Zahra : vierge et enceinte par la suite d'un pari

Chapitre 10

"Parfois les plus beaux sourires caches les plus grands secrets, les plus beaux yeux ont pleurer pendant des heures et les cœurs les plus purs ont souffert des plus grandes peines"

              Point de vue de Zahra

Ma mère ne parlait pas, je crois qu'elle est dépassé, elle à toujours vu Hafid comme son quatrième enfant

Ismaël : je crois, qu'on ferai mieux de le dire à papa

Ma mère  : tu connais ton père il va pas revenir sur sa décision de si tôt

Ismaël : où va aller Zahra?

Ma mère : on va lui chercher un studio

Tante Asma : elle va venir chez moi

Ma mère : sa te dérange pas?

Tante Asma : bien sûr que non, c'est aussi ma fille

Ma mère : merci beaucoup

Tante Asma : pas la peine de me remercier

Ismaël : reste plus qu'à convaincre papa

Moi : ça sera pas facile

Ismaël : c'est difficile mais pas impossible

Ma mère : laissez nous seules s'il vous plait

Tante Asma : moi je vais rentrer à la maison

Ma mère : merci beaucoup et bonne route

Ismaël et ma tante sortent

Ma mère : je suis désolée ma fille, je devais te croire quand tu me disais que t'a rien fais, je suis ta mère j'aurai dû te croire

Moi : maman, arrête de me demander pardon, comme tu l'a dis t'es ma mère et t'a réagi comme toute autre mère voyant qu'elle a failli à son devoir

Ma mère : moi le mien je l'ai réussi

Elle vient me prendre dans ses bras

Moi : pleure pas maman

Elle : je  vais rentrer pour préparer ta valise

Moi : va te reposer maman, Maël le fera

Ismaël : *en rentrant dans la chambre* moi je fais rien, d'ailleurs même je vais voir ma femme

Ma mère : la'ila petit impoli devant moi tu parle de ta femme

Ismaël : t'inquiète pas mon amour t'es la première

Moi : attends que papa apprend ce que t'a dis

Ismaël :  je m'en fou lui même il sait qu'elle m'aime plus que lui. N'est-ce pas ma vie?

Ma mère : épargne moi, imbécile

Ismaël : à plus tard

Il sort et même pas un seconde il réouvre la porte

Lui : j'oubliais

Il vient faire un bisous à maman puis à moi

Ismaël : *me pointé du doigt* crois pas que je t'aime hein, c'est juste parce-que t'es sur un lit d'hôpital

Moi : oui c'est ça, va t'en

Ma mère : attend moi

Ismaël : mais maman, j'ai des choses à faire moi