Chapitre 4

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20 minutes plus tard, on arrive chez lui, il me fait visiter son appartement qui est moderne et de taille moyenne.
Il a une mezzanine en guise de chambre. J’ai la douche à ma disposition, le frigo… Il a insisté sur le fait que je dois faire comme à la maison. Et de dormir dans son lit, lui ira dans le canapé.

Je monte alors l’escalier pour déposer mon sac à main. Et là… Je me casse la gueule dans l’escalier, purée la honte. Alors je rigole, il vient s’assurer que j’aille bien, m’aide à me relever, et explose de rire. OUFFF ! Il prend mes affaires et les monte à ma place en plus des valises. Il est fort. Si fort… 

Je prend un pyjama qui est une nuisette. Je n’ai que ça. Et je file à la douche. L’eau chaude ruisselle sur mon corps quand je commence à rêvasser. Je l’imagine sous la douche avec moi, et des papillons s’agitent dans mon ventre. Je sors de la douche 15 minutes plus tard. Il prépare à manger. Il marque encore un point.

Je le regarde de loin sans qu’il se doute que je l’observe. Puis je m’avance timidement vers lui, pour le remercier. Où serais-je s’il n’avait pas été là..? C’est vrai non ? Je lui doit tellement… Il tourne la tête et me voit m’avancer vers lui. Il tend un large sourire. Je le lui rend.

Moi : Hummm, je voulais te remercier pour tout ce que tu fais pour moi. Tu es vraiment un être adorable. Et je ne sais pas comment te remercier Henry. Très peu de gens sont comme toi. Tu n’es pas comme tout le monde. Je t’admire beaucoup.
Henry : C’est avec plaisir… Et… hum… je… Tu sais, je ne fait pas ça avec tout le monde. Tu n’es pas n’importe qui. Tu es jolie, et pleine de bonne volonté. Tu m’a tapé dans l’œil. (d’un air perturbé par ma petite tenue) Et tu ne me doit absolument rien, tu es ici chez toi, et restes le temps que tu souhaites.
*il s’approche un peu plus de moi*
Moi : Encore merci 1 000 fois. Tu es mon Ange Gardien Henry. Tu es une perfection incarnée. Mentalement et physiquement.

Il reste sans voix, et se contente de me faire un regard attendrissant, et un petit sourire. Je me suis un énième fois plongée dans ses yeux bleus et une énième fois noyée. On se regarde intensément quelques secondes sans rien dire… Sans que j’ai le temps de comprendre quoique ce soit, ses lèvres étaient posées sur les miennes. Je lui rend son baiser si doux, et explosif à la fois. 💏
Moi : PURÉE !  LA BOUFFE ELLE VA CRAMER !
Henry : BIEN VU !!

WOUAAAAAHHH !!! C’était si délicieux ! Je n’en reviens pas du baiser. Il fait ça tellement bien. Je me propose pour mettre la table. Il m’indique ou se trouvent les couverts et les assiettes. Je met la table en espérant goûter de nouveau a ses baisers. Celui-ci était mortel ! Ce soir, c’est bœuf bourguignon et riz. C’est qu’il cuisine bien Monsieur muscles.

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