La Bombe Froide

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Mes amis avaient tous des enfants, depuis quelques années déjà, se qui augmentait le désir d'en avoir aussi.

J'avais demandé à Eijiro et il avait hésiter avant qu'il accepte. À cette instant mon coeur c'est imbibé de joie.

Aujourd'hui, on vient d'arriver dans l'orphelinat de Tokyo.

On rentra dans l'immense bâtiment et une femme nous accueillit.

- Nous supposons que, vous devez être Denki et Eijiro Kirishima.

- Oui, ravis de vous rencontrer.

- Moi de même monsieurs. Je vous prirais de répondre à quelques questions d'abord et aller voir les enfants après. Cela vous va-t-il ?

- Parfaitement.

On suivit la dame, qui nous amena dans une pièce orangée.

- On vous donnera le formulaire dans quelques minutes, le temps de le transféré ici.

Un moment de silence s'installa, avant qu'elle ne reprenne la parole.

- Quel âge avez-vous ?

- Nous avons tout les deux 20 ans

Elle frappa sur les touches de son clavier.

- Vous êtes un couple mixe à se que j'ai pus remarqué.

- Oui, c'est exact.

Elle écrivit la réponse à son ordinateur.

- Vous désirez plusieurs enfants ?

- Oui.

- En bas de quatre ans ?

- Heu... Je dirais que.. On n'y avait pas vraiment penser... Mais je suppose que oui...

- Vous pourrez leur porté un maximum d'attention et d'affection ???

- Toujours.

- Bien.

Elle se leva écrivit une dernière chose et porta son attention sur nous.

- On va aller voir les enfants maintenant si vous le voulez bien.

Je me leva et Eijiro aussi, la madame nous fit parcourir au travers des couloirs, pour nous emmener dans une genre de pièce.

Où il y à pleins de mini chambres, à l'intérieur il y a à peine un lit et une bébé toilette.

En voyant tout ces boutchous avec leurs mines affreuses, qui ne montre que la faim, de la peur et de la souffrance profonde.

Pourquoi étaient-ils dans ces états.

- Monsieurs, vous souhaitez qu'on vous fasse une visite guidée ou préférez-vous la faire seule ?

Eijiro et moi, nous sommes un moment regardés, avant de répondre gentiment,

- Non merci ça ira, on préfère prendre notre temps pour choisir.

- Comme vous voulez, il y aura toujours un employer proche si il y a le moindre souci.

La femme partit et nous, on commença notre visite.

*
Nous avons faite même pas la moitié et leurs apparences devenaient presque flippant.

Quand je vis passer quelqu'un dans le couloir, je lui demanda.

- S'il vous plaît, j'aurais une question à vous posez.

L'homme se retourna.

- Oui ?

- J'aimerais vous demandé quelque chose si ce n'est pas trop impolie.