partie VI

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Je suis rentrée triste avec une envie de fermer mes yeux pendant longtemps et de ne plus y penser. Ma mère semblait si joyeuse au moins elle son rencard n'avait pas tourné au vinaigre.Ce soir là, grand mère frappa la porte comme une aliénée en criant de douleur... Mon Dieu ce qu'elle saignait ;son incapable de mari l'avait de nouveau donné une raclée. Quoi qu'une femme fasse ,mérite t-elle des bastonnades incessantes de cet être qui est sensé être sa moitié ? Oh Dieu! Ma mère prit soin d'elle et décida que grand-mère ne retournera plus chez cet homme et j'étais toute oui. On a prit des photos d'elle pour constituer une plainte car cà en était de trop...sacré goujat!
-Mamy je suis tellement désolée.
Toute triste avec les larmes pleins les yeux j'essayais ainsi de la consoler.
-Cà va ma Chérie ne sois pas triste s'il te plaît
Elle occupa la chambre d'ami et on vivait désormais toutes les trois qu'est-ce qu'on pouvait se marrer ensemble.
Au bout de quelques temps, j'ai passé mon examen de fin de semestre,ma mère et grand mère m'aidaient bien et on était donc en attente des résultats.
Gérard et moi on se fréquentait toujours; plus je me donnais du mal a effacer cet amour que j'éprouvais pour lui, plus j'empirais les choses. oh oui je l'aimais! Dommage pour moi car ce n'était pas réciproque pensais je. Un jour alors que je rentrais d'une soirée avec mes amies,Gérard et moi on se croisa et moi j'étais avec Derrick le copain de Sabrina.
-Tu t'es bien amusé ?
-Oui merci...tu aime beaucoup sabi à ce que je vois?
-Oui beaucoup elle est tellement génial cette fille.
-Ah cà tu l'as dit
-Tu as quelque chose sur le front
Remarqua t-il
-Où cà ? Qu'est ce que c'est ?
-Ne paniques pas laisses moi t'aider
Il se rapprocha et à peine il eut posé sa main sur mon front qu'il reçut un coup de poing assez pesant
-Gérard ?
Hurlai je en sursautant
-oui c'est moi qu'est ce que tu fou avec lui?
-C'est un ami
-Un ami qui était sur le point de t'embrasser?
-Mais pour qui tu te prends ? Ce sont mes affaires
-Nos affaires...tu n'as pas le droit de m'exclure de ta vie .
-J'ai tout les droits nous ne sont que de simple ami donc...
Il m'embrassa sans même me laisser finir ma phrase au début je voulais résister mais après je m'y suit mise je ne pouvais plus paraitre indifférente devant ses délicieuses petites lèvres on s'embrassa de manière langoureuse nos langues se frôlaient et s'entreposaient, il dégustait lentement mes lèvres et moi les siennes il me tenait la tête et moi j'avais posé mes mains sur son torse s'était juste phénoménal. Le moment tant attendu j'en tremblait même comme une feuille morte. Mon Dieu! d'où sort ce pro du baiser?
-C'était quoi ca?
Demandai je à la fin de cet instant féérique en étant tout aussi ému que lui
-Tout s'explique je t'aime patricia et te voir avec ce gar m'a rendu jaloux . je suis désolé...je n'ai vraiment pas pu supporter cà
-Tu quoi? Moi je ne t'aime pas du tout nous sommes amis et c'est tout
Déclarai je en essayant de feindre de colère
-Quoi?Ce baiser disait tout...ne nous mentons plus mon trésor s'il te plait on s'aime et tu le sait bien...
Mon trésor ? Oh! C'était décidément mon jour de chance
-Tu voulais quoi ? Qu'à la moindre occasion je te bondisse dessus ?ou quoi? que je t'attendes éternellement ?
-Tu ne peux pas être avec lui s'il te plait je t'aime tellement
-Je te présente Derrick le copain de mon amie Sabrina maintenant tu lui dois des excuses...quant-à moi,je m'en vais
-Non attends s'il te plait je te raccompagne tu ne peux pas rentrer seule
-Lâches moi...je ne suis certainement pas venu avec toi
-Ne fais pas la gamine...
Dît il en ouvrant les bras avec un air abattu.

Je suis partie en courant pourtant tout en moi voulait rester avec lui...c'était le jour de mes rêves et maintenant qu'il c'était réalisé ; j'étais partie comme une vrai lâche.
Une fois à la maison ,il me fit des textos ,des appels que je prenais plaisir à ignorer sans véritable savoir pourquoi. Je voulais sûrement me faire prier il ne m'avait pas non plus donné de rebond autre fois.
Après trois jours,mon résultat se fit savoir ; pour une fille dispersée comme moi 14 n'était pas mal comme moyenne... Ce jour là, je mourais d'envie de tout raconter à Gérard mais que dal:Il avait rejoint le vent il ne me suppliait plus et je commençais à regretter d'avoir joué à l'intéressante. Mes amies et moi nous sommes allé à l'Université pour y voir plus clair... On voulait juste se défouler en réalité. Elles aussi avaient réussi mais avec des moyennes bien plus désirable 15,98 pour sabi et 15,50 pour vero
Une fois devant le portail,Sabrina murmura à mon oreille.
-Regarde,ma puce n'est-ce pas la voiture de ton Gérard ?
En pointant une direction de son doigt
-Où cà ?
Demandai je en me retournant

La naissance de ma fille:un sacrilègeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant