Recueil OS /Shin Soukoku, Soukoku\

Yoshiwara/partie 2

La jeune femme leva les yeux vers la foule qui c'était formée, et en passant son regard dans la foule, elle le vu, son souffle se coupa quelques secondes et elle pensa pour la première fois de sa vie « qu'est ce qu'il est beau ».

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Pdv soleil de Yoshiwara
( je pense que vous avez tous compris qu'il s'agissait de Chuya en femme)

Mais enfin qu'est ce que je suis entrain de penser, et en plus pourquoi cet abruti a des bandages partout

- dame Camélia que faisons nous du corps, me demande l'une des yaka qui est censée veiller à ma protection.

- mettait le dans la fosse avec tous les autres, répondis je, et je finis par jeter un coup d'oeil pour savoir si le gars aux bandages était toujours là. Apparemment non, sa devait être un mec de passage.

Le jour va pas tarder à se lever à la surface, ce qui veut dire que je vais enfin pouvoir me prélasser dans le bain en buvant du saké et me reposer. Si je me souviens Atsushi et Ane-san doivent accueillir et discuter affaire avec un client donc je pourrai surement pas les voir. Les hommes y a pas dire il nous pourrissent toujours la vie, dire que je pourrai pas utiliser Atsu comme coussin pour m'endormir.

fin Pdv de Chuya

Pendant ce temps, du côté de notre cher Dazai, un évènement assez spécial c'est produit :

- j'aimerai acheter l'Oiran Camélia, pour combien me laisseriez vous l'avoir ; lui demande Dazai.

Akutagawa fut tellement surpris qu'il en recracha presque le thé qu'on lui avait servis, mais reprit vite son visage impassible après quelques toux sans pour autant ne pas être excédé face au comportement de son patron, quand a Koyo elle se stoppa et le regarda avec des yeux ronds. Atsushi quand à elle s'arrêta net de jouer du shamisen pour ces deux clients, elle même était étonnée par rapport à la demande soudaine. Cette homme n'était pas le premier a vouloir Chuya donc elle n'était pas inquiète mais Koyo pris tout de même la parole.

-navré, mon cher, mais les Oirans sont si coûteuse que même pour avoir rendez vous avec l'une d'entre elle il faut une certaine position ou beaucoup d'argent.

-je comprend bien, mais combien

-il faut avoir eu beaucoup de rendez vous avec la même courtisane puis ensuite on peut commencer à parler d'argent, d'un commun accord elles peuvent être achetée mais souvent jamais elles ne partent de Yoshiwara car trop coûteuse et très importantes vus que leur travail leur permet de récolter des informations. coupa Koyo; je parle des Oirans mais il en est de même pour toutes les femmes de Yoshiwara.

-vous me connaissez sans doute assez Koyo pour savoir que si je veux quelque chose je l'ai, lui répondis simplement Dazai, son regard n'avait rien avoir avec celui qu'il avait avant, c'était les yeux d'un prédateur.

- je n'en doute pas, après tout tel père tel fils, même si j'aurai voulu que tu prenne plus du côtés de Fukuzawa que de Mori. dit elle en sirotant son thé ; maintenant pourrais tu te calmer car Lys a du mal a respiré a cause de ton aura étouffant.

- se n'est rien koyo anee, je suis juste un peu essoufflé, répond Atsushi qui a du mal a respiré et qui arrive a tenir grâce a Akutagawa qui la maintien assise; merci euh

-Akutagawa, Akutagawa Ryunosuke

-merci à vous, Akutagawa-sama

-excusez moi, ma chère je ne voulez pas vous mettre dans un telle état, pour me faire pardonner que diriez vous je me suicide avec vous

-pardon, répondis notre Atsushi un peu déboussolé, et une veine pulsant sur le front de mademoiselle Osaki voulant exprimer quelle était presque à bout à cause de ce guignol.