Chapitre 3

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3.

Donc, je disais : C'est là que mon histoire devient palpitante. J'allais encore à mon casier ( je ne sais pas trop ce que j'y fais mais pas grave ) et là, je tombe sur qui ? Cameron-mon-ami !

Oh non, olalalalalalalalalalalalalalalallalalalallalallalalalalalalalalalalalala ( petiti bug de l'auteur ) il va encore être pas gentil avec moiiiiiiii !

Terrifiée, je m'avance lentement. Ça ne loupe pas :

- Tiens, voilà la sans-ami !

Et là, je vois rouge. Je le pousse violemment et hurlant :

- LAISSE-MOI TRANQUILLE CONNARD !

Il me lance son regard de la mort qui tue.

- Qu'est-ce que tu as dit ?

- Euh non, je disais euh ... Tiens, il fait beau aujourd'hui, hein ?

- Inclines-toi devant ton maître !

Il est pas bien, ce type ? Apparemment, il est sérieux. Allez, Amber, une dernière petite révolte ...

- Hors de question !

Je me retourne et m'enfuis en courant. Il me suit, oh mon dieu je suis morte ! Je sors du collège, Cameron sur les talons. Il a un couteau dans les mains et me poursuit en l'agitant. Je monte sur le toit d'un immeuble et il me suit Derrière moi, le vide, devant moi, Cameron-au-couteau. Que faire ?

Tout d'un coup, on entends les gyrophares de la polices. Merde, j'avais oublié qu'on n'avait pas le droit de monter sur le toit des immeubles ! Cameron à l'air effrayé aussi. Il est trop beau quand il a peur. Alors je m'avance vers lui et lui dit :

- Tu sais, faut p't'être qu'on se casse.

Il acquiesce. Mais ... Comment ?

Il était une fois un clichéOù les histoires vivent. Découvrez maintenant