Peu de temps après être sortie de l'hôpital, je suis retournée en cours. Malgré mon envie de rester dans mon lit douiller, mais mes parents ne voyaient pas sa dû même œil, ma mère a demandé à mon frère de m'accompagner jusqu'à l'arrêt de bus, bien évidement nous montons habituellement dans le même mais toujours avec une distance assez conséquente, enfin je ne le vois pas ordinairement à l'arrêt de bus. Sauf qu'aujourd'hui nous sommes côte à côte attendre le bus, tous deux, un air de bonheur sur le visage, heureux d'être à côté l'un de l'autre. Enfin heureux est un bien grand mot, je souhaiterais n'importe où sauf là. Le bus arrive, à travers la vitre j'entrevois Léna, je fonce à l'intérieur du bus et fonce sur ma meilleure amie. Elle m'entoure rapidement de ses deux bras. « Je suis tellement heureuse de te voir Eloïse tu n'imagines même pas à quel point ». Des petites goute humide tombe dans mon cou au fur et à mesure. « Toi aussi tu m'as manqué Léna, tu n'imagines même pas tous ce que j'ai à te raconter ». On se sépare, elle pleure avec un grand sourire. Un ressemblant au siens sinistre au creux de mes pommette. Arrivé au lycée on sort. « Tu sais j'ai tellement envie de rester encore avec toi mais je crois qu'il y a une autre personne qui souhaite prendre ma place. Et je suis désoler mais dans les semaines qui arrivent j'aimerais rester avec toi. Mais il me semble qu'une autres personne veut aussi te garder pour lui... » Elle me sourit en me montrant une silhouette au loin nous regardant.
Sans avoir le temps de lui dire la moindre remarque, elle part rapidement en direction d'une silhouette, probablement Alan. « Salut toi, comment tu te sens aujourd'hui, tu n'as pas mal à la gorge, pas de vertige rien rassure moi ? » Je me retourne et croise le regard inquiet de Liam. Mon visage exprime aussitôt un rictus de joie. « Non ne t'inquiète pas tous vas bien, je n'ai plus aucun signe de cette maladie. » Il me sourit à son tour et m'embrasse pour me faire part de sa joie.
Je suis heureuse d'être sortie, d'être de retours ici et de pouvoir enfin me reposer dans ces bras. Ma tête se pose instinctivement sur son torse, peu de temps après, je sens ces bras s'entourer autours de ma taille. La sonnerie de l'école retentie nous séparant. Partant ensemble dans notre salle de classe. En entrant dans la classe j'eu mouvement de recul, je regarde la porte mais n'ose entrer. J'ai peur, et si les autres élèves me posent des questions sur ce que j'ai eu, que devrais-je leurs dire ? Je n'ai pas envie que toute la classe apprenne pour ma maladie. Liam me regarde attrape ma main et me glisse doucement dans l'oreille « ne t'inquiète pas je suis avec toi et je resterais encore un moment à tes côtés. Les autres ne changerons rien à se qui ces passés, tu n'es même pas dans l'obligation de leurs répondre. ». Je ferme les yeux sert ça main plus fort et entre dans la classe. Tout en partant m'assoir au fond de la classe. Une fois fait j'ai enfin réussi a lâché sa main. Je me retourne vers Liam et lui adressa un sourire désoler. « Tu as de la force dit moi » son sourire traduit son amusement de la situation.
Au finale, mes autres camarades ne m'ont pas tant parler de mon absence mais plutôt du pourquoi du comment, je me suis retrouvé à renter à tenir la main de Liam. A vrais dire je ne savais pas trop quoi leurs répondre, moi-même, je ne sais pas si nous sommes ensemble ou juste s'il s'amuse, rien que cette pensé me crée un pincement au cœur. Evidement dans ses cas là ils ne le demandent jamais devant Liam, et je n'ose pas en parler avec lui. Mais ça va bientôt faire une semaine et on en à toujours pas parler. Un jour je vais devoir me lancer. Léna ma affirmer que s'il était aussi attendri avec moi ça voulait dire une seule chose, il veut sortir avec moi.
En ce moment je suis à l'extérieur du lycée dans un parc aux alentours, attendant avec impatience Liam. Je voulais lui parler de notre relation. Je regarde mon téléphone indiquant un message de Liam disant qu'il ne devrait pas tarder. « Tu ne fais que regarder mon message, au final j'ai hésité à te l'envoyer à ce que je voie j'aurais mieux fait de ne pas le faire » je me retourne et voix Liam rire en regardant mon téléphone déverrouiller. Je sourie « Non, c'est très gentil à toi, et ça me fais très plaisir ». Il me sourit et vient s'assoir sur la couverture sur laquelle je me suis assise. « Liam, je t'ai demandé de venir aujourd'hui pour te poser une question qui me tient à cœur.
- Je ne te retiens pas et de toute façon même si je ne te dis non tu le ferras quand même. »
Il rigole et m'incite par un mouvement de bras à parler, mon visage prends une couleur rouge pourpre, ma bouche s'ouvre et se referme petit à petit. Je ne sais pas comment faire ni comment le lui dire. « Tu peux tout me dire il n'y a aucun sujet auquel tu dois te sentir gêner avec moi. » Aller Eloïse tu peux le faire « On est quoi tous les deux ?
- Tu peux me la refaire en moins vite, je n'ai pas tout compris
- Tu m'embrasse, me prends la main...
- Et souhaite être avec toi » Il me coupe la parole, m'embrasse sans me laisser le temps de réfléchir.
Il est trop mignon ces pommettes sont très colorées, lui donnant un air plus craquant. Ma tête se loge instinctivement dans sa nuque. Je suis tellement heureuse. « Tu pensais que je ne voudrais sortir avec toi, je ne fessais que m'amuser pour toi ? », je me recule rapproche ma tête de la sienne, colle son front sur le miens tout en chuchotant « oui, j'avais peur mais je ne voulais pas non plus me séparer de toi. ». Tout en finissant ma phrase, des larmes coulent le long de mes joues. Un pouce vient essuyer les gouttes d'eau salé, déferlant le long des mes pommettes. « Ne pleure pas, tout va bien »
« Je ne pleure pas parce que je suis triste mais plutôt à cause de la joie qui me submerge ».
Toute notre classe a été au courant rapidement, sans qu'aucun de nous deux ne disent rien. Il y a certains élèves, ils trouvent des informations sur d'autres en un rien de temps faisant vraiment peur.
Aujourd'hui, je pars chez Liam, ces parents sont partis en vacances et il se sent seul. Et a juste envie d'avoir une personne spéciale à ces yeux. Enfin, d'après l'un des messages envoie par son téléphone. Devant la porte de sa maison en compagnie d'un sac de sport remplie d'affaire de rechange. Peu de temps après avoir sonné, la porte s'ouvre et une silhouette qui m'est familières. Il n'a même pas eu le temps d'ouvrir entièrement la porte d'entrer, j'étais déjà dans ses bras. « Au final ces toi ou moi qui a le plus besoin de l'autre en ce moment ?
- Ne te moque pas, j'en suis sûr, tu allais faire la même chose.
- Oui pas faut mais contrairement à toi j'attendais d'avoir ouvert la porte en entier. »
Tout en gonflant les joues, je lui passe devant et entre en mimant une moue. Je commence à avancer dans la maison tout en essayant de m'approprier ces lieux inconnus. En avancent, la première pièce découverte est une cuisine dans les tons rouges et grises ouverte sur un salon d'un gris plus claire et d'un blanc sûrement casé. C'est trop joli, devant moi plusieurs porte souffre à moi, en tournant à droite, plusieurs porte s'ouvre à moi. Vers la droite une cage d'escalier apparait dans mon champ de vision. Montant les marche quatre à quatre. J'entends des pats derrière moi. Pas besoin de me retourner pour savoir, la personne se trouvant à ma suite. « Eloïse, ta visite te plait. » Dans sa voie j'entends de l'humour. Je sourie et continue de monter, arriver à l'étage, je remarque des prénoms sur deux portes. Sur l'une d'entre eux est écrit Antoni, le prénom du frère de Liam. Je me stop net en voyant se prénom et m'arrête tout de suite. Une main se pose sur épaule. « Allée ne t'inquiète pas, il est à l'hôpital après tout ». En me retournant, je remarque que malgré ces paroles il n'en reste pas moins toucher. Par automatisme, je le prends dans mes bras et le sert le plus fort possible. Il se dégage vite de mon emprise et me dis sur un ton enjouer « voici ma chambre, bon j'avoue je t'invite et je ne suis même pas capable de la ranger de façon présentable. ». En y entrant je compris enfin le sens de sa phrase. Je n'avais jamais vue cela, des affaires trainer un peu partout et je ne parle même pas des feuilles. « Tu me désespéré. » J'explose de rire et le regarde avec un air de défie « tu n'espères quand même pas, je ne dors pas dans une porcherie même si je dois la ranger ta chambre sera propre d'ici ce soir ». En me retournant je remarque un grand sourire sur son visage, surement de moquerie. Je m'assoie sur son lit et attends. Attendre quoi ? Qu'il range lui-même sa chambre il n'espérais quand même pas que j'allais la ranger toute seule non plus. Je l'aide mais seulement s'il m'aide en retours. Après 5 minutes à attendre il commence enfin a se mouvoir. Mais pas dans le bon sens. Il vient juste vers moi. « Aller Eloïse vient, on s'occupera de sa plus tard c'est loin d'être une priorité. Tu ne penses pas ? »