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Je ne savais pas comment réagir face à la personne qui m'effraie souvent, pas aussi souvent qu'Iku, mais quand même.

Les mots me sortir de la bouche avant que je ferme les yeux, apeuré.

- Il y a quelqu'un derrière le murs...

Un moment de silence s'installa, les coups ne me venait pas, à part cette main sur mon épaule. J'ouvris un œil puis l'autre, le visage impassible de Todoroki eu un léger sourire.

- Tu croyais vraiment que j'allais te frappé Oméga ?

-...

Je regardais mes pieds, j'avais les larmes aux yeux.

- C'est ridicule, t'es marant Oméga.

Je releva la tête les larmes coulaient maintenant, il éclata en fou rire.

- Des fois vous êtes carrément à côté de la plaque.

Je ne savais pas si je devais le prendre comme une blague ou comme une insulte. Alors je partis à pleuré et il arrêta de rire, mais Iku pris sa place bien rapidement.

Todoroki mit un genoux à terre et leva la tête pour me regarder.

Je partis en pleurant dans les bras de Momo.

- Non mais regardez le!! Il est trop sensible cet oméga, pas capable de regarder quelqu'un dans les yeux!! Ha ha ha!!

- Midoria ARRÊT À LA FIN !!!

- Vous êtes vous même à côté de la plaque, mais ça vous le voyez pas.

Je savais bien de quoi il parlait, des chaleurs comme chaque fois.

Il s'assit contre le murs dans face. Il se parla à lui même.

- après tout,vous perdez votre temps depuis votre naissance. en faite un oméga voulant se suicider ne sera jamais vu comme un fort.

Il a capter, je me dirigea vers Jirou et lui chuchota très bas,

- Il a capté.

- Ouais j'ai remarqué.

Je retourna au près de Yaoyorozu.

Stressé de savoir la suite des évènements.

- C'est poche resté ici, vous ne trouvez pas?

- Mina, tu sais très bien que s'il y avait une sortie on serait partit v'là longtemps.

- Maaaiiieeeuuu...

" Bon j'ai une autre action."

Je ne savais pas qu'est-ce que c'était, mais ça me vesais déjà peur.

" Une facile pour notre beau coeur tendre "

Je déglutis.

" Entre dans cette petite pièce avec Todoroki."

Mes joues se peintes écarlates, j'avais beguer, mais pourquoi il voulait que j'entre à l'intérieur avec Todoroki?

Je ne voulais pas le faire, mais après se que mes amis on vécu je dois être fort et courageux. Me cacher derrière les autres ne me permettra pas d'avancer.

Quand je fis un pas vers cette petite pièce, un soudain vertige s'installa dans mon être. Je me rattrapa juste à temps et continua ma route.

À l'intérieur, je m'écroula sans savoir pourquoi, la saveur de ma bouche était à en vomir, mes yeux ne voyais que le bout de nez, je savais se que j'avais, mais je ne voulais pas y croire.

- À c'est pour ça.

Je ne pouvais pas levé ma tête pour voir se qu'il se passait.

Des mains, des bras et un torse bien bâtis me prirent et m'installa conte un murs.

- Ne t'en fait pas om- Bakugo, je vais m'occuper de toi, je te le promet.

Je sentis mon pantalon qui commençait à partir, alors je le retiens avec le peu de force que j'avais, mais Todoroki n'était pas de cet avis et enleva ma main et continua à retiré se qu'il me restait de bas.

Il enleva le sien aussi, car le même bruit sonna dans mes oreilles, il y eu un long moment où il ne se passait rien, puis il me prit et me plaqua avec le minimum de douceur contre le murs.

Une chose imposante entra à l'intérieur de moi, je me mis à pleuré tellement cela vesait mal, il y eu un autre petit moment où il ne se passait rien et des longs va et viens commença me faisant gémir entre le désir et la douleur. Sa coutinua de plus en plus fort et il toucha ma prostate, ça me fis gémir plus fort encore, il continua sur cette petite lancée où je me mis à crier son nom.

- Haa... Todoroki... HAA!!!

Je criais à en me faire vibré les cordes vocales.

Se petit moment fini par prendre fin, Todoroki sortis de moi et il me fis remettre mon pantalon. J'étais totalement dans l'incapacité de faire quoique ce soit. Quand je sentis une douleur au niveau de la nuque, je ne me suis pas inquièter sur le coup, puis quand la douleur est partit j'entendis cette simple phrase.

- Maintenant tu seras mon trésor rien qu'à moi.

Enfin le trou noir, je m'étais soit endormis, soit évanoui, mais dans tout les cas je n'étais plus réveiller.

La Bombe FroideOù les histoires vivent. Découvrez maintenant