Chapitre 2

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Je ne pensais jamais finir ma matinée avec du sang sur les jointures, à casser le nez d'un mec qui travaillais pour ce cher Cassidy qui m'intéressant tant.

-Tu es résistant lui disais-je.

Mon invité cracha sur ma botte, un mélange de mucus et de sang.

-Va en enfer bâtard!

Je lui flanqua un coup de genou dans l'estomac

-Ce n'est pas la réponse que je recherche mon gars répondais-je.

-À l'heure qu'il est Cassidy est bien loin de toi Assassin, tu ne le trouveras pas dans cette ville!

À l'instant où il dit cela j'attendis la cavalerie partir et le Shérif beugler à ses hommes.

-Cassidy est dans le train! Ne le laisser pas s'échapper!

-Et bien on dirait que ton plan de rester silencieux vient d'être compromis par les autorités.

Je le regardais avec de la terreur et culpabilité dans ses yeux, son souffle moite d'anxiété et un tremblement qui lui parcourais le corps. Ce fut fini bien assez vite.

Je chevaucha sur un terrain un peu plus élevé pour m'éviter les regards des autorités et leurs coups de feux. Cassidy n'allait pas finir en prison ou pendu, il était à moi, à la Confrérie. Je scruta chaque wagons pour repéré ce cher Butch qui attendais une mort certaine. À voir la position de son gang, il a dû prendre le contrôle de la locomotive lui-même, classique. Arrivé proche de la locomotive je sauta 3 wagons plus loin pour détacher le reste, m'éviter des combats inutiles. Wagon passager, 5 gars, tous tendus, proche des fenêtres, ils venaient de remarquer le plan que j'ai fait à l'improviste leurs yeux étaient tous river vers moi. 2 d'entres-eux sont partis plus loin en avant. ''Et merde'' pensais-je, ils vont prendre mon propre coup pour m'empêcher de m'approcher plus près, il fallait faire vite. Sans plus tarder je lança un couteau au premier qui le pris directement dans la gorge et parti rapidement. Le deuxième s'apprêtais à me tirer dessus avec son revolver, d'un coup rapide je sorti mon dard et le frappa directement sur le poignet, lâchant la prise de son arme et le finissant. Le dernier, pris de peur, voulu rejoindre ses 2 compagnons plus loin mais tomba dans le vide en dessous du train. Les wagons s'éloignais rapidement, je ne pouvais pas le laisser m'échapper. Je pris un grand élan et sauta avec aise au prochain wagon mais fût tirer dessus à l'épaule. Grinçant des dents par la douleur, j'essayais de ne pas toucher mon épaule pour démontrer une faiblesse à mes ennemis. Un sourire laid s'affichait sur le visage des 2 gars restants et voyait bien maintenant que je n'étais pas un diable mais juste un homme qui saigne comme eux. Mais leurs confiances en soi fût leur dernière erreur. Je décrocha une bombe fumigène de ma ceinture et dans la confusion et l'écran de poudre blanche j'élimina sans problème ces bâtards.

Enfin, l'heure de Cassidy sonna. Je sortis du wagon pour m'approcher de la locomotive, prêt à en finir avec cette pourriture. Cassidy Butch, le Templier qui fournissais les gangs en provisions, argent et armes. Je couru, enfonca la porte d'une épaule et me retrouva face à face avec le conducteur du train, suant à grosses gouttes, les mains tremblantes et une lame qui rasait le peu de barbe qu'il avait. ''Un piège...''

-Bonjour Assassin. Tu ne pensais tout de même pas que j'allais me laisser prendre par un plan aussi ridicule que stupide. Je ne suis peut-être pas l'homme le plus intelligent mais je sais très bien me débrouiller quand vient le temps de concocter des plans contre vous. Le Grand Maître veux ta mort, et je suis prêt à lui envoyer ta tête.

-Toujours plus rusé les uns que les autres pas vrai Cassidy.

Il me planqua le baril de son revolver contre ma tête et fît pression dessus, me faire signe de la situation dans laquelle j'étais.

-Tu ne sais rien de nous Assassin, le temps de la liberté dans les contrées non civilisé est révolu, vous et vos chers confrères peuvent délaisser le territoire, les Templiers vont prendre ses terres pour le bien du peuple.

-Dit celui qui vole des trains pour les redirigés aux Templiers.

-La ferme! Ne me dit pas comment faire mon travail sale moucheron.

J'entendis la gâchette de son fusil gronder et grincer alors que le chien avançait doucement pour frapper la balle qui allait me tuer. Avec un instinct et un timing parfait le coup parti à côté de ma tête et alla se loger dans un des cadrans. Il esquiva mon coup de poing et ma feinte pour sortir ma lame. Il me donna un bon coup de pied dans l'estomac qui me plaqua contre les contrôles et j'étais paralyser, couper de mon souffle. Dans le même temps il me pris par le collet et essaya de me lancer par-dessus bord. En attrapant la barre pour les marches je me tenais avec toute ma volonté de vivre. Il se para pour un dernier coup de pied mais fini son mouvement au sol, un trou fumant au niveau de l'abdomen, je venais de tirer mon revolver.

-Vous êtes tous pareil, vous voulez la liberté pour le peuple mais il ne peux pas y avoir de liberté sans ordre. Le peuple est trop prémature et ne pense qu'à son bien-être. Les gens ne veulent pas contrôler pour les autres et le bien du monde. Mais pour survivre, même s'ils doivent marcher sur la tête des autres...

-Mais l'ordre amène des gens comme toi qui font exactement ce qu'ils veulent au débis du peuple. Les gens souffrent pour le bien de peu, alors que nous luttons pour le bien de plusieurs. Que la mort te soit une bonne enseignante, et que puisses tu voir l'efforts des gens du passé, Requiescat in Pace...

Je ferma ses yeux délicatement, tourna mes yeux vers le chauffeur, il était mort lui aussi, j'arrêta la locomotive, monta mon destrier, et parti le plus rapidement possible pour m'éviter des problèmes.

-Allons voir mon Mentor, et lui demander la prochaine cible...

Assassin's Creed: Into the Wild WestOù les histoires vivent. Découvrez maintenant