CHAPITRE 13

28 1 1
                                    

-Et Est-ce qu'il était gentil ?

PDV OMNISCIENT :

Il y a beaucoup de choses que Kaiira ne supporte plus.

Beaucoup trop même.

En particulier, le bruit.

Kaiira avait emménagé dans l'appartement depuis 5 jours. Et il y avait des bruits.

Des gens qui parlent, qui s'aiment, qui se chamaille, les tuyaux d'eau, le chauffage... Et les fenêtres sur la ville.

Non, les fenêtres ne grinçaient pas en s'ouvrant. Les dents de Kaiira oui. Le bruit du quartier l'énervé.

Nighty était une ville grandissante et en ruine. Est c'est chacun pour soi. Les Darkats avaient fait ce qu'ils devaient faire.

Maintenant et comme partout sur la Terre, des clans, des quartiers plus ou moins riche, dangereux, et des groupes c'était formés. Les villes avais changeaient, disparu, grandi, tout était détruit il avait fallu reconstruire certains endroits ou laisser-t-elle qu'elle. Des entreprises ont apparu, comme Darkatchazama.

Et des villes comme Nighty n'ont pas était épargné par le renouveau, n'y' les guerres, n'y les pandémies... N'y... l'apocalypse quoi. C'est d'ailleurs la ville ou tout à commencer.

On dirait que c'est fait exprès non ?

...

...

Ca ne faisait que 25ans.

L'évolution n'était pas tant que cela avançait. Car ils étaient déjà eux même, surdéveloppés.

C'était comme une énorme anarchie rangé ( ce qui se contredit grandement) avec un GRAND patron écouté, soutenue et aider à 40%. Tout le monde était en guerre avec tout le monde de toute façon.

Mais comme les humains, les Darkats travaillaient, manger, aimer, vivez, croyez au dieu des humains, avez des sectes, tuer, torturer, avez des politiciens et un fameux GRAND patron créateur de Darkatchazama connu plus souvent sous le nom Darkatcha, le fournisseur de tout a tous. Il n'était pas président ou roi, il était juste l'homme le plus connu de la planète grâce à son entreprise.

Les Darkats faisaient la même chose que les humains mais en plus chaotique, dangereux et progressif. Les noms de la plupart des créations humaines connus avais changeaient ainsi que les noms des villes, des continents...

Par exemple Katsmazon, Katsbook, Katsmazonie, La frouffe pour la France, Nighty pou Laon...

Joyeux bordel n'est-ce pas ?

Revenons à Kaiira maintenant.

Elle avait choisi cet appartement pour la vue. Naaan, pas pour une belle vue si c'est ce que tu penses mais plutôt pour le fait que l'on voie tout de cet endroit. C'est parfait pour les voyeurs quoi. Et aussi savoir tout ce qui se passe dans la ville.

Le plus embêtant dans tout ça c'est que en bas de l'immeuble se trouvait une longue et large rue bruyante le soir à cause des concerts improvisés AVEC BEAUCOUP TROP DE DARKATS PRÉSENTS.

Et c'était insupportable pour notre bête noire.

Ce cinquième jour elle décida d'aller jeter un coup d'œil de plus près que le balcon.

Depuis quatre soirs Kaiira jetait ces mégots de là tout de même (elle espérait secrètement brûler quelqu'un comme ça).

Elle s'habilla d'une robe bleu nuit courte et chic à haut dentelle au dos décolleté en goutte d'eau.

Kaiira n'aimait pas cette robe, cette accoutrement lui compressé la poitrine. Elle mit à ses pieds, des bottines bleu nuit en velours à talon et pour complété son look laissa ces bracelets noirs, cloutés à ces poignets.

Notre bête noire se contempla quelques secondes, blasé et sorti de l'appartement en testant ces talons sur les marches des 10 étages. Une petite trotte en somme.

Arrivé en bas elle ouvrit la porte et fut surprise de découvrir un groupe, que dit-je, une foule dansante jusqu'à la scène du concert. Kaiira se faufila en attisant le regard de la plupart des garçons sur son chemin ainsi que quelques filles visiblement intéressés. La musique était agaçante, pourtant elle vint s'assoir sur une chaise en plastique blanc près des estrades entre deux groupes d'amis si on jugés les conversations échangés. Ils étaient limites plus bruyant que l'homme qui hurlait dans son micro.

La blonde habillé d'une robe et des ballerines blanche à la droite de Kaiira avait une voix de crécelle et riais toutes les cinq secondes.

Énervé notre bête noire tourna la tête vers elle et comme un aimant la fille détourna son attention de ses amis pour la planté sur Kaiira. Elles se toisèrent de haut en bas.

« Emma ? » appela une voix à côté de la blonde.

« Tait-toi » Songea fortement Kaiira en apercevant le regard de la susnommée bloqué sur son bracelet clouté droit.

-Oui ?

La blonde tourna la tête. Dommage c'était bien tenté.

Notre bête noire soupira et reporta son regard sur le chanteur. Il était mignon, yeux fuschia, le pelage bleu, rayé de violet, t-shirt bleu, short violet, basket bleu.

Ça passe.

Leurs regards se croisèrent et l'homme beugla dans le micro, troublé, il le retira de ces lèvres formant un O avec sa bouche.

-Dragane ?

-Dragane !

-OH !

La foule s'agita et commença à chercher l'élément perturbateur en hurlant de tous les côtés vers le chanteur, Dragane était malheureusement hypnotisé par les bleuets plantés dans ses fuchsias. Et sa tête entièrement parsemé de poils noir avec aucune rayure violette, rougie violemment. La main gauche du chanteur roula précipitamment de son torse a son bassin et pris à travers le short ce qui semblais être, son plaisir.

Puis une bouteille d'eau remplie fut balançait à la tête du chanteur et Kaiira lâcha son meilleur rire accompagné de la foule, choqué, déçu, impressionné et hilare.

Suite à ça, Kaiira se leva mais fronça les sourcils à cause d'une légère brise sur son poignet droit, elle remarqua ainsi que son bracelet clouté avait disparu et leva le regard sur la foule à la recherche du coupable.

Cependant notre bête noire n'était pas sotte, n'y aveugle.

Aussitôt que deux yeux marron croisèrent ces bleuets elle se téléporta dans une légère vague puissante dans sa propre salle de bain. Seule.

Notre bête noire contempla quelque secondes son reflet et ses crocs grincèrent.

-Tu veux jouer ? On va jouer.

Vous avez atteint le dernier des chapitres publiés.

⏰ Dernière mise à jour : Apr 02, 2020 ⏰

Ajoutez cette histoire à votre Bibliothèque pour être informé des nouveaux chapitres !

EN NOIR ET BLANCOù les histoires vivent. Découvrez maintenant