Elle sursaute et se dégage très vite et m'étant au passage une baffe à la carrure masculine.
L'homme s'accroupit et regarda la jeune femme. Son regard, un mélange de pitié et de tendresse. Son regard se voulait rassurant.
Alors qu'elle le regarde apeurer et affoler.- Je ne te veux aucun mal. Je vais t'aider si tu le veux bien.
Il lui tendit la main et se présenta. Elle n'en fit rien et ne prononça pas un mot, mais se releva et acquiesça.
Ils se dirigèrent vers un bistrot où il aimait bien aller.
Il commanda de l'eau et deux plats de pâte. Il n'était que 9 heures, mais il senti qu'elle avait besoin de quelques chose de plus consistant qu'un croissant.En attendant la commende, il commença à essayer de trouver son prénom. Mais elle ne prononça pas un mot encore méfiante. Elle est quand même rassurée d'être tombée sur lui. Il était gentil et patient. Il était drôle.
Il commençait à l'amuser à essayer de trouver son nom par tous les moyens. Il réussit à lui décrocher un sourire. Juste avant qu'elle ne prononcer son prénom d'une voix faible.
Son prénom était le plus beau qu'il n'avait jamais connu.Doux et mélodieux.
On apporta leurs plats, elle resta fixer l'assiette devant elle.- Mange ne t'en fais pas.
Son sourire était rassurant. Elle prit sa fourchette, piqua une pâte et la mit dans sa bouche. Après quelques secondes. Elle se précipita sur l'assiette et fini le plat en moins de cinq minutes. Il lui tendit son assiette et cette fois elle mangea plus lentement.
Pendant ce temps, il lui parla de lui de sa carrière qu'il souhaite lancer. Il lui parla de tout et de rien dans l'espoir de la rassurer, dans l'espoir qu'elle prennent confiance en lui. Cela lui fendait le cœur de voir une si jolie femme aussi frêle et fragile. Il avait compris que quelque chose lui était arrivé, mais il ignorait quoi. Donc il a décidé de l'aider.
- Tu as quelque par où aller ?
Elle secoua la tête négativement.
- Des proches à appeler ?
Sa gesticulation est de nouveau négative.
- Je peux t'héberger le temps que tu trouves un endroit où aller.
Elle eux un pas de recul. Son visage se figea. Son regard exprimait la peur.
- Il ne t'arrivera rien, n'ait pas peur.
Elle fut hésitante. Elle réfléchissait, car effectivement, elle n'avait nul part où aller et pas assez d'argent pour louer une chambre a Paris. Elle accepta alors sa proposition.
Ils n'urent pas a marcher longtemps avant d'arriver chez lui. Ils prirent l'ascenseur et entrèrent dans l'appartement. Il lui expliquat qu'il dormirait sur le canapé et qu'il lui pretait sa chambre. Il lui fit visiter l'appartement. Très simple et petit. Une cuisine ouverte sur le salon une simple salle de bain et une chambre. Sur la table de chevet, il y avait une photo de lui et d'une femme. Elle lui montra la photo inquiète et intriguer.
- C'est ma sœur, elle est morte l'an dernier, à cause d'un cancer de la peau. Elle avait 23 ans.
Elle s'excusa silencieusement.
Elle n'avait ouvert la bouche que pour lui dire son prénom. Ca ne le dérangeait pas. Il attendrait.Une fois qu'elle fut installé, il partit travailler.
On lui avait toujours dit de se méfier des inconnus, mais là, c'était différent ; tellement différent qu'il l'a laissé seule chez lui. Il ne sentait pas le besoin de se méfier d'elle. Il espérait qu'il avait raison.
Elle, elle était restée chez lui. Une fois qu'elle fut sûre qu'il soit parti, elle s'enfermât dans la salle de bain, retira son pantalon, puis son pull, son tee-shirt, son soutien et enfin sa culotte. Elle se tournât vers le miroir. Une vision d'horreur s'offrit à elle.Elle se dégoûtait.
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Par amour
RandomL'amour lui a redonné l'espoir mais lui a tout pris aussi. "Le canon prêt de la tempe . Elle avait au préalable chargé le revolver. Elle apuillat sur la gâchette et un bruit sourd se fit entendre