Il brûle vifs de l'intérieur. Il soufrait et pas seulement à cause de ses blessures...le crépitement de flammes, l'odeur métallique mélangée à la chair brûlée, et surtout les hurlements étaient tout aussi douloureux.Il devait arrêter ce massacre coûte que coûte !! L'énergie au creux de sa main enveloppait tout son Fëa(1) et le fait se sent si chaud. Comme si son sang s'était enflammé. Il continue de courir dans la forêt, se heurtant et trébuchant sur les racines a cause de ses blessures. Et sa main qui doit brulé ! Chauffer à blanc comme pour fusionner avec la chaire...
Il allait mourir.
C'est vrai, tout avait été fait en vain. Comment avait-il pût espéré un seul instant qu'il avait une chance de défaire une malédiction lancée par un Vala.
Malgré son agilité elfique la fatigue et la douleur finit par lui faire perdre ses moyens. Il il trébuche et tombe donc contre terre, le visage enterré dans la boue et les restes de feuilles piétinées.
Il voulut se relever mais c'était sans compter sur la masse qui le maintient au sol. L'elfe essaye de tourner la tête et voit un grand loup aux cros couverts de sang. La bête reproche sa tête et son haleine sans la chaire en décomposition. Seule la peur empêchait l'elfe de vomir, sa ne serait sans doute pas très glorieux comme fin, n'est ce pas.
Alors il attendit la mort en regardant dans les yeux du loup.
Bonjour/Bonsoir cette histoire sera la première ( et pas la dernière ) que j'écrirais sur l'univers de Tolkien. Notes que cette histoire sera assez sombre avec présence de torture, enlèvement, sang et problème mental. Si malgré tout vous décider de lire j'espère de commentaires/idées/théories sur le scénario et mon style d'écriture de votre part. Merci et bonne lecture.
(1) Fëa veut dire esprit ( c'est pour ça que Fëanor ce traduit par esprit de feu ).
VOUS LISEZ
Ce qui compte vraiment
FanfictionCette histoire est une fanfiction donc le personnage principal est Celebrimbor/Telperinquar. La situation politique de Nargothrond et de plus en plus tendu, les blessures de la bataille de Dagor Bragollach sont encore fraîches. Mais tout avait comm...