IndianaisePro'©️
« Ton pied, mon pied. »
__Je pousse la baie vitrée de sorte à pouvoir accéder au jardin.
Il était là, sans trop l'être on aurait dit qu'il était pensif.
- Tu fume toi maintenant ?
Il ne se retourne pas à l'entente de ma voix, je m'approche doucement de lui et lui retire délicatement la cigarette coincée entre ses doigts.
Je la jette par terre et la piétine.
Je m'assois sur la transat à côté de lui et lève les yeux au ciel, des étoiles scintillaient.
La nuit était tombée et durant la journée je n'avait cessé de me demander « Pourquoi le fait que je quitte sa maison le rendait comme ça ? ».
Je veux dire, il avait l'air de ne pas avoir envie que je m'en aille.
Étant donnée que je n'ai jamais eu d'amis auparavant je ne sais pas comment ça marche.
- Isahia ?
Isahia - Mh ?
- Tu penses que je serais libre un jour ?
Le connaissant, il a sûrement du froncer les sourcils d'incompréhension mais n'a pas détourné son regard vers moi.
Isahia - Comment ça «libre» ?
Je soupire avant de baisser la tête en direction de mes pieds.
- Non,oublis.
Il ne rétorque pas.
Je passe ma main dans la poche de mon jogging pour y sortir mon téléphone, j'appuie sur la touche « touch ID » et mon téléphone c'est allumé, m'indiquant qu'elle heure était-il.
minuit pile.
Je lève les yeux au ciel en sélectionnant l'étoile qui brillait le plus.
Par la suite je chuchote un léger :
« Joyeux anniversaire, tu me manques. »A l'aide de mon téléphone j'ai cliqué sur une photo de nous datant de 2013.
Nous étions habillées de la même manière, je la portait, je souriais et elle de même.
Je prend mon téléphone et le sers fort contre mon cœur.
VOUS LISEZ
« el amor ».
General Fiction[𝟏] story by @Indianaise « La vie est remplies d'épines qu'il faut que tu touche pour pouvoir avancer, ça fait mal sur le coup mais plus le temps passe, plus la douleur s'atténue. Chaque épines nous apprend quelque chose de différent qui nous...