Chapitre 12 : Oups

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L'infirmier ouvre et referme la bouche. Comme un automatisme. Puis il prend la parole me demandant si je vais bien et de puis combien de temps je suis réveillé. Je réponds le mieux possibles à cette diverse question. A la fin de chacune de mes réponses, dans son calepin ramasser, il y note un raccourcie, sûrement, de mes dires. Il finit en m'auscultant légèrement et délicatement. Puis nous souhaite une agréable fin de journée tout en fermant la porte. Je commence à regarde en souriant Liam, de son coté, il me dévore du regard. Doucement il s'approche de moi et entrouvre la bouche afin de me glisser des mots mais est interrompu par l'infirmier de tout à l'heure, même de tout de suite, qui nous dis d'une voix distincte et assez haut en volume. « Votre docteur passerais prochainement en vous apportant les résultats des analyse précédente ». Liam ayant eu peur de cette entré brutale, c'était rassit d'un bon sur la chaise près du lit. Il me regarde et lâche un profond soupir. Et fini par dire « je ne sais pas s'il nous laissera 5 minutes de répits dans ce foutu hôpital. » je rigole face à sa tête de déconcerter. Et lui réponds d'une fois douce « c'est leurs travail Liam, ils doivent prendre soins des malades. » ces yeux se lève au ciel, il n'a pas aimé ma remarque...

On reste là sans rien dire pendant un moment... Liam prend la parole de façon méfiante ; je dirais, il ne regarde pas vraiment en ma direction, il fuit mon regard.

« Éloïse tu sais la faute que je t'ai envoyé par message, concernant ton ex et la fille... j'ai appris il n'y a pas longtemps, par mégarde, que toutes les amies à la fille sont au courant. Mais là n'est pas le problème... ce n'est pas la première fois qu'il s'embrasse. A vrais dire et je suis désoler... ils ont fait autre chose... je pense que tu vois ce que je veux dire ?»

Je ne sais pas vraiment quoi dire, je suis choqué par sa révélation. Mais ce n'est pas possible, c'est une grosse blague. Je commence à sentir un liquide couler sur mes joues pour finir leurs courses dans mes mains citées sous mes yeux. Ma vue se trouble... je pleure ? Je pleure pour lui non ce n'est pas possible... il ne les mérite pas... « Il ne mérite pas tes larmes. S'il te plaît Éloïse arrête de pleurer » m'interrompt Liam. Tout en venant me faire un câlin, il me glisse des mots doux dans le creux de mon oreille.

Je me calme, peu de temps après, ressert avec le peu de force accumuler depuis mon réveil. Je sens son souffle s'abattre dans le creux de mon cou. Son odeur m'entoure. Le rouge me monte à la tête. D'un coup. Ma tête s'insère dans le creux de son cou. Une sensation de bonheur me submerge. Le bonheur est-elle, qu'une fois acquit, on ne veut plus s'en séparer. Le garder pour nous encore et encore. Mais une fois Liam partie. Un vide arrive à toute vitesse. Il me lance un sourire et un bref salut de la main avant de franchir la porte. Après le vide béant, à la fin de l'étreinte. Je me sens comme s'il m'abandonne encore une fois...

A quoi je pense encore, il ne m'abandonne pas, il reviendra en ça j'en suis persuader. Pour ma « maladie » ça se trouve je n'ai rien et c'est juste mon corps qui a eu une baisse de régime si je puis dire.

Mes parents sont venus me voir, ma mère c'est excuser pendant toute sa visite à mes côtés, elle ne savait pas comment faire pour éviter cette solitude, gagner par l'hôpital.

Petit à petit, je me sens partir, le sommeil l'emporte.

Une porte s'ouvre et quelques voix s'entre choque dans cet ancien silence. Doucement mes yeux s'ouvrent et s'habitue à la luminosité.

- « Bonjours mademoiselle, comment vous sentez vous ? Je suis le médecin qui est charger de votre suivi. »

La femme venant de parler avais la cinquantaine, les cheveux rouge (du vraisemblablement a une teinture) ainsi qu'un corps très élancer.

- « Euh... oui bonjours, je vais bien merci. » arrivais-je à articuler malgré le réveil.

- « Ne vous inquiétez pas, vous avez développé une bronchite, c'est la raison pour laquelle vous avez cracher du sang. »

Suite à ces paroles elle sortit de la pièce accompagner par l'infirmer de tout à l'heure. Je ne sais quoi faire. Remarquant une télé en face de moi, je me mis à chercher la télécommande. J'ouvris le tiroir de la commande se trouvant à la droite de mon lit. Je découvrir mon téléphone ainsi que l'objet de ma recherche. Débutant par allumé la télévision afin de crée un bruit, je déverrouillai ensuite le téléphone découvrant plusieurs messages en absence.

Un de ma mère et un de mon père, la cinq autres proviennent de Liam. A vrais dire, il a dû m'attendre pendant un certain temps.

[Liam :

- C'est bon, je suis arrivé ne t'inquiète pas prends ton temps, je suis en avance. Hâte de te voir

- Salut Éloïse. Je suis vraiment désolée si je t'ai blessé de quelle façon qui soit mais s'il te plait pardonne moi.

- Éloïse, ça va ? Pourquoi tu ne me réponds pas, ce n'est pas dans tes habitudes.

- Je viens d'avoir ton frère, es ce que tu vas bien ?

- J'arrive à l'hôpital ne bouge pas.]

Je n'ai pas encore la tête à affronter mes parents. Les médicaments donnés par les médecins, m'endorme pour la plupart. Je ne pense pas que mon corps est encore récupéré des examens ni de l'entrevue avec Liam et l'annonce qu'il m'a fait.

Je recommence ma recherche de la télécommande et la trouve à côté de l'endroit où se trouvait mon téléphone. J'allume la télé pour au final m'endormir devant.

Le lendemain matin, l'infirmier me réveil avec un grand sourire, tout en me montrant les médicaments sur la petite table. « A ce que je vois, vous avez besoin de beaucoup de sommeil, et avez-vous mal aux yeux, ils sont très rouges. Aujourd'hui est votre jour de sortie. Vos parents viendront tout a l'heure pour signée les papiers. » Je le regarde et lui sourit en remerciement. Mon corps dort encore de trop pour lui répondre de vive voix.

Il sort peu de temps après son annonce. Il a dû comprendre, la raison de mes yeux rouges, les pleurs.

Mes parents arrivent accompagnée de mon frère et Liam, a vrais dire je ne sais pas si on peut se considérer comme ensemble faudrait en parler, je sens déjà mon visage chauffer rien qu'en y pensant. Ont récupéré mes affaires, et nous partons de l'hôpital, enfin l'ambiance qui y règne ne me plaisait pas trop. Plus vite on sera partie d'ici mieux se sera.

Arrivée chez moi, ma mère avait préparé mon repas préférer, du riz au lardons avec de la crème au curry. Un petit dessert y était accompagné, un gâteau au biscuit et à la fraise. 

Avec toiWhere stories live. Discover now