Le Lemon d'une débutante 🔞

Manon × ***

Fin des épreuves du bac

PDV Manon :
Libération! Le lycée, c'est terminé! Le bac aussi!
J'ai assuré dans les matières scientifiques. J'attends avec impatience les résultats.
Pour fêter la fin de cet examen, j'ai invité mes potes chez moi. J'ai bien dit chez moi, enfin c'est aussi chez François, mon coloc et accessoirement mon petit ami. Dernièrement, nous avons emménagé dans un appartement pas très loin de la fac.
L'appart est assez spacieux, très moderne, avec plusieurs chambres.

20h00
Sodas, alcools, chips, etc. sont disposés sur les tables autour de la piste de dance.
Tout le monde s'ambiance, l'atmosphère est convivial.
Des petits groupes se forment pour parler du bac.
Un invité mystère se glissa dans la foule, un homme d'une trentaine d'années s'était faufilé dans la salle dans le but de me parler. Je m'éclipse discrètement vers une chambre. François est déjà là. Je m'apprête à fermer la porte lorsqu'on m'attrape le bras, et me plaque contre le mur. Je n'ai jamais vu cet homme avant.
Le grand brun aux yeux marrons esquissa un sourire. Des souvenirs lointains me revinrent. Cet homme que je ne connaissais pas, enfin que je pensais ne pas connaître...
Ce regard, ce sourire...
Il m'attira lentement dans une autre pièce, il n'y avait personne. Dans cette chambre il n'y avait pas grand-chose, seulement un lit double, quelques meubles et un grand miroir au plafond.
Cette fois-ci, c'est moi qui le pris par le col de sa chemise, l'embrassa et le poussa sur le lit.

PDV ***:
Sa réaction fût immédiate, elle me poussa sur le lit et je tombai sur le dos, l'emportant avec moi.
Je l'embrasse doucement dans le cou tout en l'aidant à retirer son T-shirt.

Une fois ma chemise jetée au sol. Et mon pantalon ouvert, elle glissa ses mains sur mes fesses tout en capturant mes lèvres.

PDV Manon :
J'aimais le fait qu'il soit capable d'être doux mais aussi complètement sauvage, comme maintenant en frottant lascivement son bassin contre le mien tout en dévorant mes lèvres.

Il releva un instant le visage, semblant se rendre compte de quelque chose, et son souffle saccadé parvint à mes oreilles, faisant monter mon excitation.

- La porte est verrouillée? Souffla-t-il d'une voix grave.

- Oui

Il me regarda avec son sourire de pervers. Ses mains se resserrèrent sur mes fesses et sa bouche vint caresser mon épaule me faisant frissonner. Il le remarqua rapidement et donna un coup de bassin purement provocateur contre le mien, me forçant à me mordre la lèvre pour étouffer ce qui menaçait de sortir de ma bouche. Je ne pouvait plus reculer, il était un peu trop tard, nous étions tous les deux trop excités pour nous arrêter. J'avais même l'impression que ça l'amusait de devoir être discret Le danger d'être entendu par François, et les autres invités qui étaient dans la salle d'à côté nous mettait les hormones en vrac.

PDV ***:
Ses lèvres commencèrent à glisser vers le bas et j'enroulai mes doigts dans ses cheveux par réflexe. Ses mains se posèrent sur mes hanches et sa langue effleura mon ventre, faisant vibrer tout mon corps. Je rejetai la tête en arrière et me concentrai pour ne pas faire de bruit. Et dire qu'elle n'avait encore rien fait ... elle s'était contenté de glisser du lit pour se mettre à genoux sur le sol, le haut du corps penché sur moi. Elle caressait chaque centimètres carré de ma peau. Je relevai les hanches à sa demande et elle fit glisser mon pantalon sur mes cuisses puis jusqu'à mes chevilles. J'avais plaqué mon avant bras contre ma bouche et mon autre main était toujours posée sur sa tête qui était venue se repositionner au dessus de mon entrejambe.
À mon tour de lui enlever sa jupe.

- Tu es si pressé que ça ? Demanda-t-elle.

PDV Manon:
J'attrapai l'une de ses mains et l'amenai à mon visage. Son regard se voila presque immédiatement et il suivit mes mouvements des yeux avec une attention maximale. Je pris trois de ses doigts dans ma bouche pour enrouler ma langue autour et les aspirer légèrement sans le quitter des yeux. Quand je les jugeai assez humidifiés, je relâchai sa main et lui lançai un sourire. J'aimais beaucoup voir à quel point chacun de mes gestes pouvait le rendre fou.