Zahra : vierge et enceinte par la suite d'un pari

Chapitre 50

"Tu ne peux pas me briser le cœur, j'en ai plus ça fait longtemps "

On a déposé Hafid à l'aéroport, j'était en route pour aller chez mes beaux parents avec les jumeaux. Mon mari me manque déjà.

On arrive, ma tante faisait le petit-déjeuner

Moi : bonjour mère

Elle : bonjour ma fille tu vas bien ?

Moi : oui et vous ? Attendez je vous aide

Elle : merci bien, mais c'est pas la peine j'en ai presque fini

Moi : je veux aider c'est pas grave à ce que je sache

Je l'aide à cuisiner après on met la table Yanis vient manger avec nous

Yanis: Zahra t'es là depuis quand ?

Moi : pas longtemps

Lui : tu fais quoi dehors de bon matin ?

Moi : on a déposé Hafid à l'aéroport

Lui : ah je vois

Après avoir fini je débarrasse puis je fais la vaisselle.
Yanis voulait partir mais Mohamed était collé à lui il voulait pas le lâcher

Yanis : je comprends pas qu'il pense que je suis son papa, tu vois pas que je
suis plus beau que le moche là ?

Moi : mon mari il est plus beau avec ses yeux alalah, tu peux pas comprendre en plus son visage il est tout mignon comme un bébé

Yanis : je sais que je suis plus beau que lui

Moi : avec ton large front là

Lui : tu est jalouse c'est tout

Moi : tu peux toujours rêver, il est où père ?

Ma tante : il est sorti tôt ce matin, il dit avoir une réunion importante.

Yanis : moi j'y vais je dois passer chez un ami

Ma tante : d'accord à tout à l'heure

Moi : Mohamed vient papa va au bureau

Mohamed : non

Moi : sois gentil Mohamed

Il se met à pleurer dès que je veux le prendre

Yanis : je vais partir avec lui

Moi : tu va faire comment toi qui va au boulot ?

Lui : je vais me débrouiller, je le ramène après

Moi : OK

Je vais dans ma voiture je prends le sac de Mohamed ainsi que son siège auto je les donne à Yanis puis ils s'en vont.
Entre temps Salma s'est réveillée on était dans sa chambre entrain de papoter

Salma : t'a fais le texte ?

Moi : quel texte ?

Elle : de grossesse

Moi : ne ramène pas ce sujet sur le plateau je t'ai dis que j'ai rien

Elle : OK comme tu veux, Affane tu veux un bébé ?