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Kirishima me caressa les cheveux, doucement, un doux sourire accrocher à ses lèvres.

- Je... snif... Je m'excuse d'avoir douter de toi... Kirishima... s'il te plait pardonne moi... snif...

- Je t'ai déjà pardonner, mon coeur.

On resta enlacer ensembles un petit moment, avant qu'on décide de s'allonger contre l'arbre blanc.

Moi, j'étais couché, ma tête sur ses genoux et lui chantonna une douce chanson, je m'endormis, sans stress pour la tout première fois, depuis des années.

***

Je me réveilla dans  une chambre orange. Je me redressa et trouva un Eijiro se brisant la tête pour faire son numéro de français.

J'alla derrière lui et passa mes bras autour de son coup.

Je lui la phrase et lui montra la faute.

- C'est là, le verbe n'est pas conjugué.

- Ah merci mon coeur, je le cherchais justement.

Je lui embrassa le frond et je partis sur son lit, face coler à mon téléphone.

J'entendis un petit rire moqueur.

Je souris et je partis sur facebook.

***

Les heures passe.

Et j'allais retourner dans ma chambre, quand deux bras m'attrapa mes en-dessous de bras. Il me souleva et me déposa sur le lui. Mon lié alla refermer la porte et se remis à travailler.

Moi, je voulais partir. Alors je me releva et alla vers la port quand Kishima aggripa mon chandail. Il y eu des phéromones d'irritation et de colère, alors je me retourna tremblotant et j'arriva face à face à un Kirishima au regard noir.

J'avala difficilement ma salive. Les phéromones étaient tellement présent que j'avais du mal à respiré. Des larmes coulaient de mes yeuxe.

Pourquoi ai-je si peur de lui, quand on est en couple.

Je crois que je préfère la distance des fois, que rester à ses côtés et me blesser moi-même.

Je lui retira sa main et sortis en courant de cette chambre, je courra et courra, sans savoir vers où quand je vis Bakugo et Jirou parler ensemble. Quand ils me virent, je m'arrêta et il me firent entre dans la chambre de Katsuki.

Qand j'ai eu finis de leur expliquer la raison de pourquoi j'étais dans cette état, ils se mirent à réfléchir.

- Maintenant que tu le dis Shoto est très protecteur, mais il me laisse partir quand j'ai de bonne raison de partir.

- Oui, moi aussi, Momo a fait apparaître des phéromones d'irritations quand je suis partis de sa chambre.

- Mais il n'a jamais été aussi violent, il me pose simplement des questions. Todoroki est un coeur même pour me protéger.

- Momo aussi ne fait que me poser des questions avant de me laisser partir, elle n'insiste pas autant.

- J'ai eu tellement peur, moi, je me suis enfuis.

--- Il faut découvrir pourquoi ils sont tellement protecteurs!

On se tapa les mains et on alla dans le salon, où plusieurs personnes étaient présentes, ainsi que nos Alphas.

Kirishima s'approcha de moi et me fit un regards d'assassin.

J'allais reculer, quand je rencontra le murs.

Il se mit au-dessus de moi, car oui je fais environ 2 tête de moins que lui.

- T'étais où??

Son regard noir et intense, me disais de fuir.

Puis je ne sais comment il a fait, mais il me bloqua des deux côtés, je ne pouvais plus faire se que mon esprit me criait de faire depuis le départ.

Une main se posa sur l'épaule de mon interlocuteur.

- Calme me toi Eijiro, il était avec nous, il ne lui est rien arriver de grave ne t'inquiète pas.

- Hum.

Il me prit le poignet sans aucune douceur. Je gémis par le choc de douleur que cela m'a causé. Il me chuchota à l'oreille :

- Si tu t'éloigne encore, ça sera une gifle Denki.

Je me mis à trembler de peur.

Pourquoi était-il, un jour, gentil et attentionné et un autre jour, froid méchant et je ne ressent que de l'irritation, la colère et la distance.

Je recommença à pleuré, cherchant une faille, tirant mon bras pour qu'il le lâche.

J'ai besoin d'être seul, m'isoler pour une demi-heure, ou même plus, pour réfléchir à la situation.

Je le regarda en larme pour voir une simple étincelle de réconfort, mais hé le vis, qui me regardait avec mépris et pitié, il avait l'air dégouté et en colère.

Je n'avança vers lui, et je baisa ma tête, la main lever, je le gifla de toutes mes forces.

- LÂCHE MOI ABRUTI, TU VOIS PAS QUE TU ME FAIS MAL!!!??? LAISSE MOI PARTIR!!! JEE VEUX PAS RESTÉ AVEC TOI SI C'EST POUR SOUFFRIR AINSI CONNARD!!!

Il relâcha sa prise et je me sauva toujours en colère et en larme.

***

J'arrêta de courir quand j'arriva dans mon endroit secret, plus si secret.

Pourquoi était-il si méchant???

Ça me brise le coeur d'être aussi loin de lui, je suis à environ 2 km de mon lié.

Je ressens tellement la douleur que je m'écroula par terre, je n'étais même plus capable de me lever ou de m'asseoir.

J'aurai peut-être du mettre une cagoule, car là je n'ai qu'un jeant noir troué et un chandail corail.

Je ferma mes yeux, ne pensant plus à grand chose, dans se froid.

Des secondes, des minutes..

Je pensais mourir, quand une chose chaude me pris, j'ouvris mes yeux surpris.

C'était Eijiro...

La mine inquiète...

Des mégas cernes et une cicatrice au-dessus de l'œil.

J'essaya de me débattre, mais je n'y parviens pas...

En plus de ça il n'était pas seul...

Il y avait aussi...

Non je n'y crois pas, ils étaient à l'internat pas plus tard qu'il y a 1 h. Ils avaient des abominables cernes...



























































Shoto Todoroki et Momo Yaoyorozu...

La Bombe FroideOù les histoires vivent. Découvrez maintenant