Une énorme vague de 80 m de haut arrivait de loin lentement. Elle allait engloutir tout le monde au bout d'une heure.
J'étais dans la cour de mon école primaire avec tout les camarades de ma classe actuelle, ils étaient assis et attendaient leur heure. J'ai dit à l'une d'entre elle que j'avais peur de mourir car j'avais peur de souffrir, ce à quoi un garçon à côté m'a répondu : "Ah bah là tu vas te noyer, c'est pire."
A un autre moment, je suis dans ma chambre. Il fait beau mais il manque mes fenêtres, dehors le mirabellier du voisin est arraché et je vois toujours la vague au loin. Je commence à avoir peur.
J'apparais dans une salle de classe de mon ancien collège qui me semble immense et il y a une énorme branche en fleur du mirabellier près des fenêtres. La vague est de plus en plus menaçante.
La scène change encore et je vois quatre mariés s'échanger les bagues dans le rez-de-chaussé d'un immeuble. Toutes les lumières clignotent et un couple meure. Le dernier s'échappe dans les étages et je sens que le tsunami est proche.
Le couple se perd dans les couloirs, prennent un escalier à l'extérieur, je les suis et je subis une tempête : il pleut des cordes par millier, les nuages sont tombés sur la terre. Le couple disparaît et je dois fermer toutes les portes. L'immeuble se transforme alors en cargo, immense et indestructible. La vague s'abat sur Nantes et tout disparaît, sauf le bateau.
Je me retrouve seule sur le pont, la tempête a laissé place au soleil et je vois la ville engloutie sous les eaux. J'étais morte de peur.
Le r̰̥͐̿êv̺̘͎͊̀ͦe͎̳̒̅ ̜̥̈́̊s̱͆̚ͅ'͎̘a̺͒rͅr̜ê͕̖͕̇͛̇t̐́ė̫̠̤̾̈ l͍̲ͣ̂à.̦͔̗̄͆̚
Il s'est réalisé durant la période de confinement.

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Rêves
FantasyIl y a dans ce recueil les rêves que mon imagination torturée aime inventer lorsque je suis engluée par le sommeil. Certains sont étranges, idiots, horribles, tristes, géniaux, superbes, ce sont des rêves. Plein de rêves.