Chapitre 1

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-Si ce n'est pas nôtre bon vieux James Austin. entendis-je de retour au QG

-Mentor.

-Oublie les formalités James, aujourd'hui nous célébrons la mort de deux épines empoisonné qui nous ne ferons plus de mal!

-Malheureusement je crois que cette victoire seras aussi de courte durée, en assassinant le marchand d'huile à serpent, j'ai découvert sur sa personne une lettre citant que les Templiers projettent de prendre l'Ouest pour donner de l'expansion à leurs opérations. expliquais-je.

-Bien entendu! C'est foutu Templiers... tu leurs jettent des flammes ils ont de l'eau en bouteille, tu leurs donne un serpent ils ont des souris! Ils ne finissent jamais ces petits jeux de passe-passe... râla mon Mentor.

-S'ils ont une ou deux qualités qui les définissent bien, c'est s'enfuir et parler en public, sinon, ce ne sont que des buveurs de lait ici! s'exclama quelqu'un sur l'étage au dessus.

-John W. Marsh, si une grande gueule comme toi est capable de rester discret alors battre ton record ne serais pas difficile. disais-je en souriant.

-James Austin, comment vas-tu mon ami?

Il pris ma main d'une poigne forte et celle digne d'un homme qui se respecte.

-Dénicher ses rats sont plus difficiles que tu ne laisse le croire John.

-Tu as encore une ou deux choses à apprendre, n'oublie pas qui est le Maître entre nous deux. m'adressa-t-il avec un clin d'oeil subtil.

Nôtre Mentor à moi et à John s'appelle Albert J. Philips, un Assassin qui fut endoctriner dans la Confrérie par son père Albert Philips. Il est un homme très respectable, quoique aujourd'hui son âge commence à prendre plus de poids sur son efficacité depuis quelques années, il est aussi dévoué à la Confrérie qu'un loup à sa meute. John fut emmener alors que ses parents l'ont laisser caché dans un trou à coyotes alors que des truands ont rasé la ferme de ses parents. Et moi je fut ramasser dans cette aventure après la mort de ma fille et de ma femme. Deux belles dames aux cheveux blonds, au teint dorée et aux yeux marrons... Elles me manquent, alors pour dévoué ma vie aux filles qui fut autrefois ma vie entière, j'ai décider de joindre la lutte entre les deux camps pour venger leurs morts injustes.

-Alors concernant la tentative d'envahissement, sais-tu comment ils vont s'y prendre? me demanda John.

-Non, mais connaissant leurs méthodes de manoeuvres, ils vont essayé d'embobiner les gens contre nous pour nous brûler de l'intérieur. expliquais-je.

-Alors faisons tout notre possible pour empêcher un tel épisode. dis le Mentor.

En se levant avec un grognement d'effort, il attacha la ceinture de son revolver et s'équipa de son attirail d'Assassin. Nous fîmes pareil et se préparâmes au pire de ce qui pourrait advenir. Nos armes étaient composé de deux revolvers Remington qui fut mes favoris à emporter proche de moi, nos deux lames secrètes, aiguisé et prête à l'action. Une sarbacane avec 2 dards différents, des dards aux poisons de serpent venimeux ainsi qu'une autre sorte qui avait un effet soporifique. Ainsi qu'une des meilleures inventions réimaginers, le lasso à dard caché, cette petite merveille était l'outil le plus utilisé par les Assassins du Far West. Un lasso finissant avec un dard qui était la grosseur d'une aiguille, mais tout aussi efficace si utilisé correctement. Ce même lasso pouvait être changé avec un fil de fer tranchant qui permettait d'accrocher nos cibles aller même jusqu'à les pendres. Un peu grossier, mais très efficace.

-Où allons nous Mentor? demandais-je.

-Nous avons reçu un contact qu'un agent serait arrivé récemment pour négocier les terres Navajos. D'après le messager, il s'agirais bel et bien de John Ward, l'homme qui essais de rallier certaines tribus Navajo à sa cause pour sa protection.

-Nous essayons de le traquer depuis des jours, mais aucuns moments nous permets de l'attaquer, que ce soit de jour ou de nuit, cet homme bouge sans arrêt d'une tribu à l'autre. disa John.

-Alors quel est notre part dans cette mission? demandais-je. 

-Les Navajos sont une cause perdus, depuis la Grande Marche de 1864, les amérindiens n'apprécient que très peu la présence des américains dans leurs territoires. Mais puisqu'ils ne peuvent pas se défendre formellement contre la garisson des États-Unis, ils sont obligés de plier le genoux et juré fidélité. m'explica le Mentor. Notre travail, est de s'assurer que son plan ne fonctionne pas.

-Mais je ne vois rien de trop alarmant. disais-je.

-Mon pauvre James, crois-tu vraiment qu'il veux rallier les tribus ensemble? me questionna John de manière provocative. Il essai de les rentrés en conflit pour les exterminés, il veux avoir accès à la Pièce d'Éden sans avoir à affronter trop de résistance.

-Il est malin, plus que c'est confrères en tout cas. chuchota Albert. Il est temps les gars, John, galope à l'est et essais d'avertir le plus de troupe possible avant qu'il ne soit trop tard. James, je veux que tu ailles éliminer une cible pour moi, Butch Cassidy, ce bandit transmet des informations aux Templiers et il est grand temps de lui fermer son trou en lui faisant d'autres.

-Oui Mentor.

Et avec ce dernier mot, je fut parti à la recherche de se fameux Butch Cassidy qui s'évissait dans les entrailles crasses des États-Unis, il était temps de mettre fin à ses jours de crimes.

Et ce qui allait aussi devenir la pire erreur de la Confrérie du Far West, allait devenir une course du chat et de la souris.

Assassin's Creed: Into the Wild WestOù les histoires vivent. Découvrez maintenant