Eyeshield 21 (Terminé)

partie 2

« Fuckin' nabot que fais-tu ici d'abord ??? » L'interpella le jeune Akuma.

Je ne répondis pas. Il sorti son arme à feu qui était, si ma mémoire est bonne, un magnum et pointait le canon dans ma direction.

Je me mis dos à lui, puis lui répondit :

« Je me suis rendu au marché et deux idiots m'ont volé le porte monnaie que j'avais. Je les ai poursuivis mais je les ai perdus. Ensuite, je suis rentré chez moi et mes parents n'ont pas voulu écouter ce que je leur disais. Du coup, ils m'ont mit à la porte et j'ai erré dans les rues pour échouer ici. »

Les larmes sortaient de mes yeux dû à l'émotion. L'Akuma qui m'avait découvert me prit dans ses bras avec une grande tendresse. Je pensais à tout ce qui m'était arrivé et je me demandais pourquoi les événements me tombaient dessus comme cela. Il me retourna et je vis son visage qui m'avait tant séduit. Le blond me caressa la joue en douceur puis m'embrassa de ses lèvres si agréables. Je rougissais malgré moi et répondais à son initiative timidement.

Je l'enlaçais doucement après notre premier baiser doux et sucré, je déposai tendrement ma tête contre son torse et d'un coup, il me prit dans ses bras comme une princesse. Il marcha avec moi dans ses bras jusqu'à dans sa maison où il vivait seul. D'ailleurs, sa demeure était belle et spacieuse. Il ouvrit la porte et il enleva ses chaussures, puis il m'emmena jusqu'à sa chambre et m'y déposa délicatement. Il me susurra au creux de l'oreille :

« Reste ici je reviens, je vais nous préparer un peu à manger. »

J'acquiesçais puis lui fit un petit sourire rempli de ma pudeur actuelle. Je mis la couverture sur mon corps, elle était bien chaude.

Pendant une trentaine de minutes j'attendais Hiruma. Je le vis revenir avec un plateau sur lequel reposaient des couverts, des assiettes, des verres et une bouteille d'eau. Je m'assis, il mit le plateau sur mes genoux et il s'asseyait à mes côtés. Dans un silence total, nous mangions. Par moment, Hiruma me regardait manger et ses yeux à ce moment s'emplissait de tendresse.

Il reprenait le plateau pour le poser à terre quand nous ayons fini, tendrement il m'enlaçait dans ses bras, me câlinait avec douceur et sensualité. Je rougissais à chaque enlacement qu'il me fit et le pire dans tout ça, c'est que j'en frissonnais. Il me souriait et rapprochait ses lèvres aux miennes, je l'avais laissé faire et on s'embrassait doucement puis fougueusement, à un moment donner, nous dûmes arrêter le baiser, nos respirations en furent saccadées. Même si j'avais pu deviner à ce moment que nos contacts allaient devenir plus intimes, jamais je n'aurais pensé vivre un instant si intense mais surtout, plus osé.

Il me regardait et au fur et à mesure que les secondes s'écoulèrent, on retirait un composant de notre tenue vestimentaire chacun à notre tour. Par contre, au moment on nous nous arrêtâmes au box, on cessa, rougissant fortement. Je lui tendais mon cou, il mit ses lèvres dessus et me donna de petits bisous, le lécha doucement et d'un coup le mordilla, m'arrachant un gémissement par la même occasion. Doucement, mon amant descendait sa bouche le long de mon torse tout en le léchant. Après, il s'affaira à me mordiller les tétons un peu sadiquement, ce qui me fit crier faiblement de plaisir. Je sentis alors mon sexe se gonfler rien qu'avec ses attouchements sur moi.

il reprit sa descente et arriva à hauteur de mon boxer. Hiruma me l'enleva doucement et vit mon érection.

Il prit mon sexe entre ses lèvres, me suçota le gland puis le prit d un coup en bouche en la suçant comme un dieu. J'en gémis fortement. Mon camarade continuait jusqu'à ce que je jouisse sur sa langue. Tout en exprimant mon bonheur, je le regardais rougissant tandis que ma semence s'échoua jusqu'au fond de sa gorge, l'avalant aussitôt. Il jeta un nouveau regard sur moi et me dit :

« Aimerais-tu que je poursuive mon chaton ? »

Le rouge que j'avais aux joues n'était pas prêt de me quitter suite à la prononciation de ce surnom que je trouvais mignon.