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     Une semaine passé,  depuis la nuit torride. Hermann s'inquiétait ,Nahili n'avait pas donner signe de vie depuis la nuit chez Hermann. Il tenta de joindre son frère Yvon à qui La petite soeur avait demandé de dire qu'elle était chez une tante pour les 3 dernières semaines de vacances. Hermann s'inquiétait,  son esprit était lui enté  par la nuit avec Nahili. Il ne cessait de penser à elle. Des msg à n'ont plus pouvoir.  Mais hélas Nahili ne répondait pas.
   Chez Nahili, tout était assez calme. Jusqu'à ce qu'elle se rende compte que la date d'arriver de ses menstruation était passé depuis 5jours. Elle se doutait, qu'elle avait un retard de Hermann. Elle était plutôt contente, jusqu'à ce que l'idée de le dire à ses proches surtout a sa mère là terrifia. Que vais je bien dire à maman? Là était sa préoccupation.  Mais l'idée d'avoir un enfant de Hermann l'enchantait , un petit Sato junior fit elle avec un légé sourire au lèvres... Deux semaines passèrent et Hermann était toujours  sans nouvelles de sa potesse.  Nahili compte à elle ne sortait plus, elle avait du mal à se lever le matin. Elle mangeait comme un port et prenait du poids. Puis vint le fameux soir, où elle ne se doutait pas que sa maman allait poser la question qu'elle redoutait...
   Il était 19h, Nahili était allongé dans sa chambre. Puis on frappa à la porte.  Chérie je peux entrer c'est maman. Oui maman entre répond Nahili à sa mère. Une fois entrer la maman pris place juste au côté de sa fille. Elle pris la parole et dit:
Maman de Nahili : es tu enceinte ?
Nahili répond non, bien avant de changer son non en oui, elle avait déjà reçue une gifle de sa mère. Elle pleurait. Sa maman repris la parole en disant :
Maman de Nahili : je t'ai tout donné,  tu n'avais pas  à te plaindre du confort, tu as toujour eut ce que tu voulais. En retour ton père et moi on ne voulait qu'une chose , que tu gagne ton bac  et toi tu nous remercies , on nous apportant un bâtard ?
Nahili en sanglots pris la parole et dit: tu ne m'as jamais aimer, certes je ne manquais de rien mais il ya parfois dans ton regard du mépris à mon égard. Jamais tu ne m'as montré que j'étais ta fille, tu ne savais qu'une chose m'enguelé. Je voulais juste une mère présente moi.
Prise de rage, la maman de Nahili sonna de nouveau une gifle à sa fille puis elle dit dans un élan de haine et de mépris (ce fameux mépris ). Je savais que tu ne pouvais pas être mieux que ta bordel de mère tu es exactement comme elle à ramener des bâtards à la maison. Oui tu n'es pas ma fille biologique.  Tu es l'enfant de ma défunte soeur,  celle que tu connais sous le nom de tantine collette que tu n'as pas rencontrer car après t'avoir donner vie, elle rendu l'âme. Maman  pleure jusqu'à ce jour sa mort. Après tout elle a toujours été là préféré de maman, même six pieds sous terre. J'ai accepté de te gardé par devoir et je me disais que tu devais être cette fille que je n'ai jamais eut, après tout l'enfant appartient à celui qui le garde. Mais hélas j'ai voulu chasser le naturel en pensant que tu ne devais être comme ta mère.  Depuis toute petite,  tout ce que tu faisais,  me rappelait cette garce qu'était  ta mère.  Celle qui m'a volé l'amour de ma mère et tu réclame quel amour venant de moi? Tu n'as que ce que tu mérites.  Fais tes bagages tu pars chez ta grande mère au village, je t'avais prévenu . Je veux plus d'une garce sous mon toit.
  Celle qu'elle a toujours pris comme sa mère venait de lui mettre un poignard en plein coeur!
     Elle sort a de la chambre laissant Nahili en sanglot.
   Elle n'arrivait pas à croire ses oreilles.  Donc tout cela n'étais qu'un leurre. Sa vie et tout le reste.. Elle pleurait jusqu'à n'en plus pouvoir. Tout autour d'elle lui semblait étranger.
    Son soit disant père rentra peu de temps après et demanda à ce qu'on appelle sa fille.
  Elle vint lés retrouver au salon, sa mère qui jusque-là venait de devenir sa tante et son père ou plutôt son oncle.
     Prend place ma fille, fit son père. Nahili prit place.
    Son père prit la parole.
Père de Nahili : ai je déjà une fois fait la différence entre tes frères et toi?
Nahili : non papa
Père de Nahili : alors que c'est il passé ? Où est passé cette complicité que toi et moi avions autre fois? Pourquoi lorsque tu as senti la complication,  n'es tu pas venue me voir ? Tu me brises le coeur.
Nahili en pleurant: ne dis pas ça. Tu sais que lorsque une jeune fille vient à devenir femme, lorsque son corps et tout changent , il devient difficile pour elle de parler de certaines choses avec son père.  Il me fallait une mère... hélas
Père de Nahili : ah ma petite fille tu vas devenir mère et je suis dans l'incapacité de revenir sur la décision prise par ta mère... hélas mon bébé.. Pourquoi me mets tu dans pareil situation ?
Nahili à son père : t'inquiète de toutes les façons je ne veux plus rester dans cette maison. Ma valise est prête je pars quand?
Père de Nahili : Donc tu veux vraiment nous laissé ? Tu ne me donnes même pas la force de contester la décision prise par ta mère?
Nahili à son père : pourquoi faire? Une mère qui me hait? 18ans qu'elle me garde. Certes elle ne m'a pas porter en son sein, mais je suis tout de même là fille de sa petite soeur.... un instant Nahili s'arrêta essoufflé par les pleures.... puis elle repris
: est ce de ma faute si mamie faisait la différence entre ses enfants ? Pourquoi ta femme c'est sentit obligé de me rendre ce que sa mère l'a fait?
Père de Nahili: ne parles pas comme ça mon bébé.  Calmes toi.
Nahili à son père : non, trop longtemps je n'ai rien dit. Je suis contente d'avoir ramasser cette grossesse, sans laquelle je ne devais jamais me douter de cette farce qu'est ma vie.
   Le père voulu en rajouter une. Nahili sans le vouloir le coupa la parole et dit
: ne dis plus rien. Je veux juste partir loin d'ici.

Puis la mère lança d'une voix impitoyable : bon débarras... les garçons n'étaient pas là.
Nahili retourna dans sa chambre en laissant sa mère et son père au salon en pleine discussion.
Père de Nahili à sa mère : 18ans que tu élevé cet enfant tu as tjr là même rage? Alors pourquoi avais tu accepté ça garde?
Mère de Nahili : pour faire plaisir à  une femme qui ne m'a jamais aimer...  le papa de Nahili ne cherchait plus à avoir aucune explication.  Il savait la douleur que sa femme portait dans son coeur, et il comprenait cette dernière et trouvait presque une justification à ces attitude envers leur fille...
   La nuit fut courte puis arrivé le temps du départ pour Nahili.  Elle embrassa ses frères, qui étaient surpris de ce départ,  mais impuissant face à la situation...
Au moment d'embrasser Yvon il l'a demanda :et Hermann?
Elle répondit : promets moi que tu ne lui diras jamais que j'ai son enfanr en mon sein.
Yvon ne sachons pourquoi sa soeur avait prise cette décision  ,
il dit :oui je te le promets. Nahili pris la porte et elle se dit, à part Yvon personne ne m'a demandé l'auteur de la grossesse, à croire qu'ils n'ont rien à faire de celà...
Nahili s'en alla...
  Trois jours après son depart, Herman vint s'enquérir de ses nouvelles. Il trouva l'autre frère de Nahili, qui lui dit: Nahili cette année vivra avec notre mamie. Il serait bien pour toi que tu ne cherches plus à savoir ce qu'elle deviendra.
Hermann voulait persister, il demanda après Yvon.
Yvon derrière la porte n'ayant pas le courage d'affronter Hermann fit signe à son frère de faire comprendre à Hermann qu'il était lui aussi absent.
Hermann n'insiste pas plus et rentra chez lui.
Arrivé chez lui, il fit asseoir ses parents qui étaient de retour,  depuis une semaine.
Sa maman prit la parole:
Maman de Hermann : oui mon fils nous t'écoutons ton pere et moi.
Le père de Hermann n'était pas très bavard,mais sa prise de parole suite à la décision de son fils  sera des plus inattendus.
Et Hermann prit la parole.
Hermann : maman , papa... Je veux devenir prêtre.
Sa mère étonné de cette décision voulue là contesté,  et son mari là coupa la parole et dit,lui qui n'était pas très bavard:
Père de Hermann : stp chérie à sa femme, puis à son fils. Mon garçon tu es un homme aujourd'hui, homme libre de ses choix. Je vais juste te dire ce que ton grand père,  mon père m'a dit un jours: fils libre sont tes choix, mais saches qu'un homme qui en a des paires de... ne regrette jamais sa décision peu importe les retombées,  il assume. Alors fiston, si c'est là ton choix. Je n'y peux rien. Tu as mon soutiens.
   La maman de Hermann voulait en placé une de nouveau,  mais son mari lui fit signe de ne plus rien dire.
C'était une surprise inattendus même pour Hermann lui même... 
   "le puits où un être puise son aspiration à une chose, seul lui est maître..."
  Hermann aussi s'en alla peut de temps après Nahili...

 sacrifice Incompris Où les histoires vivent. Découvrez maintenant