« Espace Personnel »
___Non sincèrement, ce qui c'est réellement passer c'est ça :
Howen - Provocatrice jusqu'au bout ?
Je l'ai regarder attentivement avant de rigoler.
- Avec toi ? Jamais.
Au même moment où je me suis levé, l'électricité est revenue donc toute les lumières se sont rallumées.
Je me suis retourné vers lui, qui était resté planter là dans mon canapé.
- T'attends quoi ? Rentre chez toi..
Il m'a fixer pendant un bon moment avant de passer sa main sur son visage en rigolant nerveusement.
Howen - Bien joué..
- Je sais, au revoir.
Il a pris son téléphone puis s'est dirigé vers la sortie, je l'ai raccompagné jusqu'à la porte.
Je ne sais pas pourquoi mais j'avais caché, un couteau dans mon short.
Je le sentais pas ce gars.. au cas où.
Je vous ai dit que je suis une meuf méfiante.
J'allais refermer derrière moi, quand il s'est tourné vers moi.
Howen - Donc en gros, y'a aucune attirance réciproque.
Je l'ai regarder avant de sourire.
- Tu vois.. ont est voisin depuis 3 ans. 3 ans que je ne te supporte déjà pas, okay ? À quel moment tu penserai que je serai attiré par toi.
Howen - Ça se voit dans tes yeux, tu peux pas mentir en disant que je ne te plais pas.
J'ai ris nerveusement.
- Écoute. Jamais au grand jamais, je serai attiré par un mec qui a tente de droguer une fille pour coucher avec elle sans son consentement.
Il a ouvert les yeux abasourdi, en plus il fait mine qu'il comprends rien.
Howen - Tu racontes quoi là ? T'insinue que j'ai tenté de te violer ?! Commence même pas à mentir sur la vie de ma mère..
J'ai levé les yeux au ciel, foutaise.
- J'ai des yeux partout. Donc ton gros sachet de je ne sais quoi, que tu as versé dans mon verre n'est pas passer inaperçu. Sur ceux, bonne nuit..
Il allait répliquer mais sans qu'il s'y attende, je lui ai claqué la porte au nez.
J'ai fait demi tour en soufflant, ce connard a quand même oser donner un coup à ma porte.
Je suis directement parti dormir, avec un mal de tête atroce.
Le lendemain
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« La fusion de nos coeurs. » [II]
Fiksi UmumL'amour s'en vas mais les douleurs demeurent.