CHAPITRE XVII

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BARCELONE CHEZ LÉONELA

JE PRÉPARAIS LE PETIT DÉJEUNER DE DAVI,QUAND ON SONNE À LA PORTE.JE PARS OUVRIR.

MOI:Maman vous êtes revenu.

MESSI:Pourquoi tu es toute surprise.

MOI:Non je croyais que vous viendrez demain.

MA MÈRE:On a décidé de rentrer parcequ'on ne voulais pas te laisser toute seule.

MOI:Mais je ne suis pas seule.Et mes frères où sont ils???

MA MÈRE:Pousse!!!est ce que tu cuisinais dit elle en entrant.

MOI:Oui pour DAVI!!!

MESSI:Il est là depuis quand??

MOI:Au fait il est là depuis hier.

DAVI:Tata Antonella cava!!où est MATEO.

MA MÈRE:Cava mon petit bon homme.MATEO est chez sa grand mère.Mais il rentrera bientôt.

MESSI:LÉONELA accompagne moi dans mon bureau.

MOI:DAVI mange je reviens dans une minute.

DANS LE BUREAU

MON PÈRE:Dis moi quel est ton problème.Pourquoi tu as refusé de venir avec nous.

MOI:Je ne suis pas venu parceque je me sentais pas bien c'est tout.

MESSI:Ne me ment pas,je sais parfaitement pourquoi.

MOI:Dans ce cas pourquoi me le demandé.

MESSI:Dès demain tu rentre en ARGENTINE.

MOI:Je préfère mourir que de bouger d'ici.

MESSI:Ma décision est déjà prise.

MOI:Moi aussi j'ai déjà pris ma décision,je bougerai pas un centimètre d'ici.

MESSI:N'oublie pas que tu est chez moi et que je suis ton père.

MOI:Si tu veux je prends mes affaires et me casser d'ici.

MESSI:Tu iras nulle part.

MOI:Bien sûr que je m'en vais

JE SORS DU BUREAU ET ME DIRIGE DIRECTEMENT DANS MA CHAMBRE.

UNE MINUTE APRÈS:

MA MÈRE:MESSI fait quelques choses,elle va partir.

MESSI:Gardes empêchaient la de partir.

LES GARDES:Oui monsieur!!!

MOI:N'essayez même pas de déposer vos sales pattes sur moi.

MA MÈRE:Ma chérie ne part pas.Pitié ne me fait pas ça.

MESSI:Tu peux t'enfuir,mais tu reviendras.

MOI:Tu dois mal me connaître si je sors d'ici,je te jure que tu ne me reverras plus jamais.

MESSI:LÉONELA MESSI si tu ose franchir cette porte,je te desheriterai.

MOI:Je suis désolé maman,ne pleure pas sache que je t'aime très fort.

LES GARDES:Monsieur on fait quoi.

MESSI:Laissez la partir,elle va le regretter.

JE SORS EN PLEURANT TOUS LES LARMES DE MON CORPS.SOUDAIN JE VOIS LES FARES D'UNE VOITURE ME FIXÉS.JE CONTINUE À AVANCER QUAND QUELQU'UN ME TIENT LA MAIN.
EN ME RETOURNANT:

MOI:Laisse moi la main NEYMAR.

NEY:Où tu vas à cette heure.

MOI:Je ne sais pas,s'il te plaît laisse moi partir.

trois amies,trois pères footballeurs rivaux Où les histoires vivent. Découvrez maintenant