La Bombe Froide

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Le sourire aux lèvres, il répèta.

- Aller Tout Le Monde Avec Moi! Salut Denki!!!

Les personnes le regardèrent trois secondes bizarrement, puis le suivirent dans son délire.

--- Salut Denki!!!

Je rougis férocement et alla m'asseoir à une table loin des autres.

Je remarqua qu'Eijiro venait vers moi, mais, un garçon aux cheveux noirs l'interrompit.

Il essaya de passer et puis le noiraud l'emmena plus loin, manger avec les autres.

Encore un midi seul. Génial.

Je mangea rapidement et partis dans la salle de cour.

Effaça sèchement les conneries écrit sur bureau, par les autres élèves de d'autre classe, et pleura, ma tête entre mes bras croisés.

Je suis sûr, que je suis l'oméga le plus inutile du monde.

Si mon alpha n'était pas Eijiro, ma vie serait peut-être bien achevée il y a pas longtemps.

Oui, vous avez bien compris, j'ai envisager le suicide, il n'y a pas longtemps, mais je voulais finir toutes mes lettres avant de me donner la mort.

Sa c'était avant, maintenant je me sens inutiles et je vis dans l'incoopération, la peur et la tristesse.

J'entendis la sonnerie retentir, alors j'essuya mes larmes et sortis mes devoirs de français et mon cahier d'écriture.

***

Le soir venu et la sonnerie passer, je me dirigea vers mon endroit secret.

Où il y avait déjà Katsuki et Shoto, Momo et Kyoka et mon Eijiro.

Je le regarda perplexe et je ne savais pas comment réagir.

- A salut Denki! Eijiro voulait nous montré votre jardin secret et il est très beau.

- Heu... Merci Kyoka...

On passa une belle soirée et on alla se coucher.

***

Je me réveilla et tomba nez à nez avec mon prince charmant l'air pensif.

Mais je sursauta quand même et tomba par terre dans un gros fraqua.

Il se précipita vers moi et m'aida à me relever, mais je voyais bien qu'il réfléchissait beaucoup.

Trop.

Trop de chez trop.

Trop trop de chez trop trop.

Trop trop trop qui arrive à la maison de trop trop trop.

- Qu'est-ce qui à ???

- Heu, mmm, non rien. Viens on va manger.

Il me prit la main et commença à partir, mais mon avis n'était pas le même et je resta sur place.

- Pourquoi tu réfléchis alors ???

- Je te dis que se n'étais pas important alors allons manger.

Il recommença à partir. Je ne bougea pas.

- Pourquoi tu fuis, mens moi encore pour te défilé et je te gifle.

- Pourquoi tu dis ça ???

- Je ne veux pas que tu me cache tout le temps se que tu pense. Je ne peux même pas savoir se que tu ressens seuls tes phéromones me le disent.

Mon ton hésitant, triste, sec et irritant, lui dis comprendre qu'il ne s'entirait pas sans me le dire.

- Il n'y a pas à s'inquiéter, je me demandais juste que s'étais quand tes chaleurs.

- Hein ???

Je me sentis rougir.

Mais en même temps que j'y pense...

Je n'ai eu que quelques fois mes chaleur et la douleur était atroce et tout le monde me fuyait.

- Ne t'inquiète pas pour ça, je serais là si tu en a besoin.. Bon allons manger avant que tout le monde ne laisse rien à manger!!

Cette fois si je le suivis sans rien dire.

***

Je me réveilla, une douleur horrible me traversa le corps, mais je n'y prêta pas vraiment attention.

Je me prépara et je partis manger.

Toute les personnes que j'ai croiser dans les couloirs m'ont fuient.

Super j'ai mes chaleurs...

J'entra dans la classe et tout le monde se retourna vers moi, ils se pinsèrent tous le nez. Eijiro se précipita vers moi et ne fit sortir de la classe.

- Pourquoi tu pus autant ??? T'as oublier de te laver ou quoi ???

- Hein... M... Mais non qu'est... Qu'est-ce tu raconte en... Encore ???

- Je sais pas ???!!! Peut-être parce que tu empeste!!!!!!!!!

Il m'avait complètement cracher ces derniers mots.

Je partis courant et pleurant s'en m'arrêter.

Mais comment peut-il me dire ça, une fois que j'étais à la limite et que la distance me fit souffrir, je m'étala au sol.

J'avais besoin de lui, mais je ne voulais pas le voir.

Mon coeur se brisa en mille morceaux.

Comment peut-il être aussi méchant ?

Il ne sait pas se que je vis dans ces périodes là et je souffre énormément.

Alors comment il peut être aussi injuste ???

Rien ne va...

Rien ne change...

La souffrance est insupportable, mais...

Pourtant...

Mon coeur bats...

Que pour toi...