//Hakuouki fanfiction//
その作成者の前でさえ、獣は慈悲を知りません。
❝𝘔ê𝘮𝘦 𝘥𝘢𝘷𝘢𝘯𝘵 𝘴𝘰𝘯 𝘤𝘳é𝘢𝘵𝘦𝘶𝘳, 𝘭𝘢 𝘣ê𝘵𝘦 𝘯𝘦 𝘤𝘰𝘯𝘯𝘢𝘪𝘵 𝘢𝘶𝘤𝘶𝘯𝘦 𝘱𝘪𝘵𝘪é❞
On l'a battue, torturée, tué ses parents et privé de toute innocence... Mais ça n'a fait qu'agrandi...
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Je me leva, puis les vis. Je le mis en position puis enchaîne les coups, sauf que ces créatures ne meurent pas au premier coup, alors il faut bien transpercer leur chair.
Arrivé au dernier, qui était plus robuste que les précédents, je commença un long combat sans relâche, je fini alors par l'anéantir en lui coupant la tête. Sauf que je remarque que j'ai été gravement blessé au ventre, à gauche.
Je m'assis alors en ferment les yeux en essayant de stopper l'hémoragie avec ma main gauche, Quand tout à coup, je senti une présence devant moi. Je releva alors ma tête.
- Écoute, ne t'enfuie pas. Tourne toi et je te trancherai.
Je souris ironiquement.
- Moi, m'enfuir ?
Je pris alors mon katana en s'appuyant dessus pour ne pas tomber tout en laissant ma main gauche sur la blessure. Puis le mis en position d'attaque.
Je ne veux pas redevenir une esclave... Je ne dois pas.
Je m'élançais alors en essayant de lui donner un coup, mais il esquive facilement. Alors je tombe à genoux, dépourvue de toute force, puis trou noir...
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PDV Hijikata :
Ce garçon était assez têtu et coriace malgré son faible physique, qui me rappela le caractère de Souji.
- On fait quoi de lui ? Demanda Saito en nettoyant son katana.
- Je propose de le tuer sur le champ, Ça ne sert à rien de le laisser en vie. Proposa Souji, avec son habituel sourire mesquin.
- On le ramène au QG, son sort sera décidé là bas. Ordonnais-je au groupe.
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PDV Yano :
Je me réveille en sursaut, Comme après chaque nuit. Et essaie de reprendre ma respiration quand je remarquai qu'une personne se tenait à ma droite.
C'est... Yukimura Chizuru.
- Ah.. Bonjour ! Tu est enfin réveillé ! Cela fait 2 jours que tu dors, je commençais à m'inquiéter.
- Hum... Je gémis après avoir ressenti la douleur de ma blessure.
Elle saigne toujours... Chizuru ne l'avait sans doute pas remarqué, étant donné l'état de mes habits, on ne pouvait rien voir.
- Tu as mal quelques part ? Demanda-elle inquiète.
