CHAPITRE IV : LE BONHEUR, HABITE A CULTIVER

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- « Mesdames et messieurs bonjour, au sommaire aujourd'hui Edouard Rein mort hier soir dans un internat, il aurai été poignardé dans la tête, il semblerai que le coupable soit Andrade, un héros ou un criminel ? Voilà notre sujet de ce soir »

Le lendemain, ce fût calme. Je me réveillais avec étonnement car mon acte fut important aux yeux de la télévision, à un tel point que je fu la une d'un journal. En tous cas, je commençais vraiment ma relation amoureuse avec Marie. Franklin et Eve se faisaient discret de leurs côté. Ils ne voulaient pas nous déranger et nous de même. Marie était De plus en plus belle, intelligente, du moins, plus je passais du temps avec elle, et plus j'étais amoureux de cette fille. Je ne saurai comment expliquer ce que fait ressentir l'amour mais, les papillons dans le ventre, le fait de perdre ses moyens devant l'être aimé. Tous ce que je pensais bête et irréaliste avant, était en fait vrai. Marie m'a fait m'en rendre compte.

Ce mois fût le plus beau de ma vie. J'étais épanouie à la fois par l'amour, l'amitié, mais aussi par la raison. Celle de vivre. J'ai beaucoup réfléchi et depuis que j'ai rencontré Marie j'ai une peur plus grande de mourir. Avant cela ne me dérangeait pas de me mouiller pour le monde en mettant ma vie en jeux mais Maintenant que j'ai une personne qui me donne enfin la joie de vivre Je ne suis plus vraiment sûr de vouloir faire cela C'est assez stupide de dire ça maintenant mais L'amour a ses raisons que la raison ignore.

Des jours, des semaines passent sans que Morgane n'apparaisse. J'avais une habitude, un train quotidien. Je révisais et travaillait à l'école en me persuadant que ça me servirait dans la vie. Or, ça n'était qu'un mensonge qui dur, qui dur et qui dur. Jusqu'à ce que le mensonge devienne presque réalité. Marie me persuadait que mes études serviraient à quelque chose. Et que continuer ce "travail" avec Morgane, pourrais me mener à ma perte. Je ne savais quoi en penser. J'étais conscient du risque, mais pas assez. De plus, si j'arrête, je pourrai mourir car ce serai compter comme une faute, or si je continue, je mourrai aussi...

J'étais coincé dans un cycle infernal. Un cycle, sans issue, sans faille, ou toutes personnes qui commence la parties n'en ressort qu'en mourant. J'avais trouvé le bonheur, mais j'étais piégé par la mort. Le temps passait et nous approchions de la date fatidique de notre départ. 1 semaine avant notre départ dans les dortoirs le matin : « Hey ! Lève-toi Spe ! C'est aujourd'hui !" Dit Franklin en souriant. »

- « Quoi ? C'est aujourd'hui ? » Dit-je d'un air paniqué. Puis, quelqu'un toque à la porte : « Spe ! Allez dépêche-toi on va déjeuner avant d'aller nous préparer ! » Disent Marie et Eve.

- « Oh putain c'est aujourd'hui... »

C'était le jour d'un examen mathématique très complexe. Marie, adore les maths, elle voudrai devenir mathématicienne plus tard, et, je lui ai promis de faire son examen de math avec elle, tout comme Franklin et Eve. Avec Franklin, nous somme allé nous préparer. Marie et Eve aussi. L'heure passe et celle de l'examen approchait... Je n'accordais pas d'affection particulière pour les maths mais j'étais tous de même stressé à l'idée de me surpassé par amour. Vais-je raté ? Vais-je décevoir Marie ? Et si j'échoue à tous va-t-elle me quitter ?

Ces questions me trottais dans la tête. C'était dur de les ignorer... Quoi qu'il en soit, après un déjeuner bien rempli et une bonne douche, nous étions prêts. 10 minutes avant l'examen, je suis allé voir Franklin : "Hey ! Comment ça va ?"

- « Très bien et toi ? »

- « Et bah, à vrai dire, je stresse. »

- « Je sais. »

- « Quoi ? Comment ça ? »

- « On sait tous que tu en peu plus, que ton amour pour Marie déborde, c'était sûr que tu sois stressé. Mais euh... Ne t'inquiète pas ça va aller. »

AndradeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant