quelqu'un d'autre ! »

- « Spe ! Avec qui parle-tu ? Je comprends que tu sois sous le choc mais ce n'est pas la peine de crier ! » Dit le surveillant M. Berger.

- « Spe. Tu ne peux pas arrêter maintenant » Dit Morgane d'un air sûr d'elle.

- « Pourquoi pas ? Mes parents sont morts à cause de cette dague ! Ils sont morts parce que tu m'as demandé de les blessés ! Ils sont morts alors que leurs fils leurs à montrer qu'ils les détestent plus que jamais ! »

- « Peut-être mais tu ne peux pas arrêter. Tu m'as dit que tu étais fait pour ça, tu mas dit que tu le voulais, quitte à risquer tas vie. »

- « Ma vie oui, mais pas celle des autres ! »

- « En risquant ta vie tu risques de tous les cas celle des autres. Spe. Si tu arrêtes. Tu meurs »

- « Bon. Puisque jai le choix »

Pendant ce temps, le camarade qui va partager ma chambre monte les escaliers. Il ouvre la porte et entre dans notre chambre : « Hey salut ! Tu dois être Spe, je m'appelle Franklin. »

- « Euh ouai c'est moi, salut Franklin. Dis-moi, c'est quand le prochain voyage ? »

- « Je crois que c'est dans quelque jours, à Paris il me semble. Mais euh Pourquoi tes là ? T'as dépassé les bornes ? »

- « Mes parents n'avait pas assez d'argent pour me garder »

- « A ok, du coup tu ne rentres pas chez toi le week-end ? »

- « Non ils sont morts »

Je me suis bien rendu compte que mes mots étaient froids, et que ça avait étonné Franklin. Mais ils valaient mieux cacher ses faiblesses que de les montrer à un inconnu. Les jours passèrent, et nous partions à Paris j'eut rencontré les amis de Franklin, et ils m'ont tous de suite appréciée.

Tout d'abord, Franklin, le petit rigolo de la bande.

Ensuite, Eve, une fille à fort caractère, et petite amie de Franklin.

Mais surtout, Marie, elle est Waw Je n'ai jamais ressenti ça pour une personne. Mais elle est Jolie, intelligente, fort bien éduquer. Elle est géniale ! Bref. En arrivant à Paris, Morgane me donna les indications. L'homme que je recherchais étais Edouard Rein. Il est accusé de meurtre sur mineurs à multiples reprise. Morgane dit qu'il se cache dans un endroit très connu. Certainement le symbole de la France. La Tour Effel. Selon Morgane, le seul endroit où le gouvernement français ne chercherai pas serai dans la Tour Effel. En même temps qui irait se cacher dans la Tour Effel alors qu'il est recherché ? Et bah Edouard Rein lui, l'as fait, j'ai attendu patiemment le jour où l'ont allait visiter la Tour Effel, et c'était le dernier. C'est plus simple pour disparaitre par la suite. Les jours passèrent, Marie et moi nous rapprochions. Je crois que j'étais définitivement tombé amoureux de cette fille Franklin et Eve eux, voyais ce rapprochement, et n'hésitaient pas à nous le faire remarquer : « MARIE ET SPE SONT AMOUREUX ! MARIE ET SPE SONT AMOUREUX ! MARIE ET SPE SONT AMOUREUX ! » Nous répondions comme toute personne normale : « Mais nimportent quoi ! » Mais en réalité, nous savions que nous étions amoureux Morgane elle, était heureuse pour moi, mais me rappelait que le jour de la mort d'Edouard Rein se rapprochait. Et justement, ce qui devait arriver, arriva.

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