Quai de gare

16 1 0
                                    

Elle descendait du wagon toute seule fragile frêle et apeurée. Ses yeux cernés de noir et rougis par ses larmes intarissables depuis qu'elle avait quitté là d'où elle venait.
Quitter n'est pas le mots juste mais plus fuit. Elle avait fuguer pour cette raison qui l'as fait pleurer. Cette raison qui lui fait perdre le sommeille.

Son sac sur l'épaule pour seul bagage elle s'effondre a terre. Des gens là bouscule et là dévisage.
- Maman regarde la fille là. Elle est moche. Hihi!
- Aller avance mon chéri.

Cette dame et plein d'autre la regardai avec pitié mais personne n'osait sans approcher.
Elle ne fessait ni la manche ni rien. Son regard vide et gonflé vaguai au loin. Nul ne savait à quoi elle pensai et c'est sûrement mieux ainsi.
Elle se relève et commença marché péniblement vers la sortie. Mais elle souffrait. Son âme heurtée et son corps blessé.

- Hé! Ma Jolie t'es bonne, viens je te démonte.
- Elle vas pas tenir cette petite gazelle trop faible.
- Pff tu fais la belle tu réponds pas salle te-pu.

Ces mots qui peuvent s'embler habituels et normaux pour certains n'ont pas le même effet pour elle.
Elle tire sur ce pull trop grands pour pour elle et met ses bras autour de sa poitrine.
Marchant la tête baissée se faisant la plus discrète possible. Un homme en costume cravate trop pressé pour faire attention et dire pardon l'a bousculé. Elle s'écrase au sol on entend plus loin des rire étouffés.

Des pats presipiter ce font entendre. Mais elle n'y fais pas attention jusqu'à ce que elle sente une main ce serrer sur son épaule.

Par amourOù les histoires vivent. Découvrez maintenant